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Ces tableaux séculaires sont dressés d’après les lieux et
les époques de naissance, sans égard à ceux des études ou du
séjour le plus habituel des maîtres» On sentira, facilement,
qu’il n’eût pas été possible de prendre une autre base, parce
que la durée de la vie des artistes n’est pas égale, parce qu’ils
ont commencé à se faire connaître un peu plus tôt, un peu
plus tard, etc. ; et si les tableaux avaient été dressés d’après
un terme moyen entre les époques de naissance et de mort,
on se serait, souvent, éloigné du véritable moment où tloris-
saient les artistes.
Toutes les considérations que nous venons de présenter se
sont réunies, à nos yeux, pour nous faire, de préférence,
adopter l’ordre alphabétique. Un dictionnaire, il est vrai, ne
peut pas diviser les matières et les genres; ce qui, d’ailleurs,
serait inutile ici, puisque chaque partie est un tout absolu-
ment distinct et indépendant des autres ; mais il assigne à cha-
cun des articles une place invariable et facile à trouver. Nous
y donnons, soigneusement, l’époque et le lieu de naissance
du maître, de son séjour le plus habituel; une idée du ca-
ractère de son talent ; la notice raisonnée de ses principales
pièces, de leur plus ou moins de rareté, quand il y a lieu;
l’énoncé des copies, lorsqu’il y en a, et le moyen de les dis-
tinguer des originaux; l’année et le lieu de sa mort, quand
l’une et l’autre sont connus. Le nom des peintres d’après
lesquels ont été gravées les pièces, est placé, toujours, au
bout de la ligne qui termine la désignation de chaque sujet,
afin de n’avoir pas à le chercher dans le corps de la phrase.
Enfin, la dernière page de chaque volume donnera les chiffres,
marques et monogrammes des artistes qui s’y trouveront
compris.
Si l’on objectait que nous avons passé sous silence quel-
ques artistes français, morts ou même yivans,!! faut se sou-
Ces tableaux séculaires sont dressés d’après les lieux et
les époques de naissance, sans égard à ceux des études ou du
séjour le plus habituel des maîtres» On sentira, facilement,
qu’il n’eût pas été possible de prendre une autre base, parce
que la durée de la vie des artistes n’est pas égale, parce qu’ils
ont commencé à se faire connaître un peu plus tôt, un peu
plus tard, etc. ; et si les tableaux avaient été dressés d’après
un terme moyen entre les époques de naissance et de mort,
on se serait, souvent, éloigné du véritable moment où tloris-
saient les artistes.
Toutes les considérations que nous venons de présenter se
sont réunies, à nos yeux, pour nous faire, de préférence,
adopter l’ordre alphabétique. Un dictionnaire, il est vrai, ne
peut pas diviser les matières et les genres; ce qui, d’ailleurs,
serait inutile ici, puisque chaque partie est un tout absolu-
ment distinct et indépendant des autres ; mais il assigne à cha-
cun des articles une place invariable et facile à trouver. Nous
y donnons, soigneusement, l’époque et le lieu de naissance
du maître, de son séjour le plus habituel; une idée du ca-
ractère de son talent ; la notice raisonnée de ses principales
pièces, de leur plus ou moins de rareté, quand il y a lieu;
l’énoncé des copies, lorsqu’il y en a, et le moyen de les dis-
tinguer des originaux; l’année et le lieu de sa mort, quand
l’une et l’autre sont connus. Le nom des peintres d’après
lesquels ont été gravées les pièces, est placé, toujours, au
bout de la ligne qui termine la désignation de chaque sujet,
afin de n’avoir pas à le chercher dans le corps de la phrase.
Enfin, la dernière page de chaque volume donnera les chiffres,
marques et monogrammes des artistes qui s’y trouveront
compris.
Si l’on objectait que nous avons passé sous silence quel-
ques artistes français, morts ou même yivans,!! faut se sou-