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Ce qui donnera, nous l’espérons, un intérêt de plus à cet
Ouvrage, ce sera d’y trouver rassemblés, les différens prix
des pièces principales, extraits des catalogues mêmes, et que
nous citons en garantie. L’utilité de cet article, qui n’est
donné que par ces sories de livres, lesquels sont oubliés ou
perdus, la plupart, après le moment de la vente, sera, sans
doute, appréciée par les amateurs.
A ce sujet, il est bon de remarquer, que le prix fictif des
objets de curiosité, dont la valeur intrinsèque est, à peu près
nulle, comme celle des estampes, ne peut avoir de base que
leur mérite artiel, l’importance qu’on y attache, leur rareté,
La concurrence et le moment plus ou moins favorable de la
vente. Ce dernier point de vue doit, surtout, déterminer un
amateur; et les variations qu’il peut apercevoir, ne doivent
pas lui faire échapper les occasions, toujours peu fréquentes,
d’acquérir des morceaux également recherchés et rares.
Ensuite, les pièces capitales formant, seules et d’ordinaire,
un lot dans les ventes, leur nombre, on doit le sentir, n’en
peut jamais être fort grand, comparé à l’immense quantité
d’estampes qui existe, même en ne considérant que les
bonnes. De là, résulte une impossibilité réelle d’établir,
séparément, la valeur commerciale d’un grand nombre de
morceaux qui, pour ne former qu’un lot au moment de l’en-
nom des artistes dont ils sont élèves ; 4°- Ie titre et l’indication de leurs
principaux ouvrages ; 5°. leur dimension en hauteur et largeur ; 6°. le
nom du peintre ou dessinateur d’après lesquels ils ont été gravés ;
7°. les différences qui peuvent caractériser les épreuves , comme , avec
ou sans lettres, armes , dédicaces , bordures , fautes dans les titres ou
écritures , et autres remarques qui ajoutent une valeur d’opinion à celle
que donne le talent véritable ; 8°. indiquer si les morceaux font partie
de quelque recueil ; 90. enfin, les prix de chaque pièce en monnaie
française. N-ous ne. recevrons rien que franc de port.
Ce qui donnera, nous l’espérons, un intérêt de plus à cet
Ouvrage, ce sera d’y trouver rassemblés, les différens prix
des pièces principales, extraits des catalogues mêmes, et que
nous citons en garantie. L’utilité de cet article, qui n’est
donné que par ces sories de livres, lesquels sont oubliés ou
perdus, la plupart, après le moment de la vente, sera, sans
doute, appréciée par les amateurs.
A ce sujet, il est bon de remarquer, que le prix fictif des
objets de curiosité, dont la valeur intrinsèque est, à peu près
nulle, comme celle des estampes, ne peut avoir de base que
leur mérite artiel, l’importance qu’on y attache, leur rareté,
La concurrence et le moment plus ou moins favorable de la
vente. Ce dernier point de vue doit, surtout, déterminer un
amateur; et les variations qu’il peut apercevoir, ne doivent
pas lui faire échapper les occasions, toujours peu fréquentes,
d’acquérir des morceaux également recherchés et rares.
Ensuite, les pièces capitales formant, seules et d’ordinaire,
un lot dans les ventes, leur nombre, on doit le sentir, n’en
peut jamais être fort grand, comparé à l’immense quantité
d’estampes qui existe, même en ne considérant que les
bonnes. De là, résulte une impossibilité réelle d’établir,
séparément, la valeur commerciale d’un grand nombre de
morceaux qui, pour ne former qu’un lot au moment de l’en-
nom des artistes dont ils sont élèves ; 4°- Ie titre et l’indication de leurs
principaux ouvrages ; 5°. leur dimension en hauteur et largeur ; 6°. le
nom du peintre ou dessinateur d’après lesquels ils ont été gravés ;
7°. les différences qui peuvent caractériser les épreuves , comme , avec
ou sans lettres, armes , dédicaces , bordures , fautes dans les titres ou
écritures , et autres remarques qui ajoutent une valeur d’opinion à celle
que donne le talent véritable ; 8°. indiquer si les morceaux font partie
de quelque recueil ; 90. enfin, les prix de chaque pièce en monnaie
française. N-ous ne. recevrons rien que franc de port.