( 5r )
2°. Que les épreuves de leurs ouvrages qui
sont parvenues jusqu’à nous , sont trop belles,
trop brillantes , trop égales pour ne pas sup-
poser, chez ceux qui les ont produites, des re-
cherches préalables et relatives à l’impression ,
des essais, des efforts, des succès, en un mot ,
pour n’avoir pas été faites au moyen d’une
presse équivalente, sinon par sa forme, au
moins par ses résultats, à celle dont on se sert
aujourd’hui}
3°. Enfin, que l’Italie ne peut guères of-
frir, pour remplir cette lacune de i4 ans et
lutter avec f Allemagne, que quelques noms à
la tête desquels se trouverait celui de Maso
Firiiguerra : l’on aura bien droit d’en con-
clure , que la découverte et la méthode de
l’impression en taille-douce est, chez les Alle-
mands , antérieure, au moins de quelques an-
nées , à 1 an 1466. Que faut-il croire, alors de
celle attribuée à l’artiste florentin?
2°. Que les épreuves de leurs ouvrages qui
sont parvenues jusqu’à nous , sont trop belles,
trop brillantes , trop égales pour ne pas sup-
poser, chez ceux qui les ont produites, des re-
cherches préalables et relatives à l’impression ,
des essais, des efforts, des succès, en un mot ,
pour n’avoir pas été faites au moyen d’une
presse équivalente, sinon par sa forme, au
moins par ses résultats, à celle dont on se sert
aujourd’hui}
3°. Enfin, que l’Italie ne peut guères of-
frir, pour remplir cette lacune de i4 ans et
lutter avec f Allemagne, que quelques noms à
la tête desquels se trouverait celui de Maso
Firiiguerra : l’on aura bien droit d’en con-
clure , que la découverte et la méthode de
l’impression en taille-douce est, chez les Alle-
mands , antérieure, au moins de quelques an-
nées , à 1 an 1466. Que faut-il croire, alors de
celle attribuée à l’artiste florentin?