DOI Seite / Zitierlink:
https://doi.org/10.11588/diglit.4777#0096
ç£ V O Y A G K
CHAPITRE III.
La plaine de Troye , suivant d'autres
anciens.
JL-à a longue durée de la guerre de
Troye n'est pas, comme on sait, une
fiction de la poésie ; c'est une vérité
de l'histoire. Pendant dix ans les peu-
ples de la Grèce ravagèrent la cota
d'Asie et les îles adjacentes. La ca-
pitale de la Troade ne fut pas tou-
jours l'objet de leurs combats : ils y
revenaient par intervalles ; et ce ne
fut que la dernière année qu'ils l'atta-
quèrent avec leurs forces réunies. Fut-
elle prise , ou résista-1-elle à tous les
efforts des Grecs , comme quelques
historiens l'ont prétendu ? c'est ce que
je ne me flatte pas de décider. Ce qu'il
y a de certain, c'est que, pendant
CHAPITRE III.
La plaine de Troye , suivant d'autres
anciens.
JL-à a longue durée de la guerre de
Troye n'est pas, comme on sait, une
fiction de la poésie ; c'est une vérité
de l'histoire. Pendant dix ans les peu-
ples de la Grèce ravagèrent la cota
d'Asie et les îles adjacentes. La ca-
pitale de la Troade ne fut pas tou-
jours l'objet de leurs combats : ils y
revenaient par intervalles ; et ce ne
fut que la dernière année qu'ils l'atta-
quèrent avec leurs forces réunies. Fut-
elle prise , ou résista-1-elle à tous les
efforts des Grecs , comme quelques
historiens l'ont prétendu ? c'est ce que
je ne me flatte pas de décider. Ce qu'il
y a de certain, c'est que, pendant