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La place comprise des deux côtés du Naos, était occupée par le
sexe féminin „Gynaeceum“ à moins qu’elle ne fût divisée en deux
hauteurs, dans ce cas, la partie supérieure était réservée aux femmes.
Devant les parties décrites plus haut, venait un autre espace
nommé „Narthex“ où s’arrêtaient les „ Catéchumènes“ et était
en communication avec l’église au moyen de trois portes munies
de rideaux; celle du milieu s’appelait „RealeOn arrivait au
Nartlrex en traversant une espèce de cour „Atrium“ fermée par
un portique „Porticus“ où se rassemblaient les personnes qui
n’étaint pas initiées aux mystères, ou celles qui, pour d’autres
raisons, ne pouvaient être admises dans l’intérieur du temple,
toutes comprises dans la catégorie de pénitents ou pleureurs.
Le centre de l’Atrium était orné d’une fontaine „Phiala ou
Kantharus “ destinée aux ablutions qu’il était d’usage de faire
avant d’entrer dans l’église et qu’on appelait „Lustrationes“.
Plus loin, dans un site, à part, se trouvait le Baptistère con-
tenant une vasque pour l’immersion de tout le corps du baptisé.
Le cas n’était pas rare que, dans les grandes basiliques, l’on trou-
vât à gauche du Berna, un espace réservé aux autorités, appelé
„ Senatorium“ et un autre au côté opposé, appelé „Matronimn“
destiné aux dames les plus distinguées.
La „Krypta“ était une chapelle souterraine placée sous
l’Abside et le Berna, où l’on déposait des reliques des martyrs aux-
quels l’église était dédiée.
Ce système d’architecture qui, dans ses particularités est
absolument romain, avait la partie intérieure de sa toiture toujours
plate et en bois, à l’exception de la Coucha sur l’abside, laquelle
était construite en forme de voûte et en briques.
Le luxe était absolument exclus des façades, dépourvues de
toute décoration; toutes les richeses s’accumulaient à l’intérieur:
véritable antithèse du paganisme, et de la prédilection pour la
pompe de l’extérieur.
Cette première période de l’art byzantin eut son origine au
commencement du ÏVùrae siècle de l’ère chrétienne, et se prolongea
jusqu’à la moitié du VLme; c’ést-à-dire de C o ns t antin -le - Cran d ?
jusqu’à Justinien Ier.
La place comprise des deux côtés du Naos, était occupée par le
sexe féminin „Gynaeceum“ à moins qu’elle ne fût divisée en deux
hauteurs, dans ce cas, la partie supérieure était réservée aux femmes.
Devant les parties décrites plus haut, venait un autre espace
nommé „Narthex“ où s’arrêtaient les „ Catéchumènes“ et était
en communication avec l’église au moyen de trois portes munies
de rideaux; celle du milieu s’appelait „RealeOn arrivait au
Nartlrex en traversant une espèce de cour „Atrium“ fermée par
un portique „Porticus“ où se rassemblaient les personnes qui
n’étaint pas initiées aux mystères, ou celles qui, pour d’autres
raisons, ne pouvaient être admises dans l’intérieur du temple,
toutes comprises dans la catégorie de pénitents ou pleureurs.
Le centre de l’Atrium était orné d’une fontaine „Phiala ou
Kantharus “ destinée aux ablutions qu’il était d’usage de faire
avant d’entrer dans l’église et qu’on appelait „Lustrationes“.
Plus loin, dans un site, à part, se trouvait le Baptistère con-
tenant une vasque pour l’immersion de tout le corps du baptisé.
Le cas n’était pas rare que, dans les grandes basiliques, l’on trou-
vât à gauche du Berna, un espace réservé aux autorités, appelé
„ Senatorium“ et un autre au côté opposé, appelé „Matronimn“
destiné aux dames les plus distinguées.
La „Krypta“ était une chapelle souterraine placée sous
l’Abside et le Berna, où l’on déposait des reliques des martyrs aux-
quels l’église était dédiée.
Ce système d’architecture qui, dans ses particularités est
absolument romain, avait la partie intérieure de sa toiture toujours
plate et en bois, à l’exception de la Coucha sur l’abside, laquelle
était construite en forme de voûte et en briques.
Le luxe était absolument exclus des façades, dépourvues de
toute décoration; toutes les richeses s’accumulaient à l’intérieur:
véritable antithèse du paganisme, et de la prédilection pour la
pompe de l’extérieur.
Cette première période de l’art byzantin eut son origine au
commencement du ÏVùrae siècle de l’ère chrétienne, et se prolongea
jusqu’à la moitié du VLme; c’ést-à-dire de C o ns t antin -le - Cran d ?
jusqu’à Justinien Ier.