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Maguelonne, J.: Nécrologie
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- 303 -
M. POURQUET (Norbert)
M. POURQUET (Norbert), Membre correspondant de
noire Compagnie, Officier d'Académie, Chevalier du Mérile
agricole, Officier du Nichan-Iftikar, est décédé à Périgot-
ville le 11 août 1914.
Né à Sainte Bazeille (Lot-et-Garonne), le 4 mars 1867,
M. Pourquet a fourni une brillante carrière administra-
tive. Ses études terminées, il entra à la Préfecture en qua-
lité de Commis auxiliaire, le 1er octobre 1885. Ré lacteur
le 1er juin 1888, Rédacteur principal le 15 juin 1902, Admi-
nistrateur adjoint de commune mixte le 8 juillet 1902, il
fut nommé Administrateur le 19 mars 1909, d'abord à Sidi-
bel-Abbès, et puis à Périgotville, l'ancienne Saiafis, où l'on
voit encore de nombreuses ruines romaines.
L'importance de ces ruines intéressa vivement cette intel-
ligence d'élite, et, travailleur comme il était, notre confrère
se promettait d'en tirer parti pour la science archéologique.
Il demanda alors à faire partie de notre Société ; nous
avions la confiance qu'il y apporterait l'appoint de son éru-
dition et de ses recherches. Malheureusement la mort l'a
fauché dans toute la force de l'âge.
Il laisse le souvenir d'un fonctionnaire sérieux, dévoué
et consciencieux, et aussi d'un homme de bien, d'une hono-
rabiliié parfaite, et ayant su mériter l'estime de tous ceux
qui l'ont connu.
Nous adressons à sa famille, avec nos condoléances attris-
tées, l'hommage de noire plus vive sympathie.
J. M-
M. POURQUET (Norbert)
M. POURQUET (Norbert), Membre correspondant de
noire Compagnie, Officier d'Académie, Chevalier du Mérile
agricole, Officier du Nichan-Iftikar, est décédé à Périgot-
ville le 11 août 1914.
Né à Sainte Bazeille (Lot-et-Garonne), le 4 mars 1867,
M. Pourquet a fourni une brillante carrière administra-
tive. Ses études terminées, il entra à la Préfecture en qua-
lité de Commis auxiliaire, le 1er octobre 1885. Ré lacteur
le 1er juin 1888, Rédacteur principal le 15 juin 1902, Admi-
nistrateur adjoint de commune mixte le 8 juillet 1902, il
fut nommé Administrateur le 19 mars 1909, d'abord à Sidi-
bel-Abbès, et puis à Périgotville, l'ancienne Saiafis, où l'on
voit encore de nombreuses ruines romaines.
L'importance de ces ruines intéressa vivement cette intel-
ligence d'élite, et, travailleur comme il était, notre confrère
se promettait d'en tirer parti pour la science archéologique.
Il demanda alors à faire partie de notre Société ; nous
avions la confiance qu'il y apporterait l'appoint de son éru-
dition et de ses recherches. Malheureusement la mort l'a
fauché dans toute la force de l'âge.
Il laisse le souvenir d'un fonctionnaire sérieux, dévoué
et consciencieux, et aussi d'un homme de bien, d'une hono-
rabiliié parfaite, et ayant su mériter l'estime de tous ceux
qui l'ont connu.
Nous adressons à sa famille, avec nos condoléances attris-
tées, l'hommage de noire plus vive sympathie.
J. M-