IV
AVANT-PROPOS.
Si dans cet écrit consacré à la reconnoisfance, j'ai cité avec un véritable plaisir
tous les Savans &: les Gens de Lettres, auxquels j'ai eu plus ou moins d'obligations,
6c qui m'ont permis de les nommer, je n'en aurois pas moins certainement à y
parler d'une foule d'Artisses célèbres dont les talens ôc les travaux m'ont été il
utiles , ce seroit même avec d'autant plus de raison que ce sont eux auxquels
on peut dire que cet Ouvrage doit son plus grand prix. MM. Robert, Fragonard,
bc Paris, Architecte du Roi, sont ceux dont les noms se présentent le plutôt à
ma mémoire , &C ils savent si mon amitié pour eux n'est pas égale à ma
reconnoissance. Quant à tous les autres, comme Graveurs habiles, Peintres,
Architectes &; Delïinateurs , le nombre en est si grand qu'il me seroit presque
impossible de les nommer ; mais ne puis-je pas dire ici que je n'ai pu en faire
mieux l'éloge qu'en mettant leurs noms au bas de leurs ouvrages.
il n'a été nullement question dans les manuscrits
du Journal, & que j'~ Fcnsé devoir être inté"
resTant à connoître.
Dans le nombre des personnes qui m'ont été
utiles, & que j'ai été trop heureux de pouvoir
consulter, pour le travail énorme dont j'étois
chargé , le même Tradu&eur a oublié un de
ceux auxquels je dois le plus pour la partie de
l'Histoire Naturelle , non moins importante
dans un Ouvrage comme le mien ; c'est M. le
Commandeur de Dolomieu. M. Faujas, auquel
le Traducteur l'attribue en entier, ne m'avoic
donné que trois ou quatre Notices sur les Vol-
cans des Champs Phlégréens, dans le sécond
Volume, &: il a été nommé à chacune, aux
pages 182, 188 & 202 de ce Volume. J'aurois
desiré lui devoir davantage ; mais j'ai eu de plus
grandes obligations à M. de Dolomieu, pour
toute l'Histoire Naturelle de la Sicile, qui, dans
le Journal de M. de Non, n'étoit pas moins dans
le cas d'être presqu'entierement réformée ; ainsi
qu'on en peut juger par tout ce que j'ai été
obligé d'ajouter dans des endroits, de substituer
Se de changer absolument dans d'autres.
TABLE
AVANT-PROPOS.
Si dans cet écrit consacré à la reconnoisfance, j'ai cité avec un véritable plaisir
tous les Savans &: les Gens de Lettres, auxquels j'ai eu plus ou moins d'obligations,
6c qui m'ont permis de les nommer, je n'en aurois pas moins certainement à y
parler d'une foule d'Artisses célèbres dont les talens ôc les travaux m'ont été il
utiles , ce seroit même avec d'autant plus de raison que ce sont eux auxquels
on peut dire que cet Ouvrage doit son plus grand prix. MM. Robert, Fragonard,
bc Paris, Architecte du Roi, sont ceux dont les noms se présentent le plutôt à
ma mémoire , &C ils savent si mon amitié pour eux n'est pas égale à ma
reconnoissance. Quant à tous les autres, comme Graveurs habiles, Peintres,
Architectes &; Delïinateurs , le nombre en est si grand qu'il me seroit presque
impossible de les nommer ; mais ne puis-je pas dire ici que je n'ai pu en faire
mieux l'éloge qu'en mettant leurs noms au bas de leurs ouvrages.
il n'a été nullement question dans les manuscrits
du Journal, & que j'~ Fcnsé devoir être inté"
resTant à connoître.
Dans le nombre des personnes qui m'ont été
utiles, & que j'ai été trop heureux de pouvoir
consulter, pour le travail énorme dont j'étois
chargé , le même Tradu&eur a oublié un de
ceux auxquels je dois le plus pour la partie de
l'Histoire Naturelle , non moins importante
dans un Ouvrage comme le mien ; c'est M. le
Commandeur de Dolomieu. M. Faujas, auquel
le Traducteur l'attribue en entier, ne m'avoic
donné que trois ou quatre Notices sur les Vol-
cans des Champs Phlégréens, dans le sécond
Volume, &: il a été nommé à chacune, aux
pages 182, 188 & 202 de ce Volume. J'aurois
desiré lui devoir davantage ; mais j'ai eu de plus
grandes obligations à M. de Dolomieu, pour
toute l'Histoire Naturelle de la Sicile, qui, dans
le Journal de M. de Non, n'étoit pas moins dans
le cas d'être presqu'entierement réformée ; ainsi
qu'on en peut juger par tout ce que j'ai été
obligé d'ajouter dans des endroits, de substituer
Se de changer absolument dans d'autres.
TABLE