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Schwartze, Moritz Gotthilf
Das alte Aegypten oder Sprache, Geschichte, Religion und Verfassung des alten Aegyptens: nach den altägyptischen Original-Schriften und den Mittheilungen der nichtägyptischen alten Schriftsteller (Band 1) — Leipzig, 1843

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https://doi.org/10.11588/diglit.17156#0026
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xxu

Vorrede.

insurmonlahles que nous avons prouve s'opposer ä leur lecture; en admeilant „que la
forme ei la valeur des leüres soient parfaitement determinees, que leur arrangement ne
donne Heu ä aucune equivoque, que la suppression des voyelles ne peut exposer ä aucune
meprise; en faisant pour un instant Vhypothese, que Von puisse epeler les syllabes, couper
et distinguer les mols avec autant de nettete, de certitude et de precision que s'ils etoient
ecrits avec quelqu'un des alphabels perfectionnes de l'occident; il reslera toujours une dif-
ficulle dont le genie lui-meme ne sauroit Iriompher; c'est de decouvrir la signißcation des
mols quand eile n'est pas connue par la tradition" (Worte Klaphoth's). Oü la eher eher
en effet? dans le cophte, la seule langue oü nous puissions trouver des mots appartenanl
ä landen idiome egyptien? Mais plusieurs raisons prouvent que cette source est tout ä
la fois alter ee et insufßsante; il est impossible que dans la longue duree de l'empire egyp-
lien, eile n'ait pas subi l'acüon du temps ä laquelle aucune langue connue n'a echappe;
une contree plusieurs fois conquise par les Pasteurs, les Verses, les Grecs, les Romains,
les Arabes, doit avoir une langue modißee par la langue que parlerent ces divers conque-
rans; il est certain quon y retrouve un assez grand nombre de mots arabes qui y ont
ete introduits pour remplacer d'anciens mols egyptiens qui avoient ete perdus, des mots
grecs employes par les chre'liens ä exprimer leurs croyances et leurs riles; d'un aulre
cöte, ces mots de Vancien polylheisme ont du disparoitre avec les idees et le culte qu'ils
represenlenl : d'ailleurs, le cophte ne possede plus que quelques fragmens de la Bible et
une vie des Samts. En raisonnant par analogie, on doit conclure que les Perses, pendant
leur domination, ont necessairement modifie la langue du pays conquis; et cependanl on
pretend nous traduire des inscriptions anterieures ä tous ces bouleversemens polüiques qui
ont revolutionne la langue comme les lois et les moeurs! On n'auroit pas de preten-
tions plus exagerees quand on possederoit Vancien egyptien, comme nous possedons le laiin.
Es wird bemerkt, welche Schwierigkeiten die Erklärung gewisser Lateinischen Inschriften
mache, trotz der vielen und vortrefflichen Hülfsmittel, welche dem Philologen hierbei zu
Gebote ständen, geschweige denn die Entzifferung und Erklärung der altägyptischen In-
schriften, wo uns beinahe alle jene Hülfsmittel abgingen; es wird endlich geschlossen mit
den Worten Kxaproth's: „ce n'est pas la crilique humaine, c'est Vinluition de la Divinile
qui pourroit operer un tel mir acte; et Von voudroil qu'un savanl, de quelques faculles
qu on le supposät doue, eüt fait seul, en peu d'annees, ce que la raison et le bon sens
demonlrent impossible ä des generations lilteraires qui se succe'deroienl pendant des siecles!"
Hr. Affhe hätte noch die Behauptung Seyffarth's hervorheben können, dass das Kopti-
sche, als der gemeine Dialekt, der Sprache der Hieroglyphen als dem heiligen Dialekte ge-
genüber stelle (s. mein Buch p. 953.) und dass dieser gemeine Dialekt obendrein noch so
entartet sei, dass er in das innerste Mark der Sprache, das ist, in die Pronominal-Ver-
hältnisse, wie von Bohlen (das alte Indien I. p. 81.) behauptete, Semitische Bildungen
 
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