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Schwartze, Moritz Gotthilf
Das alte Aegypten oder Sprache, Geschichte, Religion und Verfassung des alten Aegyptens: nach den altägyptischen Original-Schriften und den Mittheilungen der nichtägyptischen alten Schriftsteller (Band 1) — Leipzig, 1843

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https://doi.org/10.11588/diglit.17156#0336
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2S2

System der Hieroglyphik

Dieselben Formen kehren endlich als die Personalbezeichnungen der Verba wieder x). Jedoch
waren es mir folgende dritte Personen, welche Champollion für ein Präsens, Präteritum und
Futurum geltend machte:

Präsens.

Dritte Person masc. singul. . q , er v

„ „ fr"1- ■>■) • . C —1>—, -H-, sie > Stellung zu Anfange des Verbum.
. „ ,, common, plural. c p, —► — , sie '

Präteritum.

- Dritte Person masc. singul. . q ^ , er hat •.

fem. „ . . C —4t—, sie hat K Stellung zu Ende des Verbum.

,5 commun. plural. N ~w>, i—i? sie haben *

Futurum.

Dritte Person commun. plur. CNF, CNH PTm\ ApTT, 111 , sie werden j Stellung zu Ende des Verb.

Von allen anderen Verbalfonnen wird von Champollion nur noch oyT % als Endung des

Particip. pass. angeführt 2).

1) Champollios Vre'cis du Syst. Hier. I. e'd. p. 81. II. ed. p. 135. La partie hieroglyphique de Vinscription de
Rosette ne iious fait connaitre que des verbes ä trois temps distinets, present, passe, futur, et seutement d la troisieme
personne. Mais ces meines signes qui caracteiisent Ies temps, ue sont encore autre chose, pris phonetiqueinent, que des
prefixes et affixes coptes. — Le present de la troisieme personne du pluriel commun est indique, dans tous les textes
Uieroglyphiques, par le siyne recourbe ou par les detix seeptres, qui sout la consonue S, placee devant le groupe exprimant
le verbe; c'est le prefixe copte du present defini de la troisieme personue du pluriel commun, CF. — La troisieme per-
sonne d'une espece de passe est indiquee par le q hieroglyphique (le ce'raste~) place en affixe, si le sujet est du genre mascu-
lin, et par les deute seeptres c, si le sujet est du genre feminin: il semble rester encore dans le copte des traces evidentes
de cetle anclenne forme de conjugaison par pronoms affixes, dans l'un des passes du verbe <K(Ü dire, TTEXAt, TTEXAK,
TTFXE, TTFXAq, TTE2CAC, en dialecte thebain; TTFXHl, TTFX AK etc. eu dialecte memphitique; et TTEXFl, TTH2CEK,
TTFXE, TTEXEC], T1EXEC, eu dialecte dit baschmourique. — Eiifin, la troisieme personne du futur pluriel, personue et
temps auxquels se trouvent tous les verbes des 9 dernieres lignes du texte hieroglyphique de Rosette, exprimaut les diverses
dispositions du decret et repoudant a des verbes qui sont tous il l'infinitif dans le texte grec, est marquee par un groupe
de 3 caracteres: le trait recourbe ou les deux seeptres affronte's C5 te brise'e N, et les trois lignes perpendiculaires
X ou F. Nous avons ici le mot CNF, qui est bien le dissyllabe baschmourique CFNF, eu dialecte thebain et memphitique
CFNA, marqne caracteristique de la troisieme personne du pluriel du futur defini copte. — Tabl. geh. I. et II. ed. no. 26.
(1, prefixe, indique la troisieme personue du present masculin siugulier; copte q. — no. 27. C, prefixe, indique la troisieme
personne feminin singulier du preseut; copte C. — no. 29. q, affixe, troisieme personne du passe, masculin siugulier. —
no. 2!). C, affixe, troisieme personne du passe, feminin singulier. — no. 30, a. N, affixe, troisieme (sie ed. I. et //.)
personue du passe, pluriel, genre commun. — no. 30. CNE, CNH, affixe, troisieme personne du futur, pluriel, genre
eomnuui; copte CFNEj CFNA. — wo. 31. c, prefixe, troisieme personne du present, pluriel, genre commun; copte CF.



2) Cua.wolmo.v Tabl. (Jen. !■ et II. ed. no. 32. OyT; desinence du partieipe passif; copte idem. Diese gramma-
tisebe Formenlehre beschliesst Champollion mit den Worten (Pre'cis du Syst. Hier. I. ed. p. 83. IL ed. p. 136.): Je retrouve
egalement, dans les textes hie'rogli/phiques purs, e'tudie's comme phone'tiques en tres-grande partie, une foule de formes
des verbes coptes; mais comme je ue puis prouver, par un texte correspondant et en langue connue, que ces groupes sont
reellemeut des verbes, je m'abstiens de citer ces formes, m'etant fait une Ioi, daus une question aussi delicate, de n'apporter
en leiiioiguage du plmnelisme de la plus grande partie des textes hieroglyphiques egyplieiis, que la leclure des seuls groupes
dont le sens reel m'est prealablement indique par quelque circonstance particuliere, et independante de leur lecture.
 
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