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https://doi.org/10.11588/diglit.18961#0131
CHAP. II. MÉTHODE GÉNÉRALE. n3
s'appliqueront aux branches du contour apparent qui sont conjuguées par cette
asymptote , et elles serviront à faire**voir comment la perspective de ce contour lie
les perspectives de tous les élémens visibles et non visibles d'un héliçoïde donné.
2,13. Pour dessiner l'épure , si l'on en fait une , on remarquera que toutes les
circonvolutions de l'héliçoïde se cachent les unes les autres , à l'exception de celles
qui comprennent le point de vue et qui correspondent aux parties du contour apparent
qui vont à l'infini, ce qui produira une image semblable à celle que montre la fi-
gure 5.
214. Dans le cas de l'escalier du problème précédent , il s'agira de mettre en Pl. 21,
perspective l'arc tu du contour apparent, et l'on verra qu'il raccorde les deux courbes Fig. 1.
•wx, yt) sans produire pour les données choisies un effet bien sensible.
215. Avant de quitter cette matière, nous ferons remarquer que le point c' où Fig. 7.
le rayon visuel cv parallèle aux droites ab , ok , etc. , perce le tableau , appartient
aux perspectives de toutes ces droites 5 car ce rayon rencontre à l'infini toutes les
droites ab , ok , etc. : d'où l'on voit qu'il est la pei'spective du point de chacune
d'elles qui est à l'infini derrière le tableau.
Nous devons donc poser en principe , que les perspectives d'un système quelcon-
que de droites parallèles concourent en un même point.
Réciproquement les droites concourantes o'c', o"c'} o'^c1etc. , menées par un point
du tableau , sont les perspectives d'autant de droites parallèles.
Ces deux propriétés sont de la plus grande importance, et elles servent de fon-
dement à la méthode de construire les perspectives faites sur des plans, qu'on,
va voir dans le chapitre 3.
%
2.16. Les exemples qui précèdent suffiront pour qu'on puisse
déterminer la perspective d'un objet quelconque. Lorsque le lec-
teur aura vu le ch. suivant et le ch. 7, il fera bien de s'exercer sur de
nouveaux exemples , particulièrement sur la base et sur le cha-
piteau d'une colonne ; et comme il aura besoin pour les traiter,
de chercher les contours apparens de diverses portions de sur-
faces annuitaires , il sera bon qu'il se propose avant tout de trouver
la perspective d'une* surface annullaire complète. Cette perspec-
tive , si le point de vue est convenablement choisi, présentera
un contour apparent composé de deux branches séparées , dont
Tune aura quatre points de rebroussement , comme ceux du con-
tour de la surface non convexe du piédouche (196).
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s'appliqueront aux branches du contour apparent qui sont conjuguées par cette
asymptote , et elles serviront à faire**voir comment la perspective de ce contour lie
les perspectives de tous les élémens visibles et non visibles d'un héliçoïde donné.
2,13. Pour dessiner l'épure , si l'on en fait une , on remarquera que toutes les
circonvolutions de l'héliçoïde se cachent les unes les autres , à l'exception de celles
qui comprennent le point de vue et qui correspondent aux parties du contour apparent
qui vont à l'infini, ce qui produira une image semblable à celle que montre la fi-
gure 5.
214. Dans le cas de l'escalier du problème précédent , il s'agira de mettre en Pl. 21,
perspective l'arc tu du contour apparent, et l'on verra qu'il raccorde les deux courbes Fig. 1.
•wx, yt) sans produire pour les données choisies un effet bien sensible.
215. Avant de quitter cette matière, nous ferons remarquer que le point c' où Fig. 7.
le rayon visuel cv parallèle aux droites ab , ok , etc. , perce le tableau , appartient
aux perspectives de toutes ces droites 5 car ce rayon rencontre à l'infini toutes les
droites ab , ok , etc. : d'où l'on voit qu'il est la pei'spective du point de chacune
d'elles qui est à l'infini derrière le tableau.
Nous devons donc poser en principe , que les perspectives d'un système quelcon-
que de droites parallèles concourent en un même point.
Réciproquement les droites concourantes o'c', o"c'} o'^c1etc. , menées par un point
du tableau , sont les perspectives d'autant de droites parallèles.
Ces deux propriétés sont de la plus grande importance, et elles servent de fon-
dement à la méthode de construire les perspectives faites sur des plans, qu'on,
va voir dans le chapitre 3.
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2.16. Les exemples qui précèdent suffiront pour qu'on puisse
déterminer la perspective d'un objet quelconque. Lorsque le lec-
teur aura vu le ch. suivant et le ch. 7, il fera bien de s'exercer sur de
nouveaux exemples , particulièrement sur la base et sur le cha-
piteau d'une colonne ; et comme il aura besoin pour les traiter,
de chercher les contours apparens de diverses portions de sur-
faces annuitaires , il sera bon qu'il se propose avant tout de trouver
la perspective d'une* surface annullaire complète. Cette perspec-
tive , si le point de vue est convenablement choisi, présentera
un contour apparent composé de deux branches séparées , dont
Tune aura quatre points de rebroussement , comme ceux du con-
tour de la surface non convexe du piédouche (196).
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