Tes LOUIS XV EN ALSACE.
laRusiie, étant vivement sollicitées, les progrès de
la reine de Hongrie augmentant en Allemagne , tout
était à craindre tôt ou tard pour le roi de Prusie ;
il avait enfin pris le parti de rentrer dans ses enga-
gemens avec la France. Le traité avait été signé
secrétement le 5 avril , et on avait sait depuis à
szmai 1744-Francfort une alliance étroite entre le roi de France,
l'empereur, le roi de Prusie, l'électeur palatin et le
roi de Suède , en qualité de landgrave de Hesse.
Ainsi 1 union de Francfort était un contre-poids aux
projets de l’union de Vorms. Une moitié de l’Europe
était ainsi animée contre l’autre, et des deux côtés
on épuisait toutes les resiburces de la politique et
de la guerre.
r.a guerre Le maréchal Schmettau vint de la part du roi de
plus vive prusse annoncer au roi que son nouvel allié marchait
qu’aupara- x ‘
vaut: le roiaPrague avec quatre-vingts mille hommes, et qu’il
<ie Prusse en sesait avancer vingt-deux mille en Moravie. Cette
fait marcher . i- r au i a .
cent milleputliante diverhon en Allemagne, les conquêtes du
hommes. roi en Flandre , sa marche en Alsace dilFipaient
toutes les alarmes , lorsqu’on.en éprouva une d’une
autre espèce, qui lit trembler etgémir toute la France.
laRusiie, étant vivement sollicitées, les progrès de
la reine de Hongrie augmentant en Allemagne , tout
était à craindre tôt ou tard pour le roi de Prusie ;
il avait enfin pris le parti de rentrer dans ses enga-
gemens avec la France. Le traité avait été signé
secrétement le 5 avril , et on avait sait depuis à
szmai 1744-Francfort une alliance étroite entre le roi de France,
l'empereur, le roi de Prusie, l'électeur palatin et le
roi de Suède , en qualité de landgrave de Hesse.
Ainsi 1 union de Francfort était un contre-poids aux
projets de l’union de Vorms. Une moitié de l’Europe
était ainsi animée contre l’autre, et des deux côtés
on épuisait toutes les resiburces de la politique et
de la guerre.
r.a guerre Le maréchal Schmettau vint de la part du roi de
plus vive prusse annoncer au roi que son nouvel allié marchait
qu’aupara- x ‘
vaut: le roiaPrague avec quatre-vingts mille hommes, et qu’il
<ie Prusse en sesait avancer vingt-deux mille en Moravie. Cette
fait marcher . i- r au i a .
cent milleputliante diverhon en Allemagne, les conquêtes du
hommes. roi en Flandre , sa marche en Alsace dilFipaient
toutes les alarmes , lorsqu’on.en éprouva une d’une
autre espèce, qui lit trembler etgémir toute la France.