Le charivari (13.1844)

se perfectionne'
is Iscariote aitcn
sainteté du sefi

s d'avoir scieffl-
onorable M. M11'
is qu'ailleurs on,

i 4e page.)

splendide. n !

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vie enflT^
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îes- test une j ,

>laisir deroijfc . -V- : /'

pouvait lafîii„„' i - - " - '

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perdu tant de
Bérénice au u,

1 heure. Aussi,,
sommes-nous!

ée, dit-on, ne;
Cette longue ai
and roi ne p0a,
siens. La roya,
•et s'inhumer &
mserve comme

to

qui se dégage
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re des pairs. Ct
une seule fois,
e Mlle Duchesno
l'Opéra, peut i
vec l'appui d'u
ait tenir l'affiche
is,

îst peu faite poi
chrétienne, siij
ajenepeux voiri
actère, cette chas1
is larmes vivesd'ii
it pas à Pénergi
re jeune, tragédien
été forte, nette i
ré ; mais la sens'
3nt pas. Tout Fa

inisation, toute 1 :|| \ , ,

Mademoiselle Ri
tendrir; elle n'aj
ilans deux ou ttei
qui convenaien!
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de Tibère, ql
rai conseillée ! M
3 et vains efforts <$$
>ar deux passion:
gir pour l'une!

les deux. M
lans le rôle A
tyers pour le soi)
scène.

ntation, était en-

semaine. On m

mort du Prim >.
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Gkes Miert.Pl.lekBourse,23

ont avoir lieu a» ** - ^ * •—■ht- imp.d'AuWtftG?.

M. Pasquier, a»
nous semble qu'il
reprendre lac0'
miens.

! . ■ ■

C'est drôle, ma. femme n'aime pas le gibier et chaque fois que Monsieur Gustave
vient, elle me dit va. donc hier un lièvre, ou des perdreaux.1 je crois que c'est moi qu'elle veut chasser

lÉil

1