Le charivari (13.1844)

ape, il est une espèce

trAu%$ MIROIR CARICATURAL.

Cet éditeur ne se b0r!'
es qu'il achète, il £

rix convenu, par ia J

ont peu d'économies

rouleau.... depiècesJ
lent à réaliser les So '
«nmode mal des jJ)
îs éloignée, vu ia ^

La signature de ta"
à la banque de iw'
■ur morte jusqu'au kl
[uelquefois mêmeincg

ache les cheveux de dé
lui indiquer un moyç.;i
onéraire. C'est alors qn„
i tout son éclat. « HUni
rare par la prospérité
aisvous en procurer nD
îisonnable, mais à ^
excellente dont je veut
our trois cents francs;
ue. Prenez-la, je vous
re créance. »
que faire d'une pendu-
vu l'encombrement de
tienne, mon cher mon-
tun homme de ressour-
ne au plus le tiers de la
it moins de cent francs
3nt vingt, et je ne vous
pourrez la reprendre
nge de cette somme,
tarché et dit un adieu
mprend que son Lour-|
conservant' pour cent
3 qu'il vient de vendre

icèàe jamais atitràflefr
in, pour appoint de I
n piano, une montre
3, un daguerréotype,ut
non moins indispensa-
ec celui qui refuse cette
endre ou à laisser. Il est1
nt pas mieux prendre,
brocanteur gagnektul
1 achète pour les vendre
ncl pour les racheter.
; honorable, mais en»
ar la morale qui couri
que suffisante. Demaiv
îessieurs, qui court d'un
ut en menant son corn-

I A

LIIWPOT SUR LES CHIENS INUTILES %■ *Wfc fcC«

l'honnêteté.

3 chambrés françaises,

dans les chambresanf Wstt^Pi JeU^g
tfque.

Drd Brougham s'est ?cf
très judicieux : on sali ■

îté- 6trf oer. non naturalisé i] J 0 kr h maiso*, Finette *,t ,w

,ot* Ao^ ^Poser \j ?£ Rosalie.^ *î^?°*

*m et inébranlable m' ' Mout°n sert ii ramasser î înr he,ne ?

)rennehCpas quand o» i"1"5 gue les autres attirenf ^ ï1^- c CUH,U5, aJlons Iimposer,

se pour ie plus gr ' ulJe serais dévorée

raumes.

: «Eh! qui ne serait fie'
3 d'ami. » En AngletaJ

cty prouve quedeci'
suite à la ¥ page.)