Le charivari (13.1844)

Paient fort agrfu,

uffis^cedenot; •
maux, de \%Zh
1 d* noter qu ?

,PïiSSe S'^ï

Pausen est S
ment une sourc
nepuisable d'aj
me.ns' il enfe

tant que de crédit;
^ supplémentaires
M|i) On nous apprrt
-v maintenant qgfc
tre mille a»,
l charmans effets, lîi
") MoDijouichsaniw
S celui de supprimer
: définitivement]!»
.' ture, la verdure,h
/ ruisseaux, hj.
■ seaux, les bocages,
les ombrages, en an
ilaisir de la campagne,
icoliques qui auraient
:ords champêtres de ss
leur inspiration aura
iront les pipeaux et lis

[us] pour les Parisiens
Ion, dans les vieu*

us connus que sous It
;igot.

les dryades, les an*
cagères ont été pré»
r le terme prochain.
3 embastilleurs prestfi
:asematée, les villas,te
ins, les fleurs, les te
? vous le demande, i
pourra plus seprociflJj
)it de chaume ou "
s! C'est-à-dire que»]
i courraient risque »
imme vagabonds.
3 qu'en fait de bel»'
3 ouvrages à cornes,*1
mrailles parés de*1'
evis, etc., etc. Us'

ne sauraient regre»
onneraen échange»

mouir dans un j|
lus salutaire, nous*1
de respirer l'air <

fdelabenenaturej

comment la cWffl
adell

1S une maison ru

red, la citadelle de?

ustid*

de verdure; Par
suite à la *

LES CAROTTES

Oui JWwn 8- C'Pl.ln la Bourse 23. kiy. l'Aièert Ê

CAROTTE DRAMATIQUE ( Couplet au puHic.)

Avons, messieurs, je m'adresse ce. soir, Un "bouclier contre Dieu des atta.rju.es ;

Tons avez tant l'esprit, tant de finesse; c&k Donnez-moi, public oVn^eant,

i vous, messieurs, notre orgueil,notre espoir, ^ Yos soins, vos conseils... votre argent;

Je viens ici confesser ma. faiblesse; § Et surtout donnez-moi des claques :

ili donnez-moi, juge trop indulgent, < --—-^5*^8^-*-.---