Le charivari (13.1844)

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Jeresetdespip!SStt,
tutionnels !
-a poésie a voulu di

qu'elle nous livre, sm
me seconde édition de
Jler la méchante éoi.

^commande
produits fort bons,
ce défende
!3 rejetons?
grande
jambons?

le prétention del'éti
les esprits. Espérons
çantàsonvéto,etd'ai>
nt, tout ce bruit finira
e.

ipuis longtemps, are-
Maroc. Il était naturel
■ le terrain des cuirs,

îandé qu'à l'avenir le
plus tôt. Les contri-
budgets arrivent ton-

îè récemment publiée
;hé nous coûte deux
aute. A ce prix, il dé-
faire passer tant de

et plusieurs journaux
à la chambre l'ami-
;-Thouars. Ils oublient
brave amiral indigne

>as qu'on fume devant
x, de fumer derrière,
thousiasme soit éteint
faut que les pi^le

tabac devant les PjW-
3 s'allie pourtant fort

en lisant le tef*

sais pourquoi. M-
m Modeste Migno»>

este. »

Les Etrangers à Paris.

Cka AnW&CiePl.ae]aB(rarse2S.

Imj.i'lTikrterCi6

CE ÇUON APPELLE: BINER AU RESTAURANT.

— G-arçon1.. Yoilà une heure et quart que je suis dans votre établissement sans chaise.,.. et tous
H avez encore servi que des cure-dents à mon épouse qui meurt de faim. . .tous me ferez sortir de
mon assiette ordinaire, et je finirai par mettre tes pieds dans te plat.... entendez -tous, garçon!

— Yoilà, monsieur.... voilà, voilà, voilà ! ! ! ' '