Le charivari (13.1844)

LES BtMJX JOURS DE U VIE

W. 17.

,rouv», enfJ
quand 0n J

îrtes, ce n'estj
h le sentiment
îl de pardon i
iriat de-Mai4j
ii se sacrifie

Ce n'est iy>'» i
umame, l'éij,
ils abandonné,
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el homme,
fient de la di,i(
ssion ; mais il,
n, un ciseaiiesi
spérame, une,
aque partie w
soit imparfait,}
isse un peu là,
1 à la fois par,
d'abord de la pu
us le tout, j
es jambes nés
ist élégant et (
grosses sansi
:lont la jointure;
3e outre mesure,
; est communes
laïenne; que le t;
ui a fait le Chris
on de dire que
l'est qu'un horoi
mage, il en aval
jusqu'à quelfii
comme M. Pradit

ne.be, que la poil.
;s muscles inlert
3 et d'un dcflf
2nt et soupirait i
un corps d'hen.
sensible qui a vt
qui coule; que:
ne mortification
j, le tressaillera
Ions et des nerfs:
it merveilleuse»
! clous dans top
îst là une 'œuvres
e œuvre receval
jne œuvre de tait
enfin c'est un g?
nent à être de S
m et loué aussi»
e Préault, comiiie
indron, chacunïl

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3dans le départ* ft« AuWt,rU»liBoiiTse,E9.

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