TREIZIÈME ANNÉE. — jyo 246.
KRÉBus ,lÙ^ LUNDI 2SEPTEMBRE 184*. ^ ^ _ ' ' """ /
îere.
ïcois mois.
OU CHAVURES. ET VIGNETTES SDK BOIf.
»tB do croissait, 46 (HOTEl COLBE«t).
■
ïphorp, pabis. départemess, ^^^^^^""j!^^^^^ ^^^^S. ^^i^E^» IL-l'* HHHl ^ La collection complète de la nouvelle série, du! » jsa- !
« fr. <8 fr. fffl0-f&fë0!-yii . vier 1838 au 31 déc. 1843, 13 vol. Prix. 390 fr. »
'gogriphc : Ton. Six mois...................... 30 36 mËttÊ '■■'■W^'^^^^2 Chaque volume......................... 30
""U, (jnan........................ 60 72 aa^^^^m^'Ws\ jùjÉÉte*fe *W^ÊÊ^tËQt^^èmit On numéro isolé avec lithographie...... » 50o.
-- ' Le9abonnemens datent des i" et 16 de chaque moii.
iâ^oÂt'?» &<lttJ „. i, p.,n.. «i irà. „. «. flMF^ ^•Jf^S^SNfiSIf J&Sr^VWi ■^M L. JÉà SU ''BBIWFH 0n reçoit en paieiocnl <\rt& abonncaieni, les man»
brc recevront',^ f» Xsïc« Directeurs de poste, et .sans aucune aug- ^ • , 'A , > V4rlWi>ft 8ur les m— ^ J i ,7 T
a °"zc feui £ .* ^ a -onde prix, ehez les Directeurs des messageries: ^ ^^"Tl ""^fflTBffif>^ c°"cerne le Journal d0,t 6triadr^e (franC? 3U Dl"
nivellement. c !«» - des Eperonniers, 6, a Bruxelles,
^^^^
[de de l'ouvragTy^7
ip3 eaux à Saint-Clouri 11
Pft.ront d'heure X
ou soir. 111 :
eorges Dandin.
r—le Postillon.
'aines-le PapillonjauM
ee du Logis—les Cuisiniii
laison propose-lesFéi
>n extraordinaire.
César de Bazan.
iable.
g.
ine — la Journée d'une Jo
PETIT COMPTE EXT PARTIS DOUBLE
DE LA GRATITUDE BRITAÎWIDUE.
1 a sagesse des nations dit que l'on ne gagne jamais à faire du bien à des vilains, au contraire. Ce
m,i viPnt de se passer à Mogador offre une nouvelle preuve de la justesse de cet axiome. Voyez avec
Jïe générosité les Français se sont conduits envers les Anglais, et en quelle monnaie le digne
John Bull nous a payés.
BIENFAITS. RECONNAISSANCE.
AMl'S-liLïSEKS
)0 c.
Orphelin, de la chimi Sur la demande pressante du consul et des sujets Par l'intermédiaire d'un de leurs Judas consulai-
;wsécs).~ Grands «ercil ssgWs établis à Mogador, le commandant de l'es- resj m. Drummond-Hay, les Anglais ont perfidement
hevai, cIœ dressés,* ca(ire britannique avait promis d'envoyer le intrigué à Mogador comme ailleurs pour soulever les
Vesuvms et le Warspite pour protéger et enlever les
nationaux. Mais ces navires avaient sans doute maures et les exciter a ia résistance,
mieux à faire que cela, car notre escadre de bom- \\s onl expédié à Mogador ainsi qu'àlTanger d'é-
-~J-----' ' ' - "bardement était déjà en ligne devant la place qu'ils normes appTOvi8ionnemens d'armes, de munitions,
n'étaient pas encore arrives. de g
Le 12, un canot portant pavillon anglais avait ac- ' 8
costé le Suffit** C'était le vice-consul d'Angleterre, vaisseaux et contre la poitrine de nos soldats. Ce
M. Willshire, qui exposait au prince la situation dif- sont des canonniers anglais qui,"pendaiit l'attaque,
mj» • \> ilicile où il se trouvait et qui invoquait son appui. servaient les canons marocains et qui, par consé-
W IVieilIlt, * * M WUlahire avait déjà, par trois fois, demandé t ont été ]a cauge principille de nos perteS.
j au gouverneur l'autorisation de se retirer, lui et ses
[ nationaux,'sur les bâtimens marchands ancrés dans La conduite du prince de Joinville et de notre ma-
--- j le port. Trois fois sa demande avait été refusée, rine devant Mogador a été, de la part des journaux
lédcclns, chH parée que les chefs de ces familles, y compris le con- M robjet des injureg les lug grossières et des
>s. avec i'intW sul, sont redevables envers l'empereur de sommes , . ' , , -t
«»ww ) . ,AuimTlt T1QC „in;nc ad -m plus ignobles quolibets. Nous avons deja reproduit
\&m et l'Cft'CH111 immenses, qui ne s élèvent pas a moins de cinq mu- 1 c 1 J 1
M*8îaEn4 uiïl* lions. ^es Pasquinades du Chronick; d'un autre côté le
' médical; et «
royaume* 1T"
S. OÙ l'on s'adressait à l'amiral français pour le prier de vou- déshonorés.
loir bien appuyer et protéger les sujets de S. M. Bri-
tannique. On sait Que le Warspite a été témoin de nos efforts
Le prince de Joinville s'empressa d'accéder à cette généreuxpour préserver la liberté et la vie du consul
prière et d'offrir aux agens anglais un asile à bord et des sujets anglais, et ce sont les officiers de ce
de nos vaisseaux. même Warspite qui ont écrit les dégoûtantes lettres
Mais les Maures ne voulant pas se dessaisir du ga- bliées par le Times contre notre marine,
geueleur créance, refusèrent derechef de laisser
partir le consul et sa famille. Ils ne cédèrent pas da- Enfin, pour bouquet, le Mornïng-Post nous ap-
vantageaux sommations qui leur furent adressées prend aujourd'hui que lord Àberdeen a dû faire re-
MogadÔ?SUl"lS 6t ^ WarSVlt-' Cnfm ardvéS d6Vant mettre mie note k notre cabinet au suJGt de l'attaque
53. ©ù
re à 50 p. 010 de pcrt«
sûr M. le docteur
î::~«: de
d'Anlin, Io-
de H
et dûment enJ^S1^ |
ien»
,aHé de P8rl,d;'i ' inarocains en échange du consul anglais, de sa fem-
Weet(le son secrétaire. L'échange fut accepté, et ces
uiïes et récomiw» sujets britanniques se trouvèrent ainsi délivrés, grà-
,atms 6f rlide i^Û ce k l'intervention de la France.
^tenues » l'g[
.incurabl^0^^ , ^ A^MiiL^
•ytf A».^»"s405^J , résunlé, de pareils faits ne sauraient nous étonner ; Â «si convlùl" que la reconnaissance csf
'AFFB*J5>*f .^crtu des belles âmes; comment dès lors pourrait-on ea^W^-^t^s anglaises!
yx>^£^2>T * VUUUC8 celles ames; comment dès lors pourrait-on er/-3.|iend
On comprend que les Marocains ne voulussent pas Morning Advertiser s'est écrié qu'à Mogador, comme
se dessaisir d'otages aussi précieux. M.^ Willshire à Tanger, le prince et le pavillon français s'étaient
L'INSTITUT HISTORIQUE ET LES DIEUX*
Bue Saint-Guil-
laume, dans le
pays latin, il exis-
te un Institut his-
torique où il se
passe des choses
dignes d'être in-
sérées dans feu le
Dictionnaire de la
Fable.
On y fait et ou
Ijjjjjiy défait des dieux
jrégulièrement
'deux fois la se-
maine. Les divi-
nités y sont mises à l'ordre du jour et ne passent ordi-
nairement qu'après un second tour de scrutin,quand
elles sont assez heureuses pour passer.
La semaine dernière, l'Institut tout entier s'est
habillé de lin gaulois ; on aurait dit un grand collège
de druides, à l'instar de ceux que M. de Chateau-
briand a chantés dans les Martyrs.
Sur les deux heures précises de l'après-midi, le
dieu Tcutatès fut mis en discussion par un côté gau»
clie qui niait formellement son existence.
knnX „ .. . i -r • mi t de Mogador, laquelle note demanderait insolemment
Apres l'attaque, le prince de Joinville, voulant
emplir sa promesse, fit proposer au gouverneur de une bépaiïawon et une évacuation immédiate.
3Cf^*"^'mî\i^\ ''ai,"le de lui envoyer trente-cinq de nos prisonniers
ùteusedeces
, ]a jraculté «e 1
iueede Pans, Pf°tes^ juti»»*" - r-rllt wro secrétaire, ju ewiiinge lui uceepie, ei ces
Heureusement un côté droit et des centres soutin-
rent l'opinion contraire. La majorité fit entendre le
nom de la vierge d'Irminsul: Velléda! Vellédal et
Teutatès fut adopté par dix-huit contre douze.
11 a été de plus décidé que ce protecteur des Gaules
serait cliché aux frais de l'Institut avec une couronne
de gui de chêne sur la tète et une serpette d'or à la
main. Le côté gauche devra saluer cette image tous
les jours de séance, en expiation de ses votes.
Mais Brahma n'a pas eu, à beaucoup près, le même
bonheur. Le titre de dieu lui a été unanimement con-
testé.Un voyageur de la compagnie ayant rapporté l'a-
voir vu représenté dans la grande pagode de Jaggre-
nat à cheval sur un éléphant noir, on lui a refusé la
qualité de Jupiter du Gange. Comment lancer la fou-
dre avec quelque majesté du haut d'une trompe ?
Toutefois M. Louis Alloury, des Débals, ayant par-
ticulièrement insisté pour qu'on lui accordât quelque
KRÉBus ,lÙ^ LUNDI 2SEPTEMBRE 184*. ^ ^ _ ' ' """ /
îere.
ïcois mois.
OU CHAVURES. ET VIGNETTES SDK BOIf.
»tB do croissait, 46 (HOTEl COLBE«t).
■
ïphorp, pabis. départemess, ^^^^^^""j!^^^^^ ^^^^S. ^^i^E^» IL-l'* HHHl ^ La collection complète de la nouvelle série, du! » jsa- !
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'gogriphc : Ton. Six mois...................... 30 36 mËttÊ '■■'■W^'^^^^2 Chaque volume......................... 30
""U, (jnan........................ 60 72 aa^^^^m^'Ws\ jùjÉÉte*fe *W^ÊÊ^tËQt^^èmit On numéro isolé avec lithographie...... » 50o.
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brc recevront',^ f» Xsïc« Directeurs de poste, et .sans aucune aug- ^ • , 'A , > V4rlWi>ft 8ur les m— ^ J i ,7 T
a °"zc feui £ .* ^ a -onde prix, ehez les Directeurs des messageries: ^ ^^"Tl ""^fflTBffif>^ c°"cerne le Journal d0,t 6triadr^e (franC? 3U Dl"
nivellement. c !«» - des Eperonniers, 6, a Bruxelles,
^^^^
[de de l'ouvragTy^7
ip3 eaux à Saint-Clouri 11
Pft.ront d'heure X
ou soir. 111 :
eorges Dandin.
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>n extraordinaire.
César de Bazan.
iable.
g.
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1 a sagesse des nations dit que l'on ne gagne jamais à faire du bien à des vilains, au contraire. Ce
m,i viPnt de se passer à Mogador offre une nouvelle preuve de la justesse de cet axiome. Voyez avec
Jïe générosité les Français se sont conduits envers les Anglais, et en quelle monnaie le digne
John Bull nous a payés.
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;wsécs).~ Grands «ercil ssgWs établis à Mogador, le commandant de l'es- resj m. Drummond-Hay, les Anglais ont perfidement
hevai, cIœ dressés,* ca(ire britannique avait promis d'envoyer le intrigué à Mogador comme ailleurs pour soulever les
Vesuvms et le Warspite pour protéger et enlever les
nationaux. Mais ces navires avaient sans doute maures et les exciter a ia résistance,
mieux à faire que cela, car notre escadre de bom- \\s onl expédié à Mogador ainsi qu'àlTanger d'é-
-~J-----' ' ' - "bardement était déjà en ligne devant la place qu'ils normes appTOvi8ionnemens d'armes, de munitions,
n'étaient pas encore arrives. de g
Le 12, un canot portant pavillon anglais avait ac- ' 8
costé le Suffit** C'était le vice-consul d'Angleterre, vaisseaux et contre la poitrine de nos soldats. Ce
M. Willshire, qui exposait au prince la situation dif- sont des canonniers anglais qui,"pendaiit l'attaque,
mj» • \> ilicile où il se trouvait et qui invoquait son appui. servaient les canons marocains et qui, par consé-
W IVieilIlt, * * M WUlahire avait déjà, par trois fois, demandé t ont été ]a cauge principille de nos perteS.
j au gouverneur l'autorisation de se retirer, lui et ses
[ nationaux,'sur les bâtimens marchands ancrés dans La conduite du prince de Joinville et de notre ma-
--- j le port. Trois fois sa demande avait été refusée, rine devant Mogador a été, de la part des journaux
lédcclns, chH parée que les chefs de ces familles, y compris le con- M robjet des injureg les lug grossières et des
>s. avec i'intW sul, sont redevables envers l'empereur de sommes , . ' , , -t
«»ww ) . ,AuimTlt T1QC „in;nc ad -m plus ignobles quolibets. Nous avons deja reproduit
\&m et l'Cft'CH111 immenses, qui ne s élèvent pas a moins de cinq mu- 1 c 1 J 1
M*8îaEn4 uiïl* lions. ^es Pasquinades du Chronick; d'un autre côté le
' médical; et «
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S. OÙ l'on s'adressait à l'amiral français pour le prier de vou- déshonorés.
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tannique. On sait Que le Warspite a été témoin de nos efforts
Le prince de Joinville s'empressa d'accéder à cette généreuxpour préserver la liberté et la vie du consul
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Mais les Maures ne voulant pas se dessaisir du ga- bliées par le Times contre notre marine,
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partir le consul et sa famille. Ils ne cédèrent pas da- Enfin, pour bouquet, le Mornïng-Post nous ap-
vantageaux sommations qui leur furent adressées prend aujourd'hui que lord Àberdeen a dû faire re-
MogadÔ?SUl"lS 6t ^ WarSVlt-' Cnfm ardvéS d6Vant mettre mie note k notre cabinet au suJGt de l'attaque
53. ©ù
re à 50 p. 010 de pcrt«
sûr M. le docteur
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d'Anlin, Io-
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yx>^£^2>T * VUUUC8 celles ames; comment dès lors pourrait-on er/-3.|iend
On comprend que les Marocains ne voulussent pas Morning Advertiser s'est écrié qu'à Mogador, comme
se dessaisir d'otages aussi précieux. M.^ Willshire à Tanger, le prince et le pavillon français s'étaient
L'INSTITUT HISTORIQUE ET LES DIEUX*
Bue Saint-Guil-
laume, dans le
pays latin, il exis-
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passe des choses
dignes d'être in-
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Dictionnaire de la
Fable.
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jrégulièrement
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La semaine dernière, l'Institut tout entier s'est
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de druides, à l'instar de ceux que M. de Chateau-
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knnX „ .. . i -r • mi t de Mogador, laquelle note demanderait insolemment
Apres l'attaque, le prince de Joinville, voulant
emplir sa promesse, fit proposer au gouverneur de une bépaiïawon et une évacuation immédiate.
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ùteusedeces
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iueede Pans, Pf°tes^ juti»»*" - r-rllt wro secrétaire, ju ewiiinge lui uceepie, ei ces
Heureusement un côté droit et des centres soutin-
rent l'opinion contraire. La majorité fit entendre le
nom de la vierge d'Irminsul: Velléda! Vellédal et
Teutatès fut adopté par dix-huit contre douze.
11 a été de plus décidé que ce protecteur des Gaules
serait cliché aux frais de l'Institut avec une couronne
de gui de chêne sur la tète et une serpette d'or à la
main. Le côté gauche devra saluer cette image tous
les jours de séance, en expiation de ses votes.
Mais Brahma n'a pas eu, à beaucoup près, le même
bonheur. Le titre de dieu lui a été unanimement con-
testé.Un voyageur de la compagnie ayant rapporté l'a-
voir vu représenté dans la grande pagode de Jaggre-
nat à cheval sur un éléphant noir, on lui a refusé la
qualité de Jupiter du Gange. Comment lancer la fou-
dre avec quelque majesté du haut d'une trompe ?
Toutefois M. Louis Alloury, des Débals, ayant par-
ticulièrement insisté pour qu'on lui accordât quelque
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
L'Institut historique et les dieux
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Entstehungsdatum
um 1844
Entstehungsdatum (normiert)
1839 - 1849
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 13.1844, Septembre (No. 245-273), S. 957
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg