Le charivari (13.1844)

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LUNDI 9 DÉCEMBRE 1844. H— ià.T ^ ; Yr JL TREIZIEME ANNEE. — N° 343.

,u de la rédaction et de 1 administration, à Paris, Ù. - ! VH^K^JHHb ; ' /fi ! Publiant chaque iour un nouveau dessin en lithographie,

*W or CROISSANT, 16 'lIOTRI. COM.EK1 . :jj J^ç.^^^' f "if/jR' V ' 00 GRAVURES, r, VIGNETTES SUR BOIS.

PARIS. IIEIMKTEMI5XS.

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mots.................... 15 IV. 18 fr. : Ujj^HHpyP' • rXw ■. " ' • f ' jy^^^Si^J. * collection complète tic In nouM'Ile série, du !«'• jan

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w s-abonne, pour la France et l'Étranger, aux bu- '''IMÈ l~WT$ÊÊ Él*i UP> Ik mÊËmR\ \' fil,: ' ' On reçoit en paiement des abo......mens, les mau-

0d «lu Journal, chez les Correspondans, les Li- ' •J^^Hft^Kv W lEÊBt'/M ïlfl 'm ^^^ÊÈml»1' (iats àvue sur le Trésor et sur la Posle, el les effets

pires, les Directeui s de posle, el, sain aucune aug A^WÊsÊmMw&hmÈk JpCsFv^T*"' s,,r les maisons de Banque de Paris. - Tout ce qui

«nlulion de prix, chez les Directeurs des messageries ...^ jy-y-^^^^^^^^IMÊÊKÊB^t%^S X ..i- concerne le Journal doit être adressé . franco) au Di-

|pour la Belgique, chez Jules Géruzet, libraire, rue ": ; .! _ _ 1 '[ y* 1 ' L ra,îteur- ~ Les lettres non affranchies' seront rigou-

'jcsÉpcronnicrs, 6. a Bruxelles.. - 'jr'±=^r&S^^~---------" reusement refusées.

LE GHAilfMM

un grandi»
que les

re veut
fait-il pasn

îT>s-5 uiourd'hui 9 décembre, anniversaire de la naissance de
.Cl l'illustre Sancho Pança, .le Charivari croit devoir célé-
brer ce glorieux événement par un numéro illustré.
Dans cette journée remarquable, pour honorer la mé-
moire du grand philosophe de Barataria, le public nous
saura gré de lui parler en proverbes. Qu'il se fasse en-
tendre du haut du trône par la bouche savante de
Salomon, ou qu'il s'exprime dans le dialecte énergique des paysans de la
P^'^laache par l'intermédiaire de Sancho Pança, le proverbe est toujours

k qu'on fusil!

ie une lettre k
îst-ce qu'oQs'im

ÏBUS ILLUSTRÉ,

■ Ruolz aurait le S
sept jours scie, qui
lis, invalide adoré.

OLD PANNIER.

La politique du juste-milieu faisant toutes sortes d'avances à la reine
Christine; traduction libre : Tl faut amadouer la Poule pour avoir

les poussifs.

voix du peuple, le cri de l'opprimé, la protestation de la conscience
hvmaine contre les inégalités sociales, les abus de la politique, les fai-
lesses de la morale. Le proverbe est éternel, comme les abus auxquels
attaque. Aussi les vices, les travers, les ridicules que nous combattons

Après avoir assisté à la fin du dix-huitième siècle, athées sous la Répu-
blique, indifférents sous l'Empire, légèrement impies sous IaKestauration,
onnu pour ses glas ///////jjlij.j i jjj&i éclectiques dans les premières années qui suivirent Juillet, nos hommes

loujL^lToMt'fi vw////|/|)j liij'jiihi 1 fflsj*k s^^^^^> d'état deviennent dévots pour flatter le pouvoir, rajeunissant ainsi la

i réservé un déni liiiillillll Hvieille maxime : Quakd le Diable devient vieux, il se fait Ermite.

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■ntionner les p.

É^i]0UrsPe gagnent-ils rien à notre changement de langage. JN'est-ce
Lïfl' Vrs.'m. proverbe qui nous soutient dans notre lutte quotidienne?
ïue ' ^e v°ici est la massue oui chacun assomme