LE CHARIVARI.
OU L'ON PROUVE
que chacun prend son plaisir où il le tronTC.
Flammèche s'étonnait de voir que les Parisiens s'amusaient si tranquillement le
dimanche, mais nous-mêmes nous nous étonnons de l'étonnement de Flammèche,
^r en^^ ^^^^^^^^^^^^
de satisfaction ' V ' vantage immen-
se d'être le plus petit de tous les papiers publics, ou d'acheter tous les livres de
__^^ga^L^,.......;-fB5Bjg? la librairie Hetzel, qui sont les
"ijïffgj^plus beaux du monde.
Les autres font consister le sou-
verain bonheur à se rendre, à midi
sonnant, auprès du canon du Pa-
lais-Royal, pour régler leur montre,
qui se dérègle invariablement pour
le lendemain.
D'autres Pa-
risiens ne sou-
pirent aussi
qu'après le
soleil, mais
c'est pour lui
voir chauffer
les flots plus ou moins azurés qui baignent les piles du Pont-
Neuf et du Pont-Royal. — L'École de natation est pour ces;ff
mortels le temple du bonheur sur terre, ou plutôt sur l'eau. (
—Laissons-les donc goûter en paix les plaisirs de la coupe etf|
les voluptés de la planche !
Pendant que vous êtes sur le bord de l'eau, suivez la Seine, et vous verrez une
foule de braves gens siècle que les gou-
qui trouvent qu'on j \ ^ jons se laissent
ne peut heureuse- \ • • prendre à l'hame-
ment descendre le j -y^r -O^W' |j§L — çon, ils ne sont pas
Houve de la vie , \ lJhW' assez actionnaires
qu'en prenant un -^JX'-^s^^^^tky ' " pour cela ;—je vou-
bain de pied per- ■ ■'~-cw^>:m''i " lais écrire jobards,
pétuel à la même ■->, c ' ^jEffisâ. mais du moment
place, dans l'espoir _ - où j'ai mis action-
d'attraper un gou- _.^/*rr^^^^^^^^^'-.:■' Hg." naires, je laisse
Mais ce n'est pas —Hï^T""""-- *"jjfjfc^ \ffli-- Des dames, sous
au dix-neuvième =2Œgi§iï^SH^liS^ prétexte de cultiver
une voix qu'elles n'ont pas, chantent du matin au soir des romances avec accom-
pagnement de piano et de jjr keurs, mazurkeurs, val-
grimaces. — Ne troublons fÊËrk seurs et autres enragés
pas leur bonheur, seule- _ danseurs. — Us sautent
ment souhaitons qu'il leur depuis dix heures du soir
prenne un jour fantaisie Jusqu'à sept heures du
de ne chanter leurs Petites / matin, et ils appellent cela
-----s^udela lédactionrf
RETOUR DE FLAMMECHE EN ENFER vg p3 «oissart
et félicitations de S:itan.
Vingt-quatre heures s'étaient à peine écoulées depuis l'arrivée de Flammèche
à Paris, et déjà la besogne qu'il avait commandée aux artistes parisiens était
terminée. — Cro- , Ali l'ouvrage demandé
sies
mœurs
quis, pochades, j \u par Satan sur Pa-
nouvelles, fantai- _ J |f§|l\ s- ris étant complet, ^imcuw"» »
articles de , ^JW j^^\^>&^\\ - >{ Flammèche fit sa
c, et romans jsJ&Jeàmhlxlb œx; malle pour repren- 0Bs'abon,lC'pTVh<
entiers, étaient en- -M-.IÉWÉ'l), ixhJitëÙÊzL--l dre le chemin de w* du l05.^urs'
tassés sur le bu- lllil^1:riK l'enfer.
to Belgique,"
reau de notre dia- ■jjKv^' Jf\ ffB^^r^:"--~ Satan, du plus ^^la b<"b-m—» -
ble de lettres. Le ^f^™3^^^^ loin qu'il aperçut 6*
premier volume de son jeune secrétai-
re, lui cria: — Eh! Flammèche, que me rapportes-tu de bon?... Ton volume
est-il amusant?
— Tenez, sire, répondit Flammèche, si vous n'êtes pas satisfait, c'est que déci-
dément vous êtes difficile en diable, et même plus qu'en diable. —Vous avez
voulu connaître Paris, le voici dépeint par George Sand, Léon Gozlan, Balzac.
Socué, de Musset, P.-J. Stakl , Karr, Gautier, Briffault, Albert Aubert.
Houssaye, Lavalette, etc,etc.,et illustré par cent grandes vignettes deGAVAiisi
et trois cents de Bëktall. Que voulez-vous de plus? En disant ces mots, Flam-
mèche, qui avait conservé son habit noir de Paris, vida aux pieds de Satan une
corbeille remplie des cinquante livraisons formant le volume qu'il s'était chargé _ . ,
1 ' ' Tovrt'. nouvel abo
décomposer. le,,uaJce n«mé«
^^ÉÉSk " iranien» volumes
■4Ê& Toute personne
_^___ '^TSyfiSlSïBBsfî» — num n"ur» an, rec
~rr.^-^ty-~-_-: -■ éÊKÊÊB^~W, tts, éllégansmenl
^HHjHuj^Mb^ nuiront, recevoir
7^j:~:-~:r v~l''-^tE^Kffmf^^Êm ml Bjouter 1
": ----_.V •-^BBEte^^W^^tel."'" el«v« abonneras
Ai
Satan, satisfait de la manière dont Flammèche avait rempli sa mission, déclara
que le Diable a Paris serait le Keepsake qu'il offrirait en cadeau, à l'occasion du
nouvel an, à la reine des enfers ! — après quoi Flammèche, ayant fourré les mains
dans ses poches, en tira toute une bibliothèque de livres charmants qu'il offrit à
l'intéressante lignée de son maître : au petit Astaroth, la Bouillie de la comtesse T"~~~Tr'.
ic. A nuellc il
Berthe; le Tom Pouce de Stahl au gentil Lucifer ; et à leurs altesses infernales Je'desubir cellf
les diablotines, Trésor des gré son désir, récompenser L jj Thiers
Fèves et Fleur des Pois, de fS^L^» lous 'es ariistes qm avaient {institutionnelle
Nodier; le Casse-Noisette, WÊËËÊË pris part à l'exécution de Du reste à ci
d'alex. Dumas et la 3hjlho- ■' j'^s-'-^-K.^ ces ouvrages mémorables, «elles, il y a au:
logie illustrée. Puis s'étanl jyWMy voulut du moins donner lltez pas de cri(
retourné vers les dames de '"'^^Êmk ' une naule marque de sa gestion ici de 1
la cour, il leur donna à choi- - wWÊÊL satisfaction à Flammèche, te discussions
sir entre le Werther, le V;:--y^âKgMM^^ÊC? ot il le nomma capitaine de toœ88oires,qui i
Voyage où il vous plaira, ?aÉfi Wl ]yY ''Y""irdr" l"e hors d'état
les Animaux peints par eux- ''^KmlMmi^^^^ Flammèche remercia son On jouait nag
t leurs des boas, ou leurs -yxc$A /■'■/ un délassement _Etrange - . . . . -UUHL lH=ss^Vâ . , . i'iVp ir>*u.,u„
... . , , immÊrW5m'/--^ Ë-. U dDoL \ mêmes, etc., etc., etc., etc. .Jr*^n ^ souverain en courtisan bien '«.e intitulée j
Ueverxes dans la monta- lïlîfcà te^E**3T""<» M-abus delà lan«ne el fl<»« -, , , Iv , „ iinr-m „„„ ,.r
, , rSSPd^a^^Jfe wngue ei ues Satan ne pouvant, mal- W appris e! nui arrive de Pa- l'drau que <.e
une qu au milieu de la 'mM^^^ÊSÉSÊm^^ÊÊ^ iambes françaises ! • r. • „ , , „ . ., „ ' une
i ns. Puis, sur l'ordre de Satan, il alla porter une caisse de cigares d'honneur a ^
l'éditeur Hetzel, ruô Richelieu, qui a fait une édition spéciale de ce livre pour la terre. j Sa\° ^ l
Grâce à la haute ap- m, plus spirituelle lanterne L „
i ,■ j o . '« -Shf . ,. , , «it en croire F
probation de batan, le JjÊiK « magique; d autant plus *s de cent
Diable a Paris est tout fâ&Èif? amusante, qu'on enjouil *i des Franca
aussi à la mode aujour- ^ - au com c'e son fe"' sans *ent le pouvoi
d'hui en enfer que sur \vrj- rf|?SSfe]| l'accompagnement obligé tes, avec le <
terre, et'l'avis unanime «■BBt^®wl^'''' t''un or8ue ^e barbarie te la couronne
est que jamais on n'a vu '.jAHipii7 \\j, L K et du charabia savoyard Agiter plusieu
une plus récréative et ' d'un Auvergnat ! îrgent d'établir
plaine Saint-Denis. WfQi^^^ç^n Jamais Paris ne s'est plus
Parlez-moi des pol- //jj)Jf ^^^E= livré à la danse que de
notre époque. — Ce n'est plus une mode, c'est une maladie, une frénésie ;
les Parisiens dan- mtâ. ge, quand toutefois
sent pendant l'hi- ^^^^^^mMm ils peuvent trouver
ver, et durant le- J^^^m^AWmAm desombragesquel-
té, au lieu de se MWM fe^^|^^M^?conclues > dans ce
reposer, ils redan- ^^M^^^^^p^^^ qu'on est convenu
sent sous l'ombra- ^mi^=^^^^- de nommer des
bals champêtres. Plaignons Flammèche de n'avoir pu assister au bal Musard.
lus.
^'ous avons c
r ---- . . i, ""^ avons (
LEOl'OLD PANNIER, gérant responsable. ^^-Bugeaud
impiumeiue de schneider et lakgrand, rue d'erfurth, i. l ^ssç ^aUS f
Es^tamation
OU L'ON PROUVE
que chacun prend son plaisir où il le tronTC.
Flammèche s'étonnait de voir que les Parisiens s'amusaient si tranquillement le
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"ijïffgj^plus beaux du monde.
Les autres font consister le sou-
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lais-Royal, pour régler leur montre,
qui se dérègle invariablement pour
le lendemain.
D'autres Pa-
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pirent aussi
qu'après le
soleil, mais
c'est pour lui
voir chauffer
les flots plus ou moins azurés qui baignent les piles du Pont-
Neuf et du Pont-Royal. — L'École de natation est pour ces;ff
mortels le temple du bonheur sur terre, ou plutôt sur l'eau. (
—Laissons-les donc goûter en paix les plaisirs de la coupe etf|
les voluptés de la planche !
Pendant que vous êtes sur le bord de l'eau, suivez la Seine, et vous verrez une
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ne peut heureuse- \ • • prendre à l'hame-
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Houve de la vie , \ lJhW' assez actionnaires
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Mais ce n'est pas —Hï^T""""-- *"jjfjfc^ \ffli-- Des dames, sous
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une voix qu'elles n'ont pas, chantent du matin au soir des romances avec accom-
pagnement de piano et de jjr keurs, mazurkeurs, val-
grimaces. — Ne troublons fÊËrk seurs et autres enragés
pas leur bonheur, seule- _ danseurs. — Us sautent
ment souhaitons qu'il leur depuis dix heures du soir
prenne un jour fantaisie Jusqu'à sept heures du
de ne chanter leurs Petites / matin, et ils appellent cela
-----s^udela lédactionrf
RETOUR DE FLAMMECHE EN ENFER vg p3 «oissart
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Vingt-quatre heures s'étaient à peine écoulées depuis l'arrivée de Flammèche
à Paris, et déjà la besogne qu'il avait commandée aux artistes parisiens était
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premier volume de son jeune secrétai-
re, lui cria: — Eh! Flammèche, que me rapportes-tu de bon?... Ton volume
est-il amusant?
— Tenez, sire, répondit Flammèche, si vous n'êtes pas satisfait, c'est que déci-
dément vous êtes difficile en diable, et même plus qu'en diable. —Vous avez
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Socué, de Musset, P.-J. Stakl , Karr, Gautier, Briffault, Albert Aubert.
Houssaye, Lavalette, etc,etc.,et illustré par cent grandes vignettes deGAVAiisi
et trois cents de Bëktall. Que voulez-vous de plus? En disant ces mots, Flam-
mèche, qui avait conservé son habit noir de Paris, vida aux pieds de Satan une
corbeille remplie des cinquante livraisons formant le volume qu'il s'était chargé _ . ,
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l'intéressante lignée de son maître : au petit Astaroth, la Bouillie de la comtesse T"~~~Tr'.
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l'éditeur Hetzel, ruô Richelieu, qui a fait une édition spéciale de ce livre pour la terre. j Sa\° ^ l
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Diable a Paris est tout fâ&Èif? amusante, qu'on enjouil *i des Franca
aussi à la mode aujour- ^ - au com c'e son fe"' sans *ent le pouvoi
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notre époque. — Ce n'est plus une mode, c'est une maladie, une frénésie ;
les Parisiens dan- mtâ. ge, quand toutefois
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^'ous avons c
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LEOl'OLD PANNIER, gérant responsable. ^^-Bugeaud
impiumeiue de schneider et lakgrand, rue d'erfurth, i. l ^ssç ^aUS f
Es^tamation
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Le Diable à Paris
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Entstehungsdatum
um 1844
Entstehungsdatum (normiert)
1839 - 1849
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 13.1844, Décembre (No. 335-365), S. 1424
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg