JLB CHAHWAltl.
— Seulement ses girouettes, au lieu d'êire au faîte,
sont placées dans les régions les plus basses.
— On dit que M. Duchâtel se propose d'ouvrir
prochainement, au Palais-Bourbon, une boutique de
changemens... d'opinions.
— Le budget sera, dit-on, voté en mars ; le Sys-
tème a bon marché se charge de nous faire faire no-
tre carême.
— On veut réprimer la fraude sur les, boissons ;
c'est très bien ; mais quand nous délivrera-t-on aussi
des représentans frelatés?
— Les marchands de vin coutumiers de mouilla-
ge prétendent qu'ils ne font qu'imiter le gouverne-
ment, lequel se garde bien d'exciter l'ivresse publi-
que.
— Depuis deux jours, à la chambre, il est ques-
tion de fraudes devant nos austères ministres gui-
zotins. La chambre ne connaît sans doute point le
proverbe qui prescrit de ne pas parler de corde dans
la maison d'un pendu.
— Malgré sa nouvelle loi, nous espérons bien que
le Système actuel sera forcé, un de ces jours, de
mettre de l'eau dans son vin.
— Nos pairs discutent en ce moment sur les tra-
vailleurs. Il sont vraiment bien compétens 1
RÉBUS.
bals masqués. — 14 février, l'Opéra donne son dernier
bal avant les jours gras; aussi l'on se presse aux trois premier
rangs; déjà depuis mardi toutes les loges sont louées ; la salie
quoique immense, ne sera peut-être pas assez vaste. Il y auta'
sans doute énormément d'élus, mais il y a tant d'appelés!
»% Un artiste dévoué consciensieusement au culte de l'art
M. Bessems, qui s'est fait connaître à la fois comme violoniste
et comme compositeur, donnera samedi, à la salle de l'Allié,
née des Familles, rue Monsigny, 6, un concert dans lequel se-
ront exécutés des quatuors et des quintettes de Haydn, de
Mozart, de Beethoven et de Bocherini. Nous recommandons
cette soirée à l'attention des véritables amateurs.
40» 13 '
u J3 la rédaction et de 1^
I^s datent desi"
explication du dernier rebus iliustré.
C'est une triste chose pour un gastronome qu'un restaurant
à six sous le plat. ( 7 une triste chose pour un gastronome
. J Brilish and forcign
qu'un reste—Orang assis sous le plat). fatSlreet Strand
Le gérant, léopold pannier.
Si le public ne se pressait pas chaque soir dans la jolie salle
du Jardin-Turc et n'avait vu de ses yeux l'étonnant spectacle
qui s'y joue, il pourrait croire exagérés les éloges que tout le
monde en fait. Là une troupe d'artistes comme on on n'en
voit pas joue des pièces comme on n'en voit guère, faites par
des auteurs comme on en voit peu. Ces artistes sont des
chiens et des singes, mais quels chiens et quels singes! Cela
est honteux à dire pour notre espèce, mais, après la premiè-
re apparition de ces nouveaux comédiens, lorsqu'on voit un
de nos semblables, qui est réduit à remplir les intermèdes,
entrer sur la scène qu'ils viennent d'occuper, on est peu in-
intéressé; il a beau faire des tours comme ni vous ni moi n'en
ferons jamais, il ne parvient qu'à grand'peine à obtenir un
peu d'attention. Chacun garde ses bravos pour les intéres-
sans quadrupèdes et ses émotions pour le drame qu'ils jouent.
Aussi faut-il voir, à l'entrée de la grande coquette, aux lazzis
du comique, aux tirades du père noble et à l'emportement du
jeune-premier, comme on bat des mains et comme on se mon-
tre satisfait!
En terminant, nous dirons que les artistes milanais ne dé-
daignent pas les bouquets et les couronnes, mais qu'ils leur
préfèrent de beaucoup les noix et les morceaux de sucre.
PROCÉDÉ FORTIER.Telnture,dé8rai88aseeta
DE JEAN MISÈRE,
prêt d'étoffes, r.du Bouloi.S
RUBRIQUES, FÉRULES ET BLUBTTES
PROVINCIALES,
par deux jumeaux des xviii» et xixe siècles,
Le Centenaire candidalma et le chevalier de saint-vincent de pauee; avec des notes de l'éditeur
responsable. 2 vol, in-8° de 20 feuilles au moins chacun. L'ouvrage paraîtra régulièrement tous les mois par
livraisons de 2 feuilles à raison de 35 c, la feuille (16 pages). En vente à Paris, à l'Agence de Publicité, rue Vi-
vienne, 53; Comon et comp., libraires, comptoir des imprimeurs unis, quai Malaquais, 13.—n. b. Le second
volume est sous presse.
LE CHOCOLAT MENIER
Comme tout produit avantageusement connu, a excité la cupidité des contre-
facteurs ; sa forme particulière, ses enveloppes, ont été copiés, et les médailles
dont il est revêtu ont été remplacées par des dessins auxquels on s'est efforcé de
donner la même apparence. Les amateurs de cet excellent produit voudront
bien exiger que le nom MÉNIER soit sur les étiquettes et sur les tablettes.
Dépôt principal passage Choiseul, 21 ; et chez MM. les pharmaciens et épi-
ciers de Paris et de toute la France.
CONSERVATION INDÉFINIE DES CERCUEILS
Parle procédé MARGARY. — Ce procédé, le meilleur de tous pour la conservation des bois, et le seiU définitivement
adopté par le gouvernement anglais et par les chemins de fer, peut être appliqué avec efficacité aux cercueils d'ordonnance de
l'administration. Le prix ne dépasse pas 20 fr., quelle que soit la grandeur des cercueils. Le procédé peut être également appliqué
aux cercueils déjà renfermés dans les tombes.—S'adresser à l'établissement spécial, à M. A. Gros, rue de Miroménil, 69, à Paris.
R0G1ER (Jean-Baptiste), désire se
placer comme domestique ou cocher,
et au besoin comme portier. 11 a de
bons répondans. Eerire franco, rue de
Verneuil, 25._ _
Imprimerie Lange Lévï et Ce,
rue du Croissant, 16.
Restaurant dn I»are-aox-nnltres.
SPÉCIALITÉ FOUR LES HUITRES.
baisse de prix. Rue Montorgueil, 62. baisse de prix.
Huîtres de Cancale. . . so c. la douzaine. \ Arrivages
— Blanches. . 50 c. — I rnnrripr
— Anglaises. . 50 c. — • ( " courner
— d'Ostende. .60 c. — ) tous les jours.
Le prix à la carte est le même que dans les maisons voisines. — Douze cabi-
nels de société. Les prix des mets ne dillérent pas de ceux des salons.
ASSURANCE "
CONTRE LES CHANCES DU TIRAGE AU SORT
Garantie complète.—Dépôt de fonds.
Versement chez an seul notaire,
III. PHiLIPOI, 12, rue Ste-Appollâne.
A vendre, pour cause de santé, fonds
de fabrique de. biscuits, pâtisserie sè-
che, en pleine activité, située au centre
de Paris. S'adresser à M. Fortin, 7,
rue des Jeûneurs, tous les jours de 8 a
11 heures du matin.
On demande à emprunter une som-
me de 3,500 fr. payables dans un an.
On donuera en garantie la propriété
de deux fonds en pleine prospérité rap-
portant 10,000 fr. et d'une valeur de
35,000 fr. dont les ustensiles valent au
moins! 8,000 fr.
S'adresser à M. le directeur de l'en-
Ireprise des Annonces, r. Vivienne, 53.
PRIX DES ÂMOÏÏCESî
60 centimes la petite ligne.
CAMP DE LA GIRONDE.
11 Vues du Camp, et portrait à cheval de M. le duc d'Aumale avec le
texte, par Emm. Massé. (Prix : 15 fr.) Chez l'auteur, rue Neuve-Saint-
Georges, 3, à Paris.
P
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a
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• Maladies Secrètes. »
Guérison prompte, radicale et peu coûteuse de ces Maladies parle
traitement du Dr CH. ALBERT, Médecin a« i« Finit* d* Paru, maint » i*w
nuoie, ex-pharMicIan de* hôpitwx de la rille do Paris, profeitear do médecine et da botanique»
honore de méd*Ulet et récompensai national**, ato., ate.
R. MontOrgUeil, 21.*Consultations gratuites tous les jours.
Les guériwms nombreuses et authentiques obtenues à l'aide de ce traitement ÏUI
une foule d© malades abandonnés comme incurables, sont des preuves non équi-
voques de sa supériorité sur tous les moyens employés jusqu'à ce jour. eg>
pffo/a. Co traitement est facile à gaWre on tecret on ea ,oynge, et mn» Hein dérangement.
TRAITEMENT PAR CORRESPONDANCE. (Af»BAI»CBIK.)
f
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fm- Le patron
•metout à fait boum
>?rier, après-*
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^•MaiMprrie
Tt0Us ces embarras.
° ° livret est-
>u„f;E^equecet
^ ^f, d'aile
ENTREPRISE SPECIALE
DES ANNONCES
POUR TOUS
LES JOURNAUX DE PARIS, DES DÉPARTEMENS ET DE L'ÉTRANGER.
S'adresser à M. NORBERT ESTIBAL, fermier des Annonces de la Gazette des
Tribunaux, du Charivari, etc., rue Neuve-Vivienne, 55.
" «in un ouvrier
a notre ce
W yavait e«
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Proposer d'(
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— Seulement ses girouettes, au lieu d'êire au faîte,
sont placées dans les régions les plus basses.
— On dit que M. Duchâtel se propose d'ouvrir
prochainement, au Palais-Bourbon, une boutique de
changemens... d'opinions.
— Le budget sera, dit-on, voté en mars ; le Sys-
tème a bon marché se charge de nous faire faire no-
tre carême.
— On veut réprimer la fraude sur les, boissons ;
c'est très bien ; mais quand nous délivrera-t-on aussi
des représentans frelatés?
— Les marchands de vin coutumiers de mouilla-
ge prétendent qu'ils ne font qu'imiter le gouverne-
ment, lequel se garde bien d'exciter l'ivresse publi-
que.
— Depuis deux jours, à la chambre, il est ques-
tion de fraudes devant nos austères ministres gui-
zotins. La chambre ne connaît sans doute point le
proverbe qui prescrit de ne pas parler de corde dans
la maison d'un pendu.
— Malgré sa nouvelle loi, nous espérons bien que
le Système actuel sera forcé, un de ces jours, de
mettre de l'eau dans son vin.
— Nos pairs discutent en ce moment sur les tra-
vailleurs. Il sont vraiment bien compétens 1
RÉBUS.
bals masqués. — 14 février, l'Opéra donne son dernier
bal avant les jours gras; aussi l'on se presse aux trois premier
rangs; déjà depuis mardi toutes les loges sont louées ; la salie
quoique immense, ne sera peut-être pas assez vaste. Il y auta'
sans doute énormément d'élus, mais il y a tant d'appelés!
»% Un artiste dévoué consciensieusement au culte de l'art
M. Bessems, qui s'est fait connaître à la fois comme violoniste
et comme compositeur, donnera samedi, à la salle de l'Allié,
née des Familles, rue Monsigny, 6, un concert dans lequel se-
ront exécutés des quatuors et des quintettes de Haydn, de
Mozart, de Beethoven et de Bocherini. Nous recommandons
cette soirée à l'attention des véritables amateurs.
40» 13 '
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I^s datent desi"
explication du dernier rebus iliustré.
C'est une triste chose pour un gastronome qu'un restaurant
à six sous le plat. ( 7 une triste chose pour un gastronome
. J Brilish and forcign
qu'un reste—Orang assis sous le plat). fatSlreet Strand
Le gérant, léopold pannier.
Si le public ne se pressait pas chaque soir dans la jolie salle
du Jardin-Turc et n'avait vu de ses yeux l'étonnant spectacle
qui s'y joue, il pourrait croire exagérés les éloges que tout le
monde en fait. Là une troupe d'artistes comme on on n'en
voit pas joue des pièces comme on n'en voit guère, faites par
des auteurs comme on en voit peu. Ces artistes sont des
chiens et des singes, mais quels chiens et quels singes! Cela
est honteux à dire pour notre espèce, mais, après la premiè-
re apparition de ces nouveaux comédiens, lorsqu'on voit un
de nos semblables, qui est réduit à remplir les intermèdes,
entrer sur la scène qu'ils viennent d'occuper, on est peu in-
intéressé; il a beau faire des tours comme ni vous ni moi n'en
ferons jamais, il ne parvient qu'à grand'peine à obtenir un
peu d'attention. Chacun garde ses bravos pour les intéres-
sans quadrupèdes et ses émotions pour le drame qu'ils jouent.
Aussi faut-il voir, à l'entrée de la grande coquette, aux lazzis
du comique, aux tirades du père noble et à l'emportement du
jeune-premier, comme on bat des mains et comme on se mon-
tre satisfait!
En terminant, nous dirons que les artistes milanais ne dé-
daignent pas les bouquets et les couronnes, mais qu'ils leur
préfèrent de beaucoup les noix et les morceaux de sucre.
PROCÉDÉ FORTIER.Telnture,dé8rai88aseeta
DE JEAN MISÈRE,
prêt d'étoffes, r.du Bouloi.S
RUBRIQUES, FÉRULES ET BLUBTTES
PROVINCIALES,
par deux jumeaux des xviii» et xixe siècles,
Le Centenaire candidalma et le chevalier de saint-vincent de pauee; avec des notes de l'éditeur
responsable. 2 vol, in-8° de 20 feuilles au moins chacun. L'ouvrage paraîtra régulièrement tous les mois par
livraisons de 2 feuilles à raison de 35 c, la feuille (16 pages). En vente à Paris, à l'Agence de Publicité, rue Vi-
vienne, 53; Comon et comp., libraires, comptoir des imprimeurs unis, quai Malaquais, 13.—n. b. Le second
volume est sous presse.
LE CHOCOLAT MENIER
Comme tout produit avantageusement connu, a excité la cupidité des contre-
facteurs ; sa forme particulière, ses enveloppes, ont été copiés, et les médailles
dont il est revêtu ont été remplacées par des dessins auxquels on s'est efforcé de
donner la même apparence. Les amateurs de cet excellent produit voudront
bien exiger que le nom MÉNIER soit sur les étiquettes et sur les tablettes.
Dépôt principal passage Choiseul, 21 ; et chez MM. les pharmaciens et épi-
ciers de Paris et de toute la France.
CONSERVATION INDÉFINIE DES CERCUEILS
Parle procédé MARGARY. — Ce procédé, le meilleur de tous pour la conservation des bois, et le seiU définitivement
adopté par le gouvernement anglais et par les chemins de fer, peut être appliqué avec efficacité aux cercueils d'ordonnance de
l'administration. Le prix ne dépasse pas 20 fr., quelle que soit la grandeur des cercueils. Le procédé peut être également appliqué
aux cercueils déjà renfermés dans les tombes.—S'adresser à l'établissement spécial, à M. A. Gros, rue de Miroménil, 69, à Paris.
R0G1ER (Jean-Baptiste), désire se
placer comme domestique ou cocher,
et au besoin comme portier. 11 a de
bons répondans. Eerire franco, rue de
Verneuil, 25._ _
Imprimerie Lange Lévï et Ce,
rue du Croissant, 16.
Restaurant dn I»are-aox-nnltres.
SPÉCIALITÉ FOUR LES HUITRES.
baisse de prix. Rue Montorgueil, 62. baisse de prix.
Huîtres de Cancale. . . so c. la douzaine. \ Arrivages
— Blanches. . 50 c. — I rnnrripr
— Anglaises. . 50 c. — • ( " courner
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Le prix à la carte est le même que dans les maisons voisines. — Douze cabi-
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ASSURANCE "
CONTRE LES CHANCES DU TIRAGE AU SORT
Garantie complète.—Dépôt de fonds.
Versement chez an seul notaire,
III. PHiLIPOI, 12, rue Ste-Appollâne.
A vendre, pour cause de santé, fonds
de fabrique de. biscuits, pâtisserie sè-
che, en pleine activité, située au centre
de Paris. S'adresser à M. Fortin, 7,
rue des Jeûneurs, tous les jours de 8 a
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On demande à emprunter une som-
me de 3,500 fr. payables dans un an.
On donuera en garantie la propriété
de deux fonds en pleine prospérité rap-
portant 10,000 fr. et d'une valeur de
35,000 fr. dont les ustensiles valent au
moins! 8,000 fr.
S'adresser à M. le directeur de l'en-
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60 centimes la petite ligne.
CAMP DE LA GIRONDE.
11 Vues du Camp, et portrait à cheval de M. le duc d'Aumale avec le
texte, par Emm. Massé. (Prix : 15 fr.) Chez l'auteur, rue Neuve-Saint-
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Guérison prompte, radicale et peu coûteuse de ces Maladies parle
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R. MontOrgUeil, 21.*Consultations gratuites tous les jours.
Les guériwms nombreuses et authentiques obtenues à l'aide de ce traitement ÏUI
une foule d© malades abandonnés comme incurables, sont des preuves non équi-
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ENTREPRISE SPECIALE
DES ANNONCES
POUR TOUS
LES JOURNAUX DE PARIS, DES DÉPARTEMENS ET DE L'ÉTRANGER.
S'adresser à M. NORBERT ESTIBAL, fermier des Annonces de la Gazette des
Tribunaux, du Charivari, etc., rue Neuve-Vivienne, 55.
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Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Rébus
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Entstehungsdatum
um 1846
Entstehungsdatum (normiert)
1841 - 1851
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 15.1846, Février (No. 32-59), S. 168
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg