Le charivari (16.1847)

, ia mazurka i rhalgi»
ivuenaître; la"seuk
■ Pologne est la ^

aufrume?:?^ ^ BOùMéO/ô. m

aut tourner sur l'ortei! y«9«j &§Ëf

regraphie, une ja^ ^ffi

isme. »

professeur de la Sot, : m&i

les destins de la p0.
reste, à tous les hypo.

des yeux, tandis qut ' ' ' -

mr,en attendant le mo.
agissait au fond de si
euil de M. Saint-Marc
nourir de rire.

lire ses visites et ses ci-
n, par procuration d'un
époser des cartes chei
; sans doute quelque peu
rde ; mais voici un pro
semble encore plus niai-

m et dans d'autres villes
de, on a imaginé, p0llr
îs, de faire insérer soi
uhaitantla bonne année à
on connaît et qui son! e-
itivement à la file les une

anvier contient une p«.

iquante noms, sous ïe ti-
année à leurs amis il

sndre la lecture des joui-
initié à toutes les ré

obable cependant qui

; qu'on ne chargé]/,,
présenter ses amabilité

laissances des quarte

qui a déjà introduit dais
t spirituelles innovations,
naturaliser chez nousc!
landais. Déjà, grâce i
on peut se dire des sot
de la presse ; pourquoi
s des complimens et des
*ne?

"■■■*.-43k!R5"! '

drid vient de faire arrê-
é élu par trois collés,®
ipecté en Espagne corn

ttif les députés opposa»;
cteurs qui les nomment'
eine dona Maria vienne)
ie trahison. Cette caui
er tous les traîtres.

: se sont rendus qu'à 'i
mr épée. Puissent-ils <■

Imj.JUert&C!'

I pourquoi les valeur*

ueur fanait ie temp Inconvénient de quitter un instant un convoi k âemm de fer sous n'importe uuel prétexte.

dditquece^i '
troupes royale?.

i la détresse biea co;;;
les coffres de la JgJeCS|
àent de prouver que»

,ayer sa gloire.

Chez Au]) ert & C^PJ. de îa Boin-sc.

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