Le charivari (16.1847)

' dont on a tant abus* «
dramatique n'est pjg'j

ont décorateurs, tout .
;ie directeur du CirqJ
» encore : « EnfanS) *

stingue surtout celui o„; MIŒESIWIIVELLES E WWIIL FAITS ET GESTES BUTROPEJÊTMRE. 1.

.p™ au mom;

ires,-le combat dans
la séance de la Goaven
vaut le président les dé
iées de la république.
t, arrive la bataille de'

que vient d'obtenir Ua
îhaitons au Théâtre-ly.
î le Cirque finit.

}jfjtr

\ JEU!. '

ïst la première fois qile
ous écrivons ce nom sans
ourire.— Lepeintre jeune
st mort,

Avec lui sont morts tous
es bons gros personnages
u'il représentait si bien;
îaris trompés, oncles mys-
fiés et financiers grugeurs

s encore au théâtre des
s maris, mais ils seront
s.

; plus un financier,
gilet en étoffe d'or!cou-
la canne à bec de corbii!
irds, et la redingote à la
; merveilleusement à ce
à la toque de velours du

entrait en scène, on en-
s un éclat de rire home-
salle de spectacle, on se
fmpeet assister à une de
)iter commettait des ca-
lembours qui faisaien rire ' -"
elle-même.

n'avait pas à redouter le
il, car lorsque par hasard
ucé, on riait davantage

été plus soucieux delà
me scène plus élevée. H
; mais vous auriez été

de gloire à ce bon gros (M kkrl,?] de la Bourse^ . ' Imp i'kkûU

aurait aussitôt planté là

!

financier de son embon- |^0I1 c^re ^ ^

e pirouetter.
! monde, Lepeintre jeune
s. On lui donnait géné-
iepuis vingt ans.
; artiste commença, vers
me, en créant, dans 1» j
Noé.

où il obtint de si gran»5
•e à maître Arnal, et en-
as il faisait partie de la

regretté. C'est bien le
e regret »

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