Le charivari (16.1847)

À TRAGÉDIE.

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naïade depuis plusieurs
trait pas.

-Français envoyait toUs
les. « Quand pourrons-
endre, Falempia sur la
lu Théâtre-Français ?,
lit de plus en plus §ra.
: résolut de recourir à

rent mandés. Il y avait <
rjolin, Gerdy, Magen-
,Delaberge, etc., toutes
examinèrent longtemps
examen fut que lama-
iangereuse.

avis différent. M. Ros-
collègues, déclara que
la cause du mal de Fa-
ire que de l'amour. Il
nt son lit toutes les jei-
ilieue,afin qu'on décou-
tratonice.

âlibérer sur cette impor-
es'écria : « J'ai trouvé.»
avait découvert qu'une
s la tête du malade, et
er cet abcès, si on ne
pin succomber sous les

s est une opération chi-
pour le chirurgien, et
e patient. On demanda
3Îr.

s contemporains et au

Fa.en.pin, je suisp^i .» . -. „ ^

.écréta remploi de lé- >■, , y.: v A B ! )'\. - "V - HT

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ation avec la vapeur de ^1 [§|j§i

lanifesta chez le malade,
et se mit à réciter des

ion d'Orosmane à Zaïre, îtfflflïill

adieux de Zamti dans1 ^ y,,,, n ,|,. |,, u„HI,,

îelques minutes aprèSi -f
jpières s'abattirent, il se sa***h^ • :

un état indiquant uae EXERCICES DU MATIN

erception des objets»
mmença, et oa lui in

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