\° -
jury, ot no-Js ne pouVOtt;- prévoir jusqu'à quel point
le'jurés tiendront compte a;ix prévenus de la cor-
ruption exéreéé aussi par leurs adversaires et qui pa-
raît èlre dans les habitudes dt; ce malheureux arron-
d.Sseineiit. Mais il est à présent acquis aux d. bats
qu'il y a eu au moins, dans cette triste élection, de
ces manœuvres honteuses, de ce- orgies, de ces cap-
tât ôtts dont tout homme honnête détourne les yeux
avec d'goù'. — El v il i ce que M. Berryer va in-
nocenter ou du moins atténuer.
Avant-hier .M Dufaure, M. Léon de Mallcvil'e,
M. Cr mieux e! autres dénonçaient avec éloquence
d s eo rupt o is dVll'CUMltt et d'ind gues menées ; à
la même heure M. B i'rry r e nployait son éloquence
à défendre un de plus mou trueux produits de ces
mœurs électorales.
Autre inconvénient.
Quoi que sou I verdict, il ne fa t pas doute pour
nous que l élei t ou de M. Drôttillard ne do vo être
annulée, lili bien, que lera M. Benyfif à la Cham-
bre ?
Votera t-il pour la validité? En ce cas il se sépa-
rira de l'opposit.on, et l'avocat d mentira le dépuié.
Volera-t il pour l'anuulat.on ? Eu ce cas le député
d mentira l'avocat.
S'ah tiemlra-t-il ? lin ce cas le député se sera a!)"
s irhé dans l'avocat.et dans l'avocat >o!dé pour de*
fendre une ,-ausc priv e.
En faut-il davantage pour établir que nous avons
raison de blâmer .M. 13 river?
KÉi oNsiEun le siibstiiol de Mongis a donné ses
rjO"1 conclu-ions dan- l'affaire de M. Alexandre
i^\jVte Duma-. Il a conclu coude le romancier. Il
n'a pas négligé de lui donner quelques leçons, mais
avec une convenance et une urbanité qui e>t aussi
une leçon, pour la géutilhommerie de la chambre des
députes.
L'organe du ministère public, par un procédé fort
piquant, a puisé les elémeus de la condamnation de
M. Alexandre Dumas dans les propres paroles de
M Alexandre Dum s. Kn sorte que si la cause de
l'écrivain en meurt, ce ne sera pas un homicide,mais
bien un suicide.
C'est ce que nous saurons vendredi prochain.
OU L'ON PARLE DU BŒUF - GRAS.
ul n'ignore, je pense, que c'est
aujourd'hui dimanche-gras que
commence la pfi menade obli-
gée du IxEuf^ras. Or depuis
dix mis le peu le de Paris est
tellement habitue à saluer de
ses accl.imations M. Rolland,
« bel du corlége, qu ■,celle an-
née ei core,hon nombre de 11 à—
neur- crieront : « Vive Rolland !
Les flâneurs auront toi t.
La dynastie Rolland s'est laissé ravir le sceptre
carnavalesque ; en 1847, le roi du carnaval est M.
Barbe-Mass'1, boucher acquéreur de Monte-Cristo.
Quant à l'éleveur de ce quadrupède qui pèse dix-
huit cent cinquante h res, ancien système, il se
nomme M. Goupil, de- Ponfuî.
Ce t M Goupil (de Ponï'oî) qui remplace le célè-
bre 11 iegretiable Corne! (le Cacn).
M^s te CaLalo- est toujours le plus lier des 86
de, ait mens, c r PonLI est aussi calvadosien que
Caen.
Il e t un renseignement que nous nous empres-
sons de donner aux flâneurs parisiens touchant
Monte-Cristo : son pelage est grisâtre vineux et sa
ltte blanche.
Les gens s^cdîwejà^i me liront Vont peut-être
s'écrier : « Je me moque pas mal que Monte-Cristo
ad la tète blanche et le pelage vmàtre griseux... non,
je veux dire vineux grisâtre. »
O ingrat abonne ! lu ne comprends donc pas que
je t'évite ainsi de tomber dans une déplorable erreur,
ainsi que cela m'est arrivé, l'an dernier,touchant Da-
gobert.
J'étais sorti en fredonnant une petite romance
avec toute la galté d'un homme qui ne dit :« Je vais
VO'I' Dagobcrt, le fameux Dagohert. »
Puis, au bout de trois heures de pérégrinations
dans les rues de Paris, je retournais dans mon do-
micile tou|ours en fredonnant ma petite romance,
>ur l'air de laquelle j'avais ajusté des pal oies de cir-
constance , paroles que je regrette de ne pouvoir
vous rapporter textuellement; mais enfin le fond é-
tait ceci : « J'ai vu le bœuf-gras, je suis satisfait de
l'existence ! » avec un bémol à la clé.
Eh b en, pas du tout ! je célébrais, avec un bémol
à la clé, un événement imaginaire, une satisfaction
supposée.
J'avais vu effectivement un bœuf escorté de bon
nombre de Romains et de mousquetaires ; ce rumi-
nant était d'un embonpoint fort honnête; mais pour-
tant ce n'était pas Dagobert, c'était un suppléant
nommé, je crois, Fleur- des-Pois.
Le vrai bœuf-gras, le chef d emploi, était resté à
l'abattoir; ou le réservait pour la promenade du
mard -,;ras.
Jugez si je fus vexé quand j'appris la chose !
Je chantai mon malheur avec un bécarre à la clé.
Vous voyez qu'il est bon d'avoir à l'avance un
signalement exact de Monte-Cristo, et quaudje
vous dis de prei.dre en note qu'il a un pelage vineux,
la lèie blanche et pas de signe particulier sur la
joue, je ne crois pas faire plaisir aux seuls gen-
darmes.
Les gendarmes sont toujours enchantés quand on
leur transmet le moindre signalement.
Maintenant que vous avez lu mon article, vous
nVez plus qu'une chose à faire, si vous desirez
compléter l'emploi de votre journée du dimanche :
c'est de prendre votre canne et votre chapeau et
d'aller fa^re la haie sur le passage de Monte-Cristo.
Vous avez le droit de crier : Vive Alexandre
Dumas l
LE DERNIER EXPLOIT D'UN GUERRIER.
On remarquait au Salon, il \ a quelques années,
une belle toile de Coulure que le [ivret désignait en
ces termes : La soif dt l'or. Elle tfcpnaeuJ
homme accoudé sur une tahle couverte d'or et
tièrement absorbé par ia contemplation mttt(J
ses richesses et par le soin qu'il mettait à leSeff
ser. Aussi restait-il sourd aux supplications ti
des malheureux qui lui tendaient leur sebille
gardait-il de sourire à la folie charitable qui
au-dessus de sa tète ses grelots argentins. Celte^'
pouvait à bon droit passer pour la représentation!
légorique et flattée de ces serviteurs du Systèmee
non contens de s'engraisser eux-mêmes à la cré^
budgétaire, font encore tomber du râtelier de lar*
bribes sur lesquelles leurs rejetons se précipitent*
vecune gloutonne avidité.
Oui, la plupart de ces familiers du gouvernemei!
à bon marché sont tourmentés par l'insatiaWe J
besoin de pal par des espèces. Souvent même le bud-
get ne suffit pointa leurs convoitises désordonnés
Alors ils font argent de tout et empilent lingots s
lingots. On peut les comparer, non pas au tonnes
des Danaïdes, — ils ne se vident jamais, — maisj
ces futailles lipeuses enfouies dans les caves de laBad
que de France qui aime mieux élever le taux de IV
compte que les défoncer.
Voyez plutôt le maréchal Soult, ce vieux coryphs
constitutionnel. Voilà bien longtemps que les c»
tribuables lui fournissent à grands frais son pain 4
munition. Il a reçu de splendides présens de toute
les dynasties, il possède des hôtels somptueux, des
châteaux, des domaines à faire envie au margravi
le plus huppé. 11 pourrait enfin, s'il le voulait, ter-
miner doucement une vie dont l'aurore fut glorieuse.
Mais il a peur.de mourir pauvre comme un rat des
Tuileries et prend ses précautions en conséquence.
Ainsi que nous l'avons annoncé hier, ilposs
dajtun merveilleux tableau de Murillo. le ^rah
tique. Aux jours de sa valeur passée, lorsqu'il
.souvenait encore du siège de Gènes, il avait, gm
royant en Espagne, décroché sans plus de façon»
tableau des murs d'un palais pour le rapporter ti
France. Peut-être méconnaissait il le droit de pn
priété, mais il usait du droit de conquête
Eh bien ce tableau qui devrait lui être précieux'
tant de titres, ce tableau qui lui rappelle son armée
ses exploits, ses campagnes, son aigle victorieuse
il vient de le vendre au prix modique de 116,000 (r-
Il n'a pas songi que ces écus allaient agrandir lé-
norme tacbe d'huile que ses complaisaus services*
quinze années ont imprimée à son ancien renom.
Certes, il eût été plus digne, plus noble de mon
trer au déclin de sa longue carrière un dernier éiï
de patriotisme et de suspendre au Louvre le Muni»
C'eût été en quelque sorte restituer à la France u«
page de ses victoires, et bien des Français à la
du maréchal Soult se seraient imposé sans hesiff
cette légère expiation.
Le Cincinnatus civilisé n'a pas hésité non pM
a préféré remplir sa caisse. C'est à un Ang ai ^
le vainqueur de Toulouse a vendu le Paralytup*
Murillo. ______
CARILLON.
L'Évangile prononce l'anathème "^JJJJJ
seule parole inutile. Comment doivent
haut les discoureurs d'adresse ? v dresse
- Immédiatement après le vote qJ
arrivé un projet de loi relatif au*:| > ^
semble exciter peu d intérêt, fl0*/"4, $
tans pensent que le plus essentiel c est 4
soyons alimentés de discours. &.
- M. Empis faisant son chemin M^"^
ble à un convoi de wagons; il avance
sifflets. . levage]
[La suite a la * l' »
jury, ot no-Js ne pouVOtt;- prévoir jusqu'à quel point
le'jurés tiendront compte a;ix prévenus de la cor-
ruption exéreéé aussi par leurs adversaires et qui pa-
raît èlre dans les habitudes dt; ce malheureux arron-
d.Sseineiit. Mais il est à présent acquis aux d. bats
qu'il y a eu au moins, dans cette triste élection, de
ces manœuvres honteuses, de ce- orgies, de ces cap-
tât ôtts dont tout homme honnête détourne les yeux
avec d'goù'. — El v il i ce que M. Berryer va in-
nocenter ou du moins atténuer.
Avant-hier .M Dufaure, M. Léon de Mallcvil'e,
M. Cr mieux e! autres dénonçaient avec éloquence
d s eo rupt o is dVll'CUMltt et d'ind gues menées ; à
la même heure M. B i'rry r e nployait son éloquence
à défendre un de plus mou trueux produits de ces
mœurs électorales.
Autre inconvénient.
Quoi que sou I verdict, il ne fa t pas doute pour
nous que l élei t ou de M. Drôttillard ne do vo être
annulée, lili bien, que lera M. Benyfif à la Cham-
bre ?
Votera t-il pour la validité? En ce cas il se sépa-
rira de l'opposit.on, et l'avocat d mentira le dépuié.
Volera-t il pour l'anuulat.on ? Eu ce cas le député
d mentira l'avocat.
S'ah tiemlra-t-il ? lin ce cas le député se sera a!)"
s irhé dans l'avocat.et dans l'avocat >o!dé pour de*
fendre une ,-ausc priv e.
En faut-il davantage pour établir que nous avons
raison de blâmer .M. 13 river?
KÉi oNsiEun le siibstiiol de Mongis a donné ses
rjO"1 conclu-ions dan- l'affaire de M. Alexandre
i^\jVte Duma-. Il a conclu coude le romancier. Il
n'a pas négligé de lui donner quelques leçons, mais
avec une convenance et une urbanité qui e>t aussi
une leçon, pour la géutilhommerie de la chambre des
députes.
L'organe du ministère public, par un procédé fort
piquant, a puisé les elémeus de la condamnation de
M. Alexandre Dumas dans les propres paroles de
M Alexandre Dum s. Kn sorte que si la cause de
l'écrivain en meurt, ce ne sera pas un homicide,mais
bien un suicide.
C'est ce que nous saurons vendredi prochain.
OU L'ON PARLE DU BŒUF - GRAS.
ul n'ignore, je pense, que c'est
aujourd'hui dimanche-gras que
commence la pfi menade obli-
gée du IxEuf^ras. Or depuis
dix mis le peu le de Paris est
tellement habitue à saluer de
ses accl.imations M. Rolland,
« bel du corlége, qu ■,celle an-
née ei core,hon nombre de 11 à—
neur- crieront : « Vive Rolland !
Les flâneurs auront toi t.
La dynastie Rolland s'est laissé ravir le sceptre
carnavalesque ; en 1847, le roi du carnaval est M.
Barbe-Mass'1, boucher acquéreur de Monte-Cristo.
Quant à l'éleveur de ce quadrupède qui pèse dix-
huit cent cinquante h res, ancien système, il se
nomme M. Goupil, de- Ponfuî.
Ce t M Goupil (de Ponï'oî) qui remplace le célè-
bre 11 iegretiable Corne! (le Cacn).
M^s te CaLalo- est toujours le plus lier des 86
de, ait mens, c r PonLI est aussi calvadosien que
Caen.
Il e t un renseignement que nous nous empres-
sons de donner aux flâneurs parisiens touchant
Monte-Cristo : son pelage est grisâtre vineux et sa
ltte blanche.
Les gens s^cdîwejà^i me liront Vont peut-être
s'écrier : « Je me moque pas mal que Monte-Cristo
ad la tète blanche et le pelage vmàtre griseux... non,
je veux dire vineux grisâtre. »
O ingrat abonne ! lu ne comprends donc pas que
je t'évite ainsi de tomber dans une déplorable erreur,
ainsi que cela m'est arrivé, l'an dernier,touchant Da-
gobert.
J'étais sorti en fredonnant une petite romance
avec toute la galté d'un homme qui ne dit :« Je vais
VO'I' Dagobcrt, le fameux Dagohert. »
Puis, au bout de trois heures de pérégrinations
dans les rues de Paris, je retournais dans mon do-
micile tou|ours en fredonnant ma petite romance,
>ur l'air de laquelle j'avais ajusté des pal oies de cir-
constance , paroles que je regrette de ne pouvoir
vous rapporter textuellement; mais enfin le fond é-
tait ceci : « J'ai vu le bœuf-gras, je suis satisfait de
l'existence ! » avec un bémol à la clé.
Eh b en, pas du tout ! je célébrais, avec un bémol
à la clé, un événement imaginaire, une satisfaction
supposée.
J'avais vu effectivement un bœuf escorté de bon
nombre de Romains et de mousquetaires ; ce rumi-
nant était d'un embonpoint fort honnête; mais pour-
tant ce n'était pas Dagobert, c'était un suppléant
nommé, je crois, Fleur- des-Pois.
Le vrai bœuf-gras, le chef d emploi, était resté à
l'abattoir; ou le réservait pour la promenade du
mard -,;ras.
Jugez si je fus vexé quand j'appris la chose !
Je chantai mon malheur avec un bécarre à la clé.
Vous voyez qu'il est bon d'avoir à l'avance un
signalement exact de Monte-Cristo, et quaudje
vous dis de prei.dre en note qu'il a un pelage vineux,
la lèie blanche et pas de signe particulier sur la
joue, je ne crois pas faire plaisir aux seuls gen-
darmes.
Les gendarmes sont toujours enchantés quand on
leur transmet le moindre signalement.
Maintenant que vous avez lu mon article, vous
nVez plus qu'une chose à faire, si vous desirez
compléter l'emploi de votre journée du dimanche :
c'est de prendre votre canne et votre chapeau et
d'aller fa^re la haie sur le passage de Monte-Cristo.
Vous avez le droit de crier : Vive Alexandre
Dumas l
LE DERNIER EXPLOIT D'UN GUERRIER.
On remarquait au Salon, il \ a quelques années,
une belle toile de Coulure que le [ivret désignait en
ces termes : La soif dt l'or. Elle tfcpnaeuJ
homme accoudé sur une tahle couverte d'or et
tièrement absorbé par ia contemplation mttt(J
ses richesses et par le soin qu'il mettait à leSeff
ser. Aussi restait-il sourd aux supplications ti
des malheureux qui lui tendaient leur sebille
gardait-il de sourire à la folie charitable qui
au-dessus de sa tète ses grelots argentins. Celte^'
pouvait à bon droit passer pour la représentation!
légorique et flattée de ces serviteurs du Systèmee
non contens de s'engraisser eux-mêmes à la cré^
budgétaire, font encore tomber du râtelier de lar*
bribes sur lesquelles leurs rejetons se précipitent*
vecune gloutonne avidité.
Oui, la plupart de ces familiers du gouvernemei!
à bon marché sont tourmentés par l'insatiaWe J
besoin de pal par des espèces. Souvent même le bud-
get ne suffit pointa leurs convoitises désordonnés
Alors ils font argent de tout et empilent lingots s
lingots. On peut les comparer, non pas au tonnes
des Danaïdes, — ils ne se vident jamais, — maisj
ces futailles lipeuses enfouies dans les caves de laBad
que de France qui aime mieux élever le taux de IV
compte que les défoncer.
Voyez plutôt le maréchal Soult, ce vieux coryphs
constitutionnel. Voilà bien longtemps que les c»
tribuables lui fournissent à grands frais son pain 4
munition. Il a reçu de splendides présens de toute
les dynasties, il possède des hôtels somptueux, des
châteaux, des domaines à faire envie au margravi
le plus huppé. 11 pourrait enfin, s'il le voulait, ter-
miner doucement une vie dont l'aurore fut glorieuse.
Mais il a peur.de mourir pauvre comme un rat des
Tuileries et prend ses précautions en conséquence.
Ainsi que nous l'avons annoncé hier, ilposs
dajtun merveilleux tableau de Murillo. le ^rah
tique. Aux jours de sa valeur passée, lorsqu'il
.souvenait encore du siège de Gènes, il avait, gm
royant en Espagne, décroché sans plus de façon»
tableau des murs d'un palais pour le rapporter ti
France. Peut-être méconnaissait il le droit de pn
priété, mais il usait du droit de conquête
Eh bien ce tableau qui devrait lui être précieux'
tant de titres, ce tableau qui lui rappelle son armée
ses exploits, ses campagnes, son aigle victorieuse
il vient de le vendre au prix modique de 116,000 (r-
Il n'a pas songi que ces écus allaient agrandir lé-
norme tacbe d'huile que ses complaisaus services*
quinze années ont imprimée à son ancien renom.
Certes, il eût été plus digne, plus noble de mon
trer au déclin de sa longue carrière un dernier éiï
de patriotisme et de suspendre au Louvre le Muni»
C'eût été en quelque sorte restituer à la France u«
page de ses victoires, et bien des Français à la
du maréchal Soult se seraient imposé sans hesiff
cette légère expiation.
Le Cincinnatus civilisé n'a pas hésité non pM
a préféré remplir sa caisse. C'est à un Ang ai ^
le vainqueur de Toulouse a vendu le Paralytup*
Murillo. ______
CARILLON.
L'Évangile prononce l'anathème "^JJJJJ
seule parole inutile. Comment doivent
haut les discoureurs d'adresse ? v dresse
- Immédiatement après le vote qJ
arrivé un projet de loi relatif au*:| > ^
semble exciter peu d intérêt, fl0*/"4, $
tans pensent que le plus essentiel c est 4
soyons alimentés de discours. &.
- M. Empis faisant son chemin M^"^
ble à un convoi de wagons; il avance
sifflets. . levage]
[La suite a la * l' »
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Le Dernier Exploit d'un guerrier
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Kommentar
unidentifizierte Signatur
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Entstehungsdatum
um 1847
Entstehungsdatum (normiert)
1842 - 1852
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 16.1847, Février (No. 32-59), S. 178
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg