Le charivari (16.1847)

i, lotis ces uio^éiù
parfaite. Celui qUe je v^ i
ire tout-à-fait infai% 1
e dix mille francs à
iux se refuseraient à i
'il a imaginées,
alation de cet artiste. Lç
se laisser distancer çatL
, à la tête ; leur profe^

tfeuï qui a inventé la ^
et dix mille francs à q^
veux où sa poudre a w
?aits et vous comprendre^
ille francs à gagner. \\
leur, puis vous préseuU
docte confrère. Si les &J
ivez droit aux dix millej
traire, vous les exigent

ertissement, ie r,P „
i... qu'un—. e-V*J

Arable, attirée
' David, stafi0ll!

r la place des Italien, i;,;
habit noirs et d'équip,
verture des bureaux étaiil
: collée sur l'affiche est n
rt était ajourné par sviit

la défense intimée, hier si
r des Italiens, aux artistes (j
part à ce concert,
i permis leur concours i
au Conservatoire', il les4
§me à un autre concert,
affiché et annoncé
; jours,
étirer, non sans de vivespro-J
[uelles le nom de M, le fa
îrgiquement escorté,
len David avait dû causer i
à M. Vatel, nous compta
irions son veto, bien qui
retarder, sans pouvoir
msicale. Mais queldom
4 heures à l'Opéra-Cor
service, soit aux
; d'ailleurs pourquoi, au n
démasquer tout à coup m
antre un concert qui en
clique et pour lequel las»
mis huit jours ? M. Yald»
; rappelant les belles re«
ir le Désert, on ne vît la
rie mesquine suscitée pa"

;ous les yeux de la f
mt été dérangées, S*
s devant une porte qoef
te extrémité devait au*
1 et l'administration *
cien David avait eu recoj
administratives, lep^
sacrifié à un caprice»
e d'un ministre ?

ILLON.
dans les réclames m»*
[Uoi bon confection^'"
a suite à la

Episode d'un dîner champêtre.

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LES GRISETTES. |M|

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