LE CHARIVARI
forme de récit ; ses jambes sont longues et maigres :
il marche sur deux tirades.
Cependant il a eu la force d'embrasser M. Alexan-
dre Dumas et de lui dire: « Soyez le bienvenu dans
Elseneur ! »
Ce rapprochemeut shakespearien a fait couler des
larmes de tous les yeux.
Les négociations pour le rachat de M. Vacquerie
n'ont été ni aussi longues ni aussi difficiles qu'on au-
rait pu s'y attendre. Il entrait dans la politique de
Bou-Latour de se défaire d'un prisonnier qui ne crai-
gnait pas de prêcher l'alliance du grotesque et du
sublime, et la mort des trois unités jusque sur des
œufs de tragédie.
M. Vacquerie a été échangé contre une certaine
quantité d'ustensiles propres à la manutention de la
tragédie, tels que moulins portatifs à rimes, fourneaux
à hémistiches pour faire sa tirade sur la table au
moyen de l'esprit de vin, dictionnaires de la Fable à
ressorts, plus quelques éditions de Racine et de Cré-
billon, précédées d'une préface en miroir, et ornées
de notes en verroteries.
Ainsi ravitaillé, Bou-Latour s'est enfoncé dans l'in-
térieur des terres, a Tu me reverras bientôt, a dit le
moule-saa à M. Alexandre Dumas; je viendrai re-
prendre le Théâtre-Français sur Ponsard-Kader, et
lui disputer l'empire du monde en tragédie rangée.»
M. Vacquerie est arrivé à Paris. Nous l'avons vu
hier se promenant sous les arceaux de la place Royale.
Rien ne saurait rendre l'impression étrange et dan-
tesque qu'il a produite sur nous et sur tous ceux qui
l'ont aperçu. Les bonnes elles-mêmes ne pouvaient
s'empêcher de frémir, et les petits enfans, en con-
templant son front livide et vert, se disaient à voix
basse les uns aux au très : a Voilà, voilà celui qui
revient de couver des œufs de tragédie ! »
! Es Lyonnais qui se trouvent à Paris s'émer-
I veillent de voir leur préfet ministre des tra-
Ivaux publics ; ils admirent la puissance de
transformation du Juste-Milieu.
En fait de travaux publics, jamais les ingénieurs
du département du Rhône n'ont pu faire entrer dans
la tête de M. le préfet la différence existant entre
un viaduc et un aqueduc : c'est pour lui la même
chose.
Ces ingénieurs possèdent une lettre autographe
où, en parlant d'un tunnel du cheminde fer de Saint-
Etienne, M. le préfet a écrit tonnelle, préoccupé
qu'il était, sans doute, des tonnelles du jardin de la
préfecture.
M. Jayr connaissait si bien les travaux publics de
Lyon, qu'à propos de ceux des bâtimens appelés de
VAntiquaille, il a déclamé, en plein conseil, sur la
manie des antiquités, fort déplacée, disait-il, dans ce
siècle positif. Peut-être il croit qu'on fabrique en-
core des tuiles aux Tuileries.
M. Jayr est tellement positif, du reste, qu'il ne
comprend pas les projets de constructions durables.
Cela durera toujours assez, est son dicton habituel.
On pense que c'est parce qu'il croit la fin du monde
très prochaine.
La fin du ministère, oui.
'annonce suivante a été insérée par le Jour-
\nal des Débats et citée textuellement dans
'le temps par le National :
« Une personne pouvant faire quelques sacrifices
» et ayant des titres à faire valoir, désire trouver quel-
» qu'un de très influent auprès du ministère du com-
» mer ce. »
U RÉSULTAT D'UNE CROISIÈRE.
On sait que la Grande politique, depuis son inau-
guration, a toujours produit les plus beaux résultats;
le fait est si notoire qu'on le chante partout sur l'air de
Larifla ou du Fleuve du Tage.
Aussi sommes-nous heureux de signaler un nou-
veau fruit de la haute prévoyance qui préside à nos
affaires. Il s'agit de la croisière établie sur les côtes
du Sénégal, pour empêcher la traite.
Le ministère, d'accord en cela avec l'Angleterre,
choisit une douzaine de bâtimens légers, dont quel-
ques uns à vapeur, et les envoie croiser sur les côtes
d'Afrique, pour saisir les négriers au passage. Fort
bien.
L'escadre met à la voile ; les bâtimens s'échelon-
nent le long des côtes à de grandes distances les uns
des autres, bon ! Des lettres écrites par des officiers
nous apprennent que la croisière, pour être efficace,
devrait être beaucoup plus nombreuse eu égard sur-
tout aux épidémies qui la déciment. Un navire an-
glais revient péniblement jusqu'à Portsniouth chargé
de malades ; nous perdons une frégate. C'est à mer-
veille !
Cependant les négriers continuent tranquillement
leur petit commerce, avec cette différence que, sous
prétexte de la croisière, ils vendent leurs esclaves
plus cher, réalisent de plus gros bénéfices et par con-
séquent n'en sont que plus acharnés à la traite. C'est
trop juste.
Aussi se continue-t-elle de plus belle ; les négriers
sont rarement aperçus par les croiseurs et s'en mo-
quent au pis-aller, pàcce qu'ils ont en général une
grande supériorité de marche. Ils ne redoutent guère
que les bâtimens à vapeur, et nous en comptons trois
ou quatre dans la station.
Il arrive cependant qu'un beau jour cinq ou six
bâtimens suspects se laissent prendre. Grande joie.
On les conduit en France, les équipages sont mis en
prison. C'est au mieux.
Ces cinq ou six navires, capturés en deux ans,
nous coûtent l'entretien de l'escadre depuis ce temps,
pas mal de fièvres et la perte d'une frégate à vapeur.
Mais si cher que le résultat nous revienne, nous ne
nous en plaignons pas, quand ce résultat est un
grand acte d'humanité : il arrive si rarement à notre
époque d'en commettre.
Voici cependant un léger inconvénient auquel on
n'avait pas songé : Il se trouve qu'une partie de ces
prises portait le pavillon brésilien. Le gouvernement
du Brésil intervient et adresse au nôtre de vives ré-
clamations. Grand embarras. Quel parti prendre? On
traîne l'affaire en longueur jusqu'à ce que, pour en
finir, le conseil d'état s'assemble et déclare que les
navires soupçonnés de s'être livrés à la traite ne sont
pas de bonne prise.
Consultez cependant les officiers de la croisière, ils
vous diront que 99 négriers sur 5 portent le pavillon
brésilien et que les navires capturés faisaient la traite,
ou bien elle ne se fait plus nulle part.
Pareille chose est arrivée à propos du pavillon
sarde, et elle arrivera sans nul doute pour tous les
pavillons possibles.
Ainsi notre gou\ les négriers par
l'intermédiaire des uoi il se trouve
que ses mesures se [uand un négrier
est capturé au non ■nement, le con-
seil d'Etat se voit f lue c'est le gou-
vernement qui n'es
Tout cela n'est qu'hypocrisie. Si le gouvernent
avait sérieusement envie d'abolir la traite, Ua s
magistrat aux colonies vaudrait mieux nnP ,
navires sur les mers. 0
rQOtNE comédie en 3 actes en vers de M. Ern
HEjnSerrei> intitulée Un Député, vient d'être dt-
k!5Ci!fendue (titre et pièce) à la veille delà Ihâ
présentation. Le comité de censure en avait référé
ministre, et le ministre, M. Duchàtel, a maintenu*
proscription. Hier c'était la Corruption, aujourd'hui
c'est le Député!... La censure croirait-elle que Ces!
tout un ?
Nous nous bornons aujourd'hui à constater le grand
et légitime succès obtenu hier à la Porte-Saint-Mar.
tin par le Chiffonnier de Paris, de M. Félix Pya|
C'est un des plus beaux rôles qu'une plume littéraire
ait confiés à Frédérick Lemaître et par conséquentune
des plus remarquables créations de cet énergique ta-
lent.
AVANTAGE OFFERT AUX ABONNES
DU CHARIVARI.
Tout abonné au Charivari a droit à recevoir,
moyennant deux francs pour Paris et decxfkancs
cinquante centimes pour la province, un exem-
plaire des cent et un rebus charivariques.
Cet Album, orné d'une élégante couverture im-
primée en lettres d'or, se vend invariablement au
prix de six francs à toute autre personne qui n'est
pas munie d'une quittance d'abonnement au Ckr
rivari.
Les Cent et un Rébus charivariques forment un
Album, grand in-4° qu'il ne faut pas confondre avec
celui publié il y a deux ans.
AVIS.
p;ni de MM. les Souscripteurs
éumé î'aïjoniiessieiit expire le 15 de ce
îîïoIs mmt priés de le renouveler s'ils
ne vetilené pas éprouver de retard
éaa» l'envoi du JTosarnai.
Le ministère d'octobre s'est appliqué, le 9 courant,
les trois belles pièces que vous savez. N'est-il pase-
trange qu'à propos de ressemelage on vienne dire.
« C'est du neuf ? »
— Quiconque connaît les usages agricoles, «
saurait s'étonner de voirLannes chargé de porter h
détritus de la corrup... je veux dire de l'abus des
influences.
— Seulement les ordonnances du 9 mai nous ooj
révélé un nouveau fait d'histoire naturelle:11011"
connaissions déjà le veau, mais pas encore LanW
marin.
— Dans le cabinet d'octobre se trouvent des Ja?j
des Trézel à côté des Guizot et des Duchâtel. Ces^
sans doute afin que les inconnus fassent compeD
sation aux trop connus.
— On appelle les trois nouvelles excellences J
ministres télégraphiques. Probablement parce qu
les montrent la ficelle.
— Avec des ministères fabriqués par le teleg^
phe, nous ne pouvons avoir que des responsa n
en l'air.
forme de récit ; ses jambes sont longues et maigres :
il marche sur deux tirades.
Cependant il a eu la force d'embrasser M. Alexan-
dre Dumas et de lui dire: « Soyez le bienvenu dans
Elseneur ! »
Ce rapprochemeut shakespearien a fait couler des
larmes de tous les yeux.
Les négociations pour le rachat de M. Vacquerie
n'ont été ni aussi longues ni aussi difficiles qu'on au-
rait pu s'y attendre. Il entrait dans la politique de
Bou-Latour de se défaire d'un prisonnier qui ne crai-
gnait pas de prêcher l'alliance du grotesque et du
sublime, et la mort des trois unités jusque sur des
œufs de tragédie.
M. Vacquerie a été échangé contre une certaine
quantité d'ustensiles propres à la manutention de la
tragédie, tels que moulins portatifs à rimes, fourneaux
à hémistiches pour faire sa tirade sur la table au
moyen de l'esprit de vin, dictionnaires de la Fable à
ressorts, plus quelques éditions de Racine et de Cré-
billon, précédées d'une préface en miroir, et ornées
de notes en verroteries.
Ainsi ravitaillé, Bou-Latour s'est enfoncé dans l'in-
térieur des terres, a Tu me reverras bientôt, a dit le
moule-saa à M. Alexandre Dumas; je viendrai re-
prendre le Théâtre-Français sur Ponsard-Kader, et
lui disputer l'empire du monde en tragédie rangée.»
M. Vacquerie est arrivé à Paris. Nous l'avons vu
hier se promenant sous les arceaux de la place Royale.
Rien ne saurait rendre l'impression étrange et dan-
tesque qu'il a produite sur nous et sur tous ceux qui
l'ont aperçu. Les bonnes elles-mêmes ne pouvaient
s'empêcher de frémir, et les petits enfans, en con-
templant son front livide et vert, se disaient à voix
basse les uns aux au très : a Voilà, voilà celui qui
revient de couver des œufs de tragédie ! »
! Es Lyonnais qui se trouvent à Paris s'émer-
I veillent de voir leur préfet ministre des tra-
Ivaux publics ; ils admirent la puissance de
transformation du Juste-Milieu.
En fait de travaux publics, jamais les ingénieurs
du département du Rhône n'ont pu faire entrer dans
la tête de M. le préfet la différence existant entre
un viaduc et un aqueduc : c'est pour lui la même
chose.
Ces ingénieurs possèdent une lettre autographe
où, en parlant d'un tunnel du cheminde fer de Saint-
Etienne, M. le préfet a écrit tonnelle, préoccupé
qu'il était, sans doute, des tonnelles du jardin de la
préfecture.
M. Jayr connaissait si bien les travaux publics de
Lyon, qu'à propos de ceux des bâtimens appelés de
VAntiquaille, il a déclamé, en plein conseil, sur la
manie des antiquités, fort déplacée, disait-il, dans ce
siècle positif. Peut-être il croit qu'on fabrique en-
core des tuiles aux Tuileries.
M. Jayr est tellement positif, du reste, qu'il ne
comprend pas les projets de constructions durables.
Cela durera toujours assez, est son dicton habituel.
On pense que c'est parce qu'il croit la fin du monde
très prochaine.
La fin du ministère, oui.
'annonce suivante a été insérée par le Jour-
\nal des Débats et citée textuellement dans
'le temps par le National :
« Une personne pouvant faire quelques sacrifices
» et ayant des titres à faire valoir, désire trouver quel-
» qu'un de très influent auprès du ministère du com-
» mer ce. »
U RÉSULTAT D'UNE CROISIÈRE.
On sait que la Grande politique, depuis son inau-
guration, a toujours produit les plus beaux résultats;
le fait est si notoire qu'on le chante partout sur l'air de
Larifla ou du Fleuve du Tage.
Aussi sommes-nous heureux de signaler un nou-
veau fruit de la haute prévoyance qui préside à nos
affaires. Il s'agit de la croisière établie sur les côtes
du Sénégal, pour empêcher la traite.
Le ministère, d'accord en cela avec l'Angleterre,
choisit une douzaine de bâtimens légers, dont quel-
ques uns à vapeur, et les envoie croiser sur les côtes
d'Afrique, pour saisir les négriers au passage. Fort
bien.
L'escadre met à la voile ; les bâtimens s'échelon-
nent le long des côtes à de grandes distances les uns
des autres, bon ! Des lettres écrites par des officiers
nous apprennent que la croisière, pour être efficace,
devrait être beaucoup plus nombreuse eu égard sur-
tout aux épidémies qui la déciment. Un navire an-
glais revient péniblement jusqu'à Portsniouth chargé
de malades ; nous perdons une frégate. C'est à mer-
veille !
Cependant les négriers continuent tranquillement
leur petit commerce, avec cette différence que, sous
prétexte de la croisière, ils vendent leurs esclaves
plus cher, réalisent de plus gros bénéfices et par con-
séquent n'en sont que plus acharnés à la traite. C'est
trop juste.
Aussi se continue-t-elle de plus belle ; les négriers
sont rarement aperçus par les croiseurs et s'en mo-
quent au pis-aller, pàcce qu'ils ont en général une
grande supériorité de marche. Ils ne redoutent guère
que les bâtimens à vapeur, et nous en comptons trois
ou quatre dans la station.
Il arrive cependant qu'un beau jour cinq ou six
bâtimens suspects se laissent prendre. Grande joie.
On les conduit en France, les équipages sont mis en
prison. C'est au mieux.
Ces cinq ou six navires, capturés en deux ans,
nous coûtent l'entretien de l'escadre depuis ce temps,
pas mal de fièvres et la perte d'une frégate à vapeur.
Mais si cher que le résultat nous revienne, nous ne
nous en plaignons pas, quand ce résultat est un
grand acte d'humanité : il arrive si rarement à notre
époque d'en commettre.
Voici cependant un léger inconvénient auquel on
n'avait pas songé : Il se trouve qu'une partie de ces
prises portait le pavillon brésilien. Le gouvernement
du Brésil intervient et adresse au nôtre de vives ré-
clamations. Grand embarras. Quel parti prendre? On
traîne l'affaire en longueur jusqu'à ce que, pour en
finir, le conseil d'état s'assemble et déclare que les
navires soupçonnés de s'être livrés à la traite ne sont
pas de bonne prise.
Consultez cependant les officiers de la croisière, ils
vous diront que 99 négriers sur 5 portent le pavillon
brésilien et que les navires capturés faisaient la traite,
ou bien elle ne se fait plus nulle part.
Pareille chose est arrivée à propos du pavillon
sarde, et elle arrivera sans nul doute pour tous les
pavillons possibles.
Ainsi notre gou\ les négriers par
l'intermédiaire des uoi il se trouve
que ses mesures se [uand un négrier
est capturé au non ■nement, le con-
seil d'Etat se voit f lue c'est le gou-
vernement qui n'es
Tout cela n'est qu'hypocrisie. Si le gouvernent
avait sérieusement envie d'abolir la traite, Ua s
magistrat aux colonies vaudrait mieux nnP ,
navires sur les mers. 0
rQOtNE comédie en 3 actes en vers de M. Ern
HEjnSerrei> intitulée Un Député, vient d'être dt-
k!5Ci!fendue (titre et pièce) à la veille delà Ihâ
présentation. Le comité de censure en avait référé
ministre, et le ministre, M. Duchàtel, a maintenu*
proscription. Hier c'était la Corruption, aujourd'hui
c'est le Député!... La censure croirait-elle que Ces!
tout un ?
Nous nous bornons aujourd'hui à constater le grand
et légitime succès obtenu hier à la Porte-Saint-Mar.
tin par le Chiffonnier de Paris, de M. Félix Pya|
C'est un des plus beaux rôles qu'une plume littéraire
ait confiés à Frédérick Lemaître et par conséquentune
des plus remarquables créations de cet énergique ta-
lent.
AVANTAGE OFFERT AUX ABONNES
DU CHARIVARI.
Tout abonné au Charivari a droit à recevoir,
moyennant deux francs pour Paris et decxfkancs
cinquante centimes pour la province, un exem-
plaire des cent et un rebus charivariques.
Cet Album, orné d'une élégante couverture im-
primée en lettres d'or, se vend invariablement au
prix de six francs à toute autre personne qui n'est
pas munie d'une quittance d'abonnement au Ckr
rivari.
Les Cent et un Rébus charivariques forment un
Album, grand in-4° qu'il ne faut pas confondre avec
celui publié il y a deux ans.
AVIS.
p;ni de MM. les Souscripteurs
éumé î'aïjoniiessieiit expire le 15 de ce
îîïoIs mmt priés de le renouveler s'ils
ne vetilené pas éprouver de retard
éaa» l'envoi du JTosarnai.
Le ministère d'octobre s'est appliqué, le 9 courant,
les trois belles pièces que vous savez. N'est-il pase-
trange qu'à propos de ressemelage on vienne dire.
« C'est du neuf ? »
— Quiconque connaît les usages agricoles, «
saurait s'étonner de voirLannes chargé de porter h
détritus de la corrup... je veux dire de l'abus des
influences.
— Seulement les ordonnances du 9 mai nous ooj
révélé un nouveau fait d'histoire naturelle:11011"
connaissions déjà le veau, mais pas encore LanW
marin.
— Dans le cabinet d'octobre se trouvent des Ja?j
des Trézel à côté des Guizot et des Duchâtel. Ces^
sans doute afin que les inconnus fassent compeD
sation aux trop connus.
— On appelle les trois nouvelles excellences J
ministres télégraphiques. Probablement parce qu
les montrent la ficelle.
— Avec des ministères fabriqués par le teleg^
phe, nous ne pouvons avoir que des responsa n
en l'air.
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Le Résultat d'une crosière
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Entstehungsdatum
um 1847
Entstehungsdatum (normiert)
1842 - 1852
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 16.1847, Mai (No. 121-151), S. 522
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg