LUND
LE CHARIVARI,
très grande satisfaction du parterre, est doué d'un
organe caverneux auquel nous avons le malheur de
ne rien comprendre. Sa voix gronde terrible et roule
rapide comme le tonnerre.Bien habiles sont ceux qui
peuvent saisir quelques hémistiches au passage.
Nous n'avons pas encore assisté à la représenta-
tion d'Une Provinciale, comédie en prose en trois
actes, ni à celle des Moutons de Panurge, satire en
un acte, envers. Nous parlerons de visu de ces deux
nouveautés si elles en valent la peine. La renommée
est encore muette à cet égard.
CARILLON.
En ce temps de scandales administratifs, le minis-
tère a compris enfin la nécessité de prendre une me-
sure énergique. En conséquence, il annonce la ré-
solution de couper court... aux moustaches des em-
ployés.
— Ce pauvre ministère, partout honni et rudoyé,
va sans doute pouvoir se vanter d'avoir du moins
fait la barbe à quelqu'un.
— Le ministère entreprend de tondre ses em-
ployés ; comme la présentation du budget approche,
il a voulu apparemment se faire la main.
— Le Journal des Débats s'apprête à célébrer ce
vigoureux coup de rasoir et à démontrer qu'en fait
de réformes, la plus urgente et la plus utile était celle
des moustaches bureaucratiques.
— On supprime les moustaches dans les adminis-
trations, mais on se gardera bien d'y supprimer les
favoris.
— M. Guizot a fait un grand éloge des talens et
des mérites de M. Bugeaud. Est-ce afin de mieux
justifier la qualification à!aveugle donnée au gouver-
nement par ce même Bugeaud dans sa¥fameuse lettre
au préfet de la Dordogne ?
EXPLICATION DU DERNIER RÉBUS ILLUSTRÉ.
Un homme ivre voit tout à l'envers.
Le Gérant: léopold pannier.
Itevuc de l'Industrie.
Par son extrême lenteur, l'hiver dont nous sortons a fait
plus de malades qu'un hiver rigoureux mais rapide; il est
donc urgent maintenant que les convalescens, que les poitri-
nes faibles et fatiguées reprennent doucement des forces ; rien
de plus efficace pour cela que l'emploi si agréable du Raca-
hout des Arabes. Cet aliment d'un goût excellent, d'un
effet certain, convient souvent aux dames et aux enfans ; les
estomacs les plus paresseux le digèrent d'abord sans la moin-
dre peine et lui doivent bientôt une force inaccoutumée. L'em-
ploi journalier du Racahout, soit à Paris, soit à la campagne,
a déjà rendu l'énergie et la santé à nombre de personnes que
l'art médicinal avait cherché vainement à rétablir.
Rien n'est impossible à la science: un chimiste d'Allemagne,
M. Léopold Lob, nous en fournit une incontestable preuve.
Jusqu'à présent on avait traité de chimère la régénération des
cheveux; maintenant cette soi-disant chimère est devenue une
vérité dont tout le monde peut acquérir la preuve, car il suf-
fit de se rendre rue Saint-Honoré, 281, à Paris, dans le cabi-
net de l'habile chimiste, pour acquérir mille preuves pour une
de l'infaillibité de sa découverte, et voir comment il est arri-
vé à faire repousser et épaissir les cheveux, même sur des
têtes chauves depuis plus de vingt années. Cette eau
est précieuse aussi pour les personnes dont les cheveux s'é-
claircissent ou commencent a blanchir. Il suffit, pour régéné-
rer la chevelure, d'un flacon de 5 à 10 francs.
Accueillie dès son ouverture comme elle méritait de l'être
pour l'élégance de ses modèles, la beauté de ses étoffes et sa
parfaite confection, la maison des MOUSQUETAIRES a dû
prendre une nouvelle extension ; cet établissement, déjà si
connu pour ses habillemens d'hommes, vient d'ouvrir en
outre un magasin spécial pour les habillemens d'enfans
et les robes de chambre. Les mêmes soins apportés à la
confection des vêtemens d'hommes, les mêmes avantages qui
se trouvent dans la douceur des prix, ont lieu pour les nou-
veaux articles que la maison des,MOUSQUETAIRES vient d'ad-
joindre à sa spécialité première. Ateliers à part pour les livrées
(rue de l'Ancienne-Comédie, 24, près l'Odéon).
Le bon goût n'admet pas pour le linge d'homme des orne-
mens superflus ; la beauté irréprochable de l'étoffe, une coupe
simple, mais supérieure, une confection parfaite, voilà ce que
RJËBlJâ.
demandent les véritables élégans, les hommes du monde et
c est justement là ce que Longueville s'est toujours fait'un »BB DU CRO'
devoir d'offrir à la clientèle la plus distinguée de Paris (Rup
Richelieu, 10.) " v
La mode, le bon droit et la raison se trouvent d'accord pour AS
le moment a propos de l'ouverture des magasins de la maison
Biétry. Cet accord si légitime et si rare à rencontrer entre
les volontés de la mode et les lois de l'équité, ne passera point Trois mois.........
cependant comme un vain météore. Toutes les dames savent <ix mois.........
avec quelle persévérance M. Biétry a poursuivi la fraude et
réclame des garanties pour le plus beau mais aussi le plus Dn a""'
cher des tissus, pour le cachemire, tant en châles qu'en uni 0n mim,'''°
L'ouverture des magasins dans lesquels cet intègre fabricant I-es abonnemcus du
devait, prêchant d'exemple, vendre sous les plus irrécusables
garanties, du cachemire pur, était une nouvelle épreuve
destinée, si, elle réussissait, à donner une sanction déplus on s'abonne : h I
aux arrêts que les tribunaux avaient déjà rendus en faveur des .,,.«> si-Dominim
efforts de M. Biétry. Cette épreuve est triomphante, carde- '''' V h !
puis l'ouverture de ces beaux magasins, la foule s'y porte les libl''! Ma '
dames y accourent de tous côtés, et cette faveur sera durable Cam01"' )ibl"';
car dans l'avenir comme à présent, les acheteurs peuvent être du Vieux-Palais; à
assurés que la pureté rigoureuse du cachemire, dont l'emploi uieriwi street; dans
se propage de plus en plus pour la mise des dames comme les et générales, et
pour les vêtemens d'hommes, ne subira jamais la moindre al-
tération, et que, mettant de plus en plus en pratique l'axiome
dicté par lui-même : Point de commerce possible sans loyauté
M. Biétry ne sera préoccupé que d'une seule pensée celle
d'apporter encore, s'il est possible, de nouvelles améliorations
dans la fabrication du cachemire, exempt de toute fraude et
de tout mélange. (On sait que les magasins Biétry père fds et
O sont situés rue Richelieu, 102, près le boulevard.) '
A. Duport.
11 faut voir les admirables gilets d'été exposés dans les ma-
gasins de Blanc, 159, gai. de Valois, au Pal.-Royal, pour ima-
giner la perfection que peut atteindre un seul article de la toi-
lette. En se vouant à une spécialité unique, Blanc s'est fait une LE
réputation, et son nom est désormais inséparable du mot gilet.
fe — Manège Leblanc, n° 42, rue du faubourg Montmar- WCR FAIRE PES
tre. A dater du l« juin les leçons commencent à G h. du ma-
tin, et les promenades ont lieu les mardis et vendredis à 6
heures et demie du soir.
— La Crème d'élher, liqueur de table stomachique et cal-
mante, se prend pure ou étendue d'eau fraîche ; elle est très
agréable au goût et facilite la digestion. (Voir aux Annonces.)
ADAUTTU du 12 •iuin courant> Je cabinet d'affaires
rJLAllA de M. LEBLANC, avocat, sera transféré
du quai aux Fleurs, 23, au faub. Montmartre, cité Bergère, 2.
PTVTfïïïPW café-restaurant de la terrasse,
Alluulijli \ rue des Bains, n° 1G. Service à la carte;
dîners à 3 lianes, déjeuners à 2 francs.—Jardin, salons, cabi-
nets de société et terrase ayant vue sur le lac.
BISCUIT TOXIQUE destruction des BATS
aulL ANINAUX NUISIBLES ESE&r.
pharm. à Poissy. Dépôts chez Menier, r, des Lombards, 37 ;
Collas, r. et Carré St-Martin, 303; Poullalier, ép., r. St-Domi- îtde plus flatteur
que, Fg. St-Germain, 115; Bossin, pép., q. de la Mégisserie,28 n . ,„ ,
.,-,- De même 1 hab
DEPURATIF VEGETAL Sïïsr*fflS frac et
ou négligées, les Dartres, les Éruptions et les Acretés du sang, in davantage • <
notice. La bouteille, 6 fr.—Chable, pharm., rue Neuve-Vi- . e '
vienne, 36. (On expédie contre remboursement.) lst>u aise et qu'il
2 FR. MALADIES &î?ifiaSS.
,_ J "«tique pour te
maison A17TC N° *, • t0Wer et elles n'<
RAITIER - GUIBAL B^JS!S?- **».
1tJi\'W Jk É7¥TÏ1 & Jolm guizolin es
f \l I. ilA* JjJ U Jtl.^» ïmd bonheur q
On trouve au dépôt de la Manufacture de Caoutchouc de MM. wmi„T,„„___
Rattier et G-uibal, brevetés (sans garantie du gouvernement;, «uuence, on E
rue des Fossés-Montmartre, un grand choix d'articles très utiles ianfant rr.^„v /•,,
et presque indispensables en voyage, tels, entre autres, que «m mieux qi
coussins et colliers à air, ceintures de sauvetage ou de natation, 4 contraire h Anr
bonnets de bains, urinoirs portatifs d'un nouveau modèle, ex- ll<"ie d uoi
trêmement simples et commodes, clysoirs, manteaux imper- rnrvmont
méables forts légers pour la chasse et la pêche, bretelles, jarre- ^ tuuiiibm,
tières, lacets et toutes sortes de tissus élastiques pour serre-bras, « offusmié rlP Y
bandages, etc., etc. — Tous les produits portent l'estampille de uc
cette maison, et se vendent à garantie. *se. Il lui a cri(
*• » Ses gens
_„ i-...,,- de brou et c% de bordeaux.—dépôt central, rue tivienne, 4.—Cette délicieuse liqueur de table, adoptée par les gourmets de Bordeaux, , ois le C
iK H Wl fît Il Hth H il csl salutaire à l'estomac, agréable au goût et procure un sentiment de bien-être inexprimable ; elle se prend pure ou étendue d eau iraient;, »i, le tncorn
UHJuITIIj U Ju X Ulj&l, prise avant de se coucher, elle facilite la digestion et donne un sommeil paisible. — Prix : 4 francs la carafe, contenant vingt petits verrtj 'brandissant un
SAVON DE
GUIMAUVE
il
CE VÉRITABLE SAVON, s1
précieux pour la peau, ne se
venu que chez BLANCHE ,
parf., pass. Choiseui, 48. —
Eviter la contrefaçon—2 fr.
le pain, 5 fr. les' trois. —
CIŒME D'HEBE, infaillible contre les rides, 3 francs.
CAPSULES MOTHES
Les seules qui renferment le B. de Copahu pur,
c'est-à-dire liquide, et tel que le produit la nature.
•4 fr. la Boite. Rue Ste-Anne, n° 20, au le*, et
dans toutes les pharmacies d'Europe. (Approbation
de l'Académie de Médecine.)
spécialité de serrurerie pour parcs et JAR-
i»i\s, serres-chaudes et tempérées, châssis de
couches perfectionnés, faisanderies, poulaillers,
chenils. Berceaux, volières, marquises, passerel-
les, parcs à hestiaux, balustrades invisibles, cor-
beilles, jardinières, fauteuils, chaises, bancs, ta-
bles, etc., etc. Grillade d'espaliers, de clôture à
gibiers, de vitraux d'église, etc.
usine tronchon, avenue de Saint-Cloud, II,
près la barrière de l'Etoile.
LA CONSERVATRICE
Demande des représentai en province : 1,200 FR. d'appoin-
temens et au-dessus.
II sera alloué une prime proportionnelle aux opérations.
Associations mutuelles contre.Remboursementintégralduca-
les chances du tirage au sort,
depuis la naissance moyen
nautunefaible mise annuelle
pital et des intérêts en cas
de mortjremboursementaux
exemptions forcées.
Adresser toutes' demandes au directeur gérant, r. du Havre, 17.
(Les lettres non affranchies seront rigoureusement refusées.)
DEPURATIF DU SAN6-.
LE SIROP CONCENTRÉ DE SALSEPAREILLE, préparé par
QUET, pharmacien, à Lyon, est employé avec un succès cons-
tant pour la guérison des Maladies secrètes, des Dartres, Dé-
mangeaisons, Taches et Boutons à la peau, Rhumatismes, Goutte
et toutes Acretés ou Vices du Sang. D'un usage tort commode,
il est préféré aux tisanes. (Voir Instruction.) Dépôt à Paris, à
la Pharmacies HEBERT, galerie Véro-Dodat, 2; des PANORA-
MAS , rue Montmartre, 161; dans les principales villes de France
et de l'étranger.
CHEMISIER DES
princes, s?
N. 104, RUE RICHELIEU. Spécialité pour chemises de luxe et or'' « un escabeau
naires, gilets de flanelle irrétrécissables, caleçons, cravates, moueno ^ . ,
ii vignettes les plus nouvelles et grand choix de broderies pour che ut de -yue Ja CI
mises.______ Irju „», ,
~—■———— CRATIS j20 réunies U[e une rein,
/h \ A eJE«»uHW S de l'autre u
V î^teSW.e/liSf '«opprimé nui
#tre superfin,5^extrà-fint:SVlacf 75 - eU f. (initia es); U ^ qui
_JF enveloppes, 50 c. le cent; ptyi" eeohei, dti. la rame, tai '«acnir du iouc
tes de visite porcelaine, S fr. le cent. Rue Joquelet, H.___tÎDnwJ - J s
gérance mer
isi
»
u
bn^rimerie lange LÉvy et C», rue du Croissant, 16. klm de ce r
MALADIES DIS CHIENS, POUDRE DE IIEiffi Vp m r
OTésèrvatif certain pour les jeunes chiens -- 60 w es a Un pei
Lenîfmes le paquet avec l'instruction. - l'haima- «U^
cie, 38, rue Dauphine.______ J, * »
LE CHARIVARI,
très grande satisfaction du parterre, est doué d'un
organe caverneux auquel nous avons le malheur de
ne rien comprendre. Sa voix gronde terrible et roule
rapide comme le tonnerre.Bien habiles sont ceux qui
peuvent saisir quelques hémistiches au passage.
Nous n'avons pas encore assisté à la représenta-
tion d'Une Provinciale, comédie en prose en trois
actes, ni à celle des Moutons de Panurge, satire en
un acte, envers. Nous parlerons de visu de ces deux
nouveautés si elles en valent la peine. La renommée
est encore muette à cet égard.
CARILLON.
En ce temps de scandales administratifs, le minis-
tère a compris enfin la nécessité de prendre une me-
sure énergique. En conséquence, il annonce la ré-
solution de couper court... aux moustaches des em-
ployés.
— Ce pauvre ministère, partout honni et rudoyé,
va sans doute pouvoir se vanter d'avoir du moins
fait la barbe à quelqu'un.
— Le ministère entreprend de tondre ses em-
ployés ; comme la présentation du budget approche,
il a voulu apparemment se faire la main.
— Le Journal des Débats s'apprête à célébrer ce
vigoureux coup de rasoir et à démontrer qu'en fait
de réformes, la plus urgente et la plus utile était celle
des moustaches bureaucratiques.
— On supprime les moustaches dans les adminis-
trations, mais on se gardera bien d'y supprimer les
favoris.
— M. Guizot a fait un grand éloge des talens et
des mérites de M. Bugeaud. Est-ce afin de mieux
justifier la qualification à!aveugle donnée au gouver-
nement par ce même Bugeaud dans sa¥fameuse lettre
au préfet de la Dordogne ?
EXPLICATION DU DERNIER RÉBUS ILLUSTRÉ.
Un homme ivre voit tout à l'envers.
Le Gérant: léopold pannier.
Itevuc de l'Industrie.
Par son extrême lenteur, l'hiver dont nous sortons a fait
plus de malades qu'un hiver rigoureux mais rapide; il est
donc urgent maintenant que les convalescens, que les poitri-
nes faibles et fatiguées reprennent doucement des forces ; rien
de plus efficace pour cela que l'emploi si agréable du Raca-
hout des Arabes. Cet aliment d'un goût excellent, d'un
effet certain, convient souvent aux dames et aux enfans ; les
estomacs les plus paresseux le digèrent d'abord sans la moin-
dre peine et lui doivent bientôt une force inaccoutumée. L'em-
ploi journalier du Racahout, soit à Paris, soit à la campagne,
a déjà rendu l'énergie et la santé à nombre de personnes que
l'art médicinal avait cherché vainement à rétablir.
Rien n'est impossible à la science: un chimiste d'Allemagne,
M. Léopold Lob, nous en fournit une incontestable preuve.
Jusqu'à présent on avait traité de chimère la régénération des
cheveux; maintenant cette soi-disant chimère est devenue une
vérité dont tout le monde peut acquérir la preuve, car il suf-
fit de se rendre rue Saint-Honoré, 281, à Paris, dans le cabi-
net de l'habile chimiste, pour acquérir mille preuves pour une
de l'infaillibité de sa découverte, et voir comment il est arri-
vé à faire repousser et épaissir les cheveux, même sur des
têtes chauves depuis plus de vingt années. Cette eau
est précieuse aussi pour les personnes dont les cheveux s'é-
claircissent ou commencent a blanchir. Il suffit, pour régéné-
rer la chevelure, d'un flacon de 5 à 10 francs.
Accueillie dès son ouverture comme elle méritait de l'être
pour l'élégance de ses modèles, la beauté de ses étoffes et sa
parfaite confection, la maison des MOUSQUETAIRES a dû
prendre une nouvelle extension ; cet établissement, déjà si
connu pour ses habillemens d'hommes, vient d'ouvrir en
outre un magasin spécial pour les habillemens d'enfans
et les robes de chambre. Les mêmes soins apportés à la
confection des vêtemens d'hommes, les mêmes avantages qui
se trouvent dans la douceur des prix, ont lieu pour les nou-
veaux articles que la maison des,MOUSQUETAIRES vient d'ad-
joindre à sa spécialité première. Ateliers à part pour les livrées
(rue de l'Ancienne-Comédie, 24, près l'Odéon).
Le bon goût n'admet pas pour le linge d'homme des orne-
mens superflus ; la beauté irréprochable de l'étoffe, une coupe
simple, mais supérieure, une confection parfaite, voilà ce que
RJËBlJâ.
demandent les véritables élégans, les hommes du monde et
c est justement là ce que Longueville s'est toujours fait'un »BB DU CRO'
devoir d'offrir à la clientèle la plus distinguée de Paris (Rup
Richelieu, 10.) " v
La mode, le bon droit et la raison se trouvent d'accord pour AS
le moment a propos de l'ouverture des magasins de la maison
Biétry. Cet accord si légitime et si rare à rencontrer entre
les volontés de la mode et les lois de l'équité, ne passera point Trois mois.........
cependant comme un vain météore. Toutes les dames savent <ix mois.........
avec quelle persévérance M. Biétry a poursuivi la fraude et
réclame des garanties pour le plus beau mais aussi le plus Dn a""'
cher des tissus, pour le cachemire, tant en châles qu'en uni 0n mim,'''°
L'ouverture des magasins dans lesquels cet intègre fabricant I-es abonnemcus du
devait, prêchant d'exemple, vendre sous les plus irrécusables
garanties, du cachemire pur, était une nouvelle épreuve
destinée, si, elle réussissait, à donner une sanction déplus on s'abonne : h I
aux arrêts que les tribunaux avaient déjà rendus en faveur des .,,.«> si-Dominim
efforts de M. Biétry. Cette épreuve est triomphante, carde- '''' V h !
puis l'ouverture de ces beaux magasins, la foule s'y porte les libl''! Ma '
dames y accourent de tous côtés, et cette faveur sera durable Cam01"' )ibl"';
car dans l'avenir comme à présent, les acheteurs peuvent être du Vieux-Palais; à
assurés que la pureté rigoureuse du cachemire, dont l'emploi uieriwi street; dans
se propage de plus en plus pour la mise des dames comme les et générales, et
pour les vêtemens d'hommes, ne subira jamais la moindre al-
tération, et que, mettant de plus en plus en pratique l'axiome
dicté par lui-même : Point de commerce possible sans loyauté
M. Biétry ne sera préoccupé que d'une seule pensée celle
d'apporter encore, s'il est possible, de nouvelles améliorations
dans la fabrication du cachemire, exempt de toute fraude et
de tout mélange. (On sait que les magasins Biétry père fds et
O sont situés rue Richelieu, 102, près le boulevard.) '
A. Duport.
11 faut voir les admirables gilets d'été exposés dans les ma-
gasins de Blanc, 159, gai. de Valois, au Pal.-Royal, pour ima-
giner la perfection que peut atteindre un seul article de la toi-
lette. En se vouant à une spécialité unique, Blanc s'est fait une LE
réputation, et son nom est désormais inséparable du mot gilet.
fe — Manège Leblanc, n° 42, rue du faubourg Montmar- WCR FAIRE PES
tre. A dater du l« juin les leçons commencent à G h. du ma-
tin, et les promenades ont lieu les mardis et vendredis à 6
heures et demie du soir.
— La Crème d'élher, liqueur de table stomachique et cal-
mante, se prend pure ou étendue d'eau fraîche ; elle est très
agréable au goût et facilite la digestion. (Voir aux Annonces.)
ADAUTTU du 12 •iuin courant> Je cabinet d'affaires
rJLAllA de M. LEBLANC, avocat, sera transféré
du quai aux Fleurs, 23, au faub. Montmartre, cité Bergère, 2.
PTVTfïïïPW café-restaurant de la terrasse,
Alluulijli \ rue des Bains, n° 1G. Service à la carte;
dîners à 3 lianes, déjeuners à 2 francs.—Jardin, salons, cabi-
nets de société et terrase ayant vue sur le lac.
BISCUIT TOXIQUE destruction des BATS
aulL ANINAUX NUISIBLES ESE&r.
pharm. à Poissy. Dépôts chez Menier, r, des Lombards, 37 ;
Collas, r. et Carré St-Martin, 303; Poullalier, ép., r. St-Domi- îtde plus flatteur
que, Fg. St-Germain, 115; Bossin, pép., q. de la Mégisserie,28 n . ,„ ,
.,-,- De même 1 hab
DEPURATIF VEGETAL Sïïsr*fflS frac et
ou négligées, les Dartres, les Éruptions et les Acretés du sang, in davantage • <
notice. La bouteille, 6 fr.—Chable, pharm., rue Neuve-Vi- . e '
vienne, 36. (On expédie contre remboursement.) lst>u aise et qu'il
2 FR. MALADIES &î?ifiaSS.
,_ J "«tique pour te
maison A17TC N° *, • t0Wer et elles n'<
RAITIER - GUIBAL B^JS!S?- **».
1tJi\'W Jk É7¥TÏ1 & Jolm guizolin es
f \l I. ilA* JjJ U Jtl.^» ïmd bonheur q
On trouve au dépôt de la Manufacture de Caoutchouc de MM. wmi„T,„„___
Rattier et G-uibal, brevetés (sans garantie du gouvernement;, «uuence, on E
rue des Fossés-Montmartre, un grand choix d'articles très utiles ianfant rr.^„v /•,,
et presque indispensables en voyage, tels, entre autres, que «m mieux qi
coussins et colliers à air, ceintures de sauvetage ou de natation, 4 contraire h Anr
bonnets de bains, urinoirs portatifs d'un nouveau modèle, ex- ll<"ie d uoi
trêmement simples et commodes, clysoirs, manteaux imper- rnrvmont
méables forts légers pour la chasse et la pêche, bretelles, jarre- ^ tuuiiibm,
tières, lacets et toutes sortes de tissus élastiques pour serre-bras, « offusmié rlP Y
bandages, etc., etc. — Tous les produits portent l'estampille de uc
cette maison, et se vendent à garantie. *se. Il lui a cri(
*• » Ses gens
_„ i-...,,- de brou et c% de bordeaux.—dépôt central, rue tivienne, 4.—Cette délicieuse liqueur de table, adoptée par les gourmets de Bordeaux, , ois le C
iK H Wl fît Il Hth H il csl salutaire à l'estomac, agréable au goût et procure un sentiment de bien-être inexprimable ; elle se prend pure ou étendue d eau iraient;, »i, le tncorn
UHJuITIIj U Ju X Ulj&l, prise avant de se coucher, elle facilite la digestion et donne un sommeil paisible. — Prix : 4 francs la carafe, contenant vingt petits verrtj 'brandissant un
SAVON DE
GUIMAUVE
il
CE VÉRITABLE SAVON, s1
précieux pour la peau, ne se
venu que chez BLANCHE ,
parf., pass. Choiseui, 48. —
Eviter la contrefaçon—2 fr.
le pain, 5 fr. les' trois. —
CIŒME D'HEBE, infaillible contre les rides, 3 francs.
CAPSULES MOTHES
Les seules qui renferment le B. de Copahu pur,
c'est-à-dire liquide, et tel que le produit la nature.
•4 fr. la Boite. Rue Ste-Anne, n° 20, au le*, et
dans toutes les pharmacies d'Europe. (Approbation
de l'Académie de Médecine.)
spécialité de serrurerie pour parcs et JAR-
i»i\s, serres-chaudes et tempérées, châssis de
couches perfectionnés, faisanderies, poulaillers,
chenils. Berceaux, volières, marquises, passerel-
les, parcs à hestiaux, balustrades invisibles, cor-
beilles, jardinières, fauteuils, chaises, bancs, ta-
bles, etc., etc. Grillade d'espaliers, de clôture à
gibiers, de vitraux d'église, etc.
usine tronchon, avenue de Saint-Cloud, II,
près la barrière de l'Etoile.
LA CONSERVATRICE
Demande des représentai en province : 1,200 FR. d'appoin-
temens et au-dessus.
II sera alloué une prime proportionnelle aux opérations.
Associations mutuelles contre.Remboursementintégralduca-
les chances du tirage au sort,
depuis la naissance moyen
nautunefaible mise annuelle
pital et des intérêts en cas
de mortjremboursementaux
exemptions forcées.
Adresser toutes' demandes au directeur gérant, r. du Havre, 17.
(Les lettres non affranchies seront rigoureusement refusées.)
DEPURATIF DU SAN6-.
LE SIROP CONCENTRÉ DE SALSEPAREILLE, préparé par
QUET, pharmacien, à Lyon, est employé avec un succès cons-
tant pour la guérison des Maladies secrètes, des Dartres, Dé-
mangeaisons, Taches et Boutons à la peau, Rhumatismes, Goutte
et toutes Acretés ou Vices du Sang. D'un usage tort commode,
il est préféré aux tisanes. (Voir Instruction.) Dépôt à Paris, à
la Pharmacies HEBERT, galerie Véro-Dodat, 2; des PANORA-
MAS , rue Montmartre, 161; dans les principales villes de France
et de l'étranger.
CHEMISIER DES
princes, s?
N. 104, RUE RICHELIEU. Spécialité pour chemises de luxe et or'' « un escabeau
naires, gilets de flanelle irrétrécissables, caleçons, cravates, moueno ^ . ,
ii vignettes les plus nouvelles et grand choix de broderies pour che ut de -yue Ja CI
mises.______ Irju „», ,
~—■———— CRATIS j20 réunies U[e une rein,
/h \ A eJE«»uHW S de l'autre u
V î^teSW.e/liSf '«opprimé nui
#tre superfin,5^extrà-fint:SVlacf 75 - eU f. (initia es); U ^ qui
_JF enveloppes, 50 c. le cent; ptyi" eeohei, dti. la rame, tai '«acnir du iouc
tes de visite porcelaine, S fr. le cent. Rue Joquelet, H.___tÎDnwJ - J s
gérance mer
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bn^rimerie lange LÉvy et C», rue du Croissant, 16. klm de ce r
MALADIES DIS CHIENS, POUDRE DE IIEiffi Vp m r
OTésèrvatif certain pour les jeunes chiens -- 60 w es a Un pei
Lenîfmes le paquet avec l'instruction. - l'haima- «U^
cie, 38, rue Dauphine.______ J, * »
Werk/Gegenstand/Objekt
Titel
Titel/Objekt
Rébus
Weitere Titel/Paralleltitel
Serientitel
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Inschrift/Wasserzeichen
Aufbewahrung/Standort
Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES
Objektbeschreibung
Maß-/Formatangaben
Auflage/Druckzustand
Werktitel/Werkverzeichnis
Herstellung/Entstehung
Entstehungsdatum
um 1847
Entstehungsdatum (normiert)
1842 - 1852
Entstehungsort (GND)
Auftrag
Publikation
Fund/Ausgrabung
Provenienz
Restaurierung
Sammlung Eingang
Ausstellung
Bearbeitung/Umgestaltung
Thema/Bildinhalt
Thema/Bildinhalt (GND)
Literaturangabe
Rechte am Objekt
Aufnahmen/Reproduktionen
Künstler/Urheber (GND)
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 16.1847, Juin (No. 152-181), S. 644
Beziehungen
Erschließung
Lizenz
CC0 1.0 Public Domain Dedication
Rechteinhaber
Universitätsbibliothek Heidelberg