Le charivari (16.1847)

,li(iue pourra,
« a offert ie.

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3rd:Pari^B„;

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rt pas. , \\v\m\^! ; -*^m wmïimm x=tmm}&mmr^

è, dans la ckatj
es évêques. Coi
joué un grand ift
irigée contre leP(i
est naturel que|t
ur banc une imp.
à la victoire,
ques se considéras,'
richesses, commefe,
"aristocratie angW,
leur part du
ique.

îhambrè haute i ■
qui vient de donat
vant l'ouverture {,[
le prière, a peu p
■écite le Be»wdici
able.

l'autre jour les lté',
ibre, et pourtaiili
ne d?* évêques étai.
1er, les évoques n'ai-
int de prières.
!S laissent la sallet
■ouver : les btiÉ
ais à Londres! S
)rt embarrassant*
duc de Wellinglti
Ues les grandes ë
mrase d'habitude »-
suis le vai

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DAh*t> Tue Dâ Br/»ir r»

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fettwtmît» j to'^cs ': sdi;Ke...' Si;â'/aiS:irj'3:nispris!iTfiacre. Us tt msnade '.'B^

ÇJ» on va êot csux a p.,
—: Monsieur, vciis|v(z dans mt mille dés chans.-ns se B; is/r.. Nji'
' allons vous conduire dans les prisons du SpielDe'rr.■

i délibéré et 9H
nent : Est-ce ci
îs la chambre et f

comme évêq»S»< UfT ;:rw;t \:* V,-- «r.V-. ■— VaidrieHoos avoir la comp'£isa<re Im lat-^r allumer mon cigare à- Ép'sode d'une touinte claris les Pyrénées,

'un évêquenonpf : .-. ■ • nn pipe..; sars iii ftftfef? ' '. '

nque suffirait. 0

appréhenderai)*!,
mtré, et il U p
agi de le condoiB»
l fait la prière «
travaux parlement
de même q#Mj
, Pasquier a agi»

si tous les ev
iit abstenus de
ar hasard, eHÉ

în négTc5i

:ites ; m»'s ctI 1

penser que
[ès évêques, ne

- ••• ' — Tu vas à Bade pour ta sssté 1 ' Le retour de Bade suivi d'un retour sur soi-même, — J'ai suivi votre dwi, docteur, et me voilà radicalement guéri.

:. : r":'■ — Mais oui,. pour me reraire i la roulette. . ' — ?ous m'éteouez!