Le charivari (16.1847)

'épris.

LES BONS B0U.BBE0IS.

y° 4$.

•Pfes de la Granij,
un des leurs, n%
«in. Sur leur»k
npagne toojoo, j
ice, et ils avaient|:

présidait la vénfe
1 «Frères, nous «
a conduite de nos
ls chargés,de no»;
lut conservateuru;

le céleste du but

t

nen. »

procéder à cet esai
lacité qui ne sauras-.,
arent qu'après œ;
i présente session .
avait des punilios
erner. En coasàp
Soult, qui n'avaitt
er ses choux à Sj '
d'être puni ainsi;.
3le seulement kf
tandis que les af
:nt honneurs, I.
ons.

;èrent tous d'iHltl
le Gunin, le maint
a promotion de Gui;
après ces actes kl
nt inspirés d'en k
tt de plus en pi

âge obscurcissait t£
Delessert, delati
risée : «Frères,»
jnheur terrestre, t
ju'on appelait^
notre sainte ban*
,deurdanslep*:
les concierges^

■e et martre desfe
loute parce que 1«!
irnalà la terre,8,1

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susceptible de^

;que c'est le

oraison; mais*:
,lutôtnevovaatf

es, je crois <F»
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Position réputée la plus commode pour mit m joli fartait au daguenêotjm

pôtre.
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