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LÉGENDES DES PLANS.

CXLV

Il est difficile d'expliquer comment des monuments qui appartiennent à une époque assez avancée, se
trouvaient dans le sein d'une terre qui était recouverte d'une construction en pierres brutes, de style cyclopéen,
comme celle qu'offre notre dessin, construction qui constitue, il semble, un monument tout primitif.

Il paraît qu'en creusant la terre pour y faire pénétrer le mât, le bout inférieur de l'arbre vint à
donner sur le sarcophage, dont il contribua à déterminer la rupture. Nous n'avons pas appris qu'on ait
fouillé systématiquement le sol que recouvre cette construction, pour s'assurer si dans sa profondeur on ne
découvrirait pas quelque autre indice.

Dans notre carte No. 1., l'emplacement de la Nouvelle Quarantaine est indiqué comme correspondant à
celui de l'ancienne Myrmecium, et la pointe de terre ou petit cap où s'élève la construction ci-dessus,
comme marquant celui de VHeracleum (voir notre Topographie). Cette pointe de terre est désignée dans
le pays sous l'appellation de Zmeïnii-Gorodok (Змеиный Городокъ).

9. ÎO. Tombeaux en briques.

Nous avons parlé dans notre Introduction (page LIX) des tombeaux en briques que l'on a découverts
assez fréquemment, dans les tumulus des environs de Kertch. L'Ermitage possède huit de ces briques avec
lesquelles il serait facile de reconstituer un tombeau, exactement pareil à celui qui est figuré dans notre
planche sous le No. 9.

Les No. II. 13. offrent l'aspect de ces briques, vues à plat et par la tranche, avec leurs rebords,
ainsi que la place qui porte l'empreinte du poinçon dont elles sont ordinairement marquées.

Les No. 13. 14. 15. offrent, en demi-grandeur, l'empreinte de trois de ces poinçons. Dans le
No. 15. la première et la dernière lettre de l'inscription sont seules visibles.

Introd.

XXXVII
 
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