i j4 Les Réglés ï>v Dessein
Fartillerie en ont jusqu’à vingt-cinq. Les
boyaux que Ton fait pour communiquer d’u-
ne tranchée à l’autre , ne doivent avoir tout
au plus que six pieds de largeur , & comme a
suivant l’échelle, on ne pourra pas marquer
cette largeur, on les fera moins larges que
les tranchées.
A l’égard des batteries de canon , on leur
fera un parapet de dix-huit pieds d’épailseur,
percé d’embrasures , dont on lavera seule»
ment les nierions d’une teinte entière de
gomme-gutte 9 laissant les embrasures toutes
blanches, comme aux autres batteries ; sî
l’on veut , on tirera une ligne parallèle à
trois toises de distance du parapet, pour mar-
quer la plate-forme de la batterie.
Pour les batteries à mortier, elles se font
comme les précédentes, à l’exception qu’on
ne leur fait point d’embrasures ; mais on fait
de petits zéros sur la plate-forme , pour les
distinguer des batteries de canon , & pour
en marquer en quelque façon les mortiers,
Voyey la pi. 16.
Les épaulemens que Ton fait pour couvrir
la cavalerie , ne font autre chose qu’un para-
pet de dix-huit à vingt pieds d’épaisseur, que
l’on desline à l’encre de la Chine, & qu’on
lave d’une teinte entière de gomme-gutte *
mais comme ces épaulemens sontasfez élevés,
il leur faut marquer un talut en dehors &■ en
dedans par une ligne noire très-déliée , parce
Fartillerie en ont jusqu’à vingt-cinq. Les
boyaux que Ton fait pour communiquer d’u-
ne tranchée à l’autre , ne doivent avoir tout
au plus que six pieds de largeur , & comme a
suivant l’échelle, on ne pourra pas marquer
cette largeur, on les fera moins larges que
les tranchées.
A l’égard des batteries de canon , on leur
fera un parapet de dix-huit pieds d’épailseur,
percé d’embrasures , dont on lavera seule»
ment les nierions d’une teinte entière de
gomme-gutte 9 laissant les embrasures toutes
blanches, comme aux autres batteries ; sî
l’on veut , on tirera une ligne parallèle à
trois toises de distance du parapet, pour mar-
quer la plate-forme de la batterie.
Pour les batteries à mortier, elles se font
comme les précédentes, à l’exception qu’on
ne leur fait point d’embrasures ; mais on fait
de petits zéros sur la plate-forme , pour les
distinguer des batteries de canon , & pour
en marquer en quelque façon les mortiers,
Voyey la pi. 16.
Les épaulemens que Ton fait pour couvrir
la cavalerie , ne font autre chose qu’un para-
pet de dix-huit à vingt pieds d’épaisseur, que
l’on desline à l’encre de la Chine, & qu’on
lave d’une teinte entière de gomme-gutte *
mais comme ces épaulemens sontasfez élevés,
il leur faut marquer un talut en dehors &■ en
dedans par une ligne noire très-déliée , parce