JL "ART POUR • T
Encyclopédie m "/>abtindustriel et décoratif
•jDarat^sant to'us les wois
EMILE REIBER
Dire cteur-7ron da te ur>
^Librairie des Imprimeries rétinies
■n\ - -m-' '.- ;.t - at!!iSÉt^^^ ^ PARIS
Ancienne-iHaison T^lorel
BULLETIN DE NOVEMBRE 1887
Actes officiels
Exposition nationale des Beaux-Arts de 1889.
26^ Année Novembre 1887
CONCOURS
Prix Crozatier. — La commission chargée de dé-
cerner le prix d'encouragement aux artistes ciseleurs
fondé par le statuaire Crozatrer, s'est réunie sous la
présidence de M. Emile Maruéjouls, président de
....., i nr i i- ir section au Conseil de préfecture.
Par arrè é du ministre de l'Instruction publique, . . , ., , „ ,
Le premier prix a ete accorde a M. Eugène Ma-
rioton pour une figure en bronze (le Dompteur); la
première mention à M. de Haah, pour une statue de
des Cultes et des Beaux-Arts, en date du 2 novem-
bre 1837, rendu sur la proposition du conseiller
d'État, directeur des Beaux-Arts, ont été nommés
membres du jury d'admission à l'Exposition natio-
nale des Beaux-Arts de 1889 :
Classes 1 et 2 (peinture, dessins, aquarelles, pas-
tels, etc.) : M. André Michel, critique d'art, en rem-
placement de Charles Clément, décédé.
Classe 3 (sculpture et gravure en médailles) : M. A.
bronze d'après Gaulherin, et la deuxième mention a
M. Forgeois, pour une autre statue de bronze d'après
la Diane de Falguière.
jury a rendu son jugement dans le concours ouvert
i
Kaempfen, directeur des musées nationaux et de pour le monument à élever sur la place Perrache
l'École du Louvre, en remplacement de Louis de la gloire de la République, à Lyon.
Ronchaud. décédé.
Classe 3 (architecture) : M. Lucien Magne, archi-
tecte, en remplacement de Ruprich-Robert, décédé.
Classe 3 (gravure au burin ou à Peau-forte et litho-
graphie) : M. Henri Béraldi, critique d'art, en rem-
placement de M. Hédouin, démissionnaire.
La Propriété littéraire et artistique
La convention internationale, conclue à Berne au
sujeL de la création d'une Union internationale pour
'a protection des œuvres littéraires et artistiques,
et promulguée en vertu d'un décret en date du
12 septembre, est exécutoire en France à partir du
•> décembre.
La convention est conclue entre la France, l'Alle-
magne, la Belgique, l'Espagne, la Grande-Bretagne,
'a République d'Haïti, l'Italie, la République de Li-
béria, la Confédération suisse et la Tunisie.
Par « œuvres littéraires et artistiques » on comprend
'es livres, brochures ou tous autres écrits; les œuvres
dramatiques ou dramatico-musicales, les compositions
musicales avec ou sans paroles; les œuvres de des-
sin, de peinture, de sculpture, de gravure; les litho-
graphies, les illustrations, les cartes géographiques;
'es plans, croquis et ouvrages plastiques relatifs à la
géographie, à la topographie, à l'architecture ou aux
Sciences en général; enfin toute production quel-
conque du domaine littéraire, scientifique ou artis-
tique qui pourrait être publiée par n'importe quel
"iode d'impression ou de reproduction.
Ainsi, il résulte d'un protocole annexé à la conven-
tion, que la photographie autorisée d'une œuvre d'art
à cire perdue, et une rare tapisserie révolutionnaire,
au Coq-Hardi, perché sur un canon, soutenu de
drapeaux tricolores. D'autre part, le Conseil mu-
nicipal a décidé de restituer à ce musée quatre
beaux portraits cle prévôts et d'échevins. Ces por-
traits, œuvres de Largillière et de de Troy, dont
l'un provient d'un legs cle la famille Chauvin, avaient
été empruntés au musée pour décorer provisoire-
ment les locaux affectés au Conseil municipal, nu
Luxembourg et aux Tuileries. Ces intéressantes
peintures sont dès aujourd'hui exposées dans le
charmant salon provenant de l'hôtel des Stuarts, dont
les délicates boiseries sont précisément contempo-
raines des personnages représentés.
Monument de la République, à Lyon. - Le Le Musée du Trocadéro La commissîon des
monuments historiques avait demandé à maintes re-
prises, par l'organe de son président, M. Antonin
Proust, que l'aile occidentale du Trocadéro, attribuée
à l'origine à un musée de moulages d'après l'antique,
lui fui rendue pour le développement indispensable
de son Musée de sculpture comparée. Grâce à l'active
et heureuse initiative de M. Castagnary, directeur des
Beaux-Arts, le ministre de l'Instruction publique
vient de prendre un arrêté qui rend ce local à la
commission des monuments historiques et affecte
à l'Ecole des Beaux-Arts les moulages d'après l'an-
tique qui s'y trouvaient déposés. Cette mesure per-
mettra de donner à noire Musée national de mou-
lages une extension reconnue nécessaire.
L'arrêté du ministre est accompagné d'un rapport
de M. Castagnary, qui retrace l'histoire de ce musée,
créé par Viollet-le-Duc et par la commission des
monuments historiques, et expose les motifs qui mi-
litent en faveur de l'opportunité de celte mesure.
-0-
La décoration du Panthéon. — L'enquête ou-
verte par M. Castagnary sur l'état des travaux de dé-
coration du Panthéon se poursuit activement.
On avait annoncé que la désaffectation de cet édi-
fice devait amener une modification dans les projets;
aucun changement ne sera apporté à la décoration
picturale. Quelques statues seulement, d'un carac-
tère éminemment religieux, qui avaient été comman-
dées et exéculées pour le Panthéon, n'y figureront
pas. Il leur sera donné une autre destination.
_o_
Décoration de l'Hôtel de Ville de Paris. — La
commission pour la décoration de l'Hôtel de Ville de
Le projet choisi est celui de MM. Pcynot, sculp-
teur, et Blavef, architecte, tous deux de Paris.
Expositions
Société des Amis des Arts de Pau. — L'ouver-
ture de la 24e Exposition de la Société des Amis des
Arts de Pau est fixée au 15 janvier 1888, sa clôture au
15 mars 1888.
Sont seules admises à l'Exposition les œuvres de
peinture, sculpture, gravure en médailles, gravure,
architecture, lithographie et dessin d'artistes vivants
jusqu'à concurrence de deux ouvrages en chaque
genre pour chaque artiste.
On n'admettra aucune copie, si ce n'est en un genre
différent de l'original.
Les tableaux et dessins devront être encadrés, et
les cadres, ronds ou ovales, fixés sur plateaux carrés.
Beaux-Arts
FRANCE
Monument de François Millet. — Une réunion
des membres du comité pour le monument de Fran-
çois Millet a eu lieu à l'Hôtel de Ville, sous la prési-
dence de M. E. Guillaume, de l'Institut, assisté de Paris a lenu une importante séance.
Pi'otégée jouira, dans fous les pays de l'Union, de la M. Ristelhucber, secrétaire du comité. 11 s'agissait de savoir à quel artiste il convenait de
Protection légale, aussi longtemps que durera le droit Le comité aura à disposer de cinquante mille francs
Principal de reproduction de celte œuvre même.
Ajoutons qu'un Bureau de l'Union internationale
Pour la protection des œuvres littéraires et artistiques,
dont les frais seront supportés par les administrations
de tous les pays de l'Union, sera installe en Suisse et
Placé sous la haute autorité de l'administration supé-
''icurc de la Confédération suisse.
La langue officielle du bureau international sera
'a langue française.
Enfin, une conférence internationale aura lieu à
Paris, dans le délai de quatre ou six ans, à partir de
l'entrée en vigueur de la convention.
Le Gouvernement français en fixera la date dans
ecs limites, après avoir pris l'avis du bureau interna-
tional.
environ. En outre, il a été avisé qu'un bloc de mar-
bre serait mis gracieusement à sa disposition par une
grande Société industrielle.
Il a été décidé que le monument serait élevé à
Cherbourg cl que l'exécution en serait confiée à
M. Chapu
confier la décoration du plafond et des voussures de
l'escalier d'honneur, dit du préfet, qui est un des plus
beaux morceaux d'architecture du monument.
Ballu, l'archilccte qui a réédifié l'Hôtel de Ville,
dans le projet qu'il avait dressé pour la décoration
de l'édilicc, demandait que Paul Baudry fut chargé
de ce morceau capital. Ballu et Baudry sont morts.
O- 1' a été décidé que la commission proposerait au
Le cours d'esthétique et d'histoire de l'art de
M. Eugène Miintz est réouvert, depuis le mercredi
7 décembre,;! deux heures et demie, dans l'hémicycle
de l'École des Beaux-Arts. Le professeur étudiera
cette année l'histoire de l'art en France et en Italie
pendant le xvi" siècle.
-O-
Le Musée Carnavalet vient d'acquérir un buste
-"g*® ( en bronze de Mirabeau, demi-nature,
Conseil municipal, juge en dernier ressort, de confier
cetle partie du travail artistique à M. Élic Delaunay,
membre de l'Académie des Beaux-Arts.
_©_
Portraits de Charles VIII et d'Anne de Bre-
tagne. — M. Henri Bouchot, l'auteur du Catalogue
des portraits dessinés au crayon de la Bibliothèque
Nationale, a découvert dans la reliure d'un ma-
picce unique, S nuscrit, deux portraits peints sur panneau représen-
BULLETINS DE L'ART POUR TOUS. — No 23.
Encyclopédie m "/>abtindustriel et décoratif
•jDarat^sant to'us les wois
EMILE REIBER
Dire cteur-7ron da te ur>
^Librairie des Imprimeries rétinies
■n\ - -m-' '.- ;.t - at!!iSÉt^^^ ^ PARIS
Ancienne-iHaison T^lorel
BULLETIN DE NOVEMBRE 1887
Actes officiels
Exposition nationale des Beaux-Arts de 1889.
26^ Année Novembre 1887
CONCOURS
Prix Crozatier. — La commission chargée de dé-
cerner le prix d'encouragement aux artistes ciseleurs
fondé par le statuaire Crozatrer, s'est réunie sous la
présidence de M. Emile Maruéjouls, président de
....., i nr i i- ir section au Conseil de préfecture.
Par arrè é du ministre de l'Instruction publique, . . , ., , „ ,
Le premier prix a ete accorde a M. Eugène Ma-
rioton pour une figure en bronze (le Dompteur); la
première mention à M. de Haah, pour une statue de
des Cultes et des Beaux-Arts, en date du 2 novem-
bre 1837, rendu sur la proposition du conseiller
d'État, directeur des Beaux-Arts, ont été nommés
membres du jury d'admission à l'Exposition natio-
nale des Beaux-Arts de 1889 :
Classes 1 et 2 (peinture, dessins, aquarelles, pas-
tels, etc.) : M. André Michel, critique d'art, en rem-
placement de Charles Clément, décédé.
Classe 3 (sculpture et gravure en médailles) : M. A.
bronze d'après Gaulherin, et la deuxième mention a
M. Forgeois, pour une autre statue de bronze d'après
la Diane de Falguière.
jury a rendu son jugement dans le concours ouvert
i
Kaempfen, directeur des musées nationaux et de pour le monument à élever sur la place Perrache
l'École du Louvre, en remplacement de Louis de la gloire de la République, à Lyon.
Ronchaud. décédé.
Classe 3 (architecture) : M. Lucien Magne, archi-
tecte, en remplacement de Ruprich-Robert, décédé.
Classe 3 (gravure au burin ou à Peau-forte et litho-
graphie) : M. Henri Béraldi, critique d'art, en rem-
placement de M. Hédouin, démissionnaire.
La Propriété littéraire et artistique
La convention internationale, conclue à Berne au
sujeL de la création d'une Union internationale pour
'a protection des œuvres littéraires et artistiques,
et promulguée en vertu d'un décret en date du
12 septembre, est exécutoire en France à partir du
•> décembre.
La convention est conclue entre la France, l'Alle-
magne, la Belgique, l'Espagne, la Grande-Bretagne,
'a République d'Haïti, l'Italie, la République de Li-
béria, la Confédération suisse et la Tunisie.
Par « œuvres littéraires et artistiques » on comprend
'es livres, brochures ou tous autres écrits; les œuvres
dramatiques ou dramatico-musicales, les compositions
musicales avec ou sans paroles; les œuvres de des-
sin, de peinture, de sculpture, de gravure; les litho-
graphies, les illustrations, les cartes géographiques;
'es plans, croquis et ouvrages plastiques relatifs à la
géographie, à la topographie, à l'architecture ou aux
Sciences en général; enfin toute production quel-
conque du domaine littéraire, scientifique ou artis-
tique qui pourrait être publiée par n'importe quel
"iode d'impression ou de reproduction.
Ainsi, il résulte d'un protocole annexé à la conven-
tion, que la photographie autorisée d'une œuvre d'art
à cire perdue, et une rare tapisserie révolutionnaire,
au Coq-Hardi, perché sur un canon, soutenu de
drapeaux tricolores. D'autre part, le Conseil mu-
nicipal a décidé de restituer à ce musée quatre
beaux portraits cle prévôts et d'échevins. Ces por-
traits, œuvres de Largillière et de de Troy, dont
l'un provient d'un legs cle la famille Chauvin, avaient
été empruntés au musée pour décorer provisoire-
ment les locaux affectés au Conseil municipal, nu
Luxembourg et aux Tuileries. Ces intéressantes
peintures sont dès aujourd'hui exposées dans le
charmant salon provenant de l'hôtel des Stuarts, dont
les délicates boiseries sont précisément contempo-
raines des personnages représentés.
Monument de la République, à Lyon. - Le Le Musée du Trocadéro La commissîon des
monuments historiques avait demandé à maintes re-
prises, par l'organe de son président, M. Antonin
Proust, que l'aile occidentale du Trocadéro, attribuée
à l'origine à un musée de moulages d'après l'antique,
lui fui rendue pour le développement indispensable
de son Musée de sculpture comparée. Grâce à l'active
et heureuse initiative de M. Castagnary, directeur des
Beaux-Arts, le ministre de l'Instruction publique
vient de prendre un arrêté qui rend ce local à la
commission des monuments historiques et affecte
à l'Ecole des Beaux-Arts les moulages d'après l'an-
tique qui s'y trouvaient déposés. Cette mesure per-
mettra de donner à noire Musée national de mou-
lages une extension reconnue nécessaire.
L'arrêté du ministre est accompagné d'un rapport
de M. Castagnary, qui retrace l'histoire de ce musée,
créé par Viollet-le-Duc et par la commission des
monuments historiques, et expose les motifs qui mi-
litent en faveur de l'opportunité de celte mesure.
-0-
La décoration du Panthéon. — L'enquête ou-
verte par M. Castagnary sur l'état des travaux de dé-
coration du Panthéon se poursuit activement.
On avait annoncé que la désaffectation de cet édi-
fice devait amener une modification dans les projets;
aucun changement ne sera apporté à la décoration
picturale. Quelques statues seulement, d'un carac-
tère éminemment religieux, qui avaient été comman-
dées et exéculées pour le Panthéon, n'y figureront
pas. Il leur sera donné une autre destination.
_o_
Décoration de l'Hôtel de Ville de Paris. — La
commission pour la décoration de l'Hôtel de Ville de
Le projet choisi est celui de MM. Pcynot, sculp-
teur, et Blavef, architecte, tous deux de Paris.
Expositions
Société des Amis des Arts de Pau. — L'ouver-
ture de la 24e Exposition de la Société des Amis des
Arts de Pau est fixée au 15 janvier 1888, sa clôture au
15 mars 1888.
Sont seules admises à l'Exposition les œuvres de
peinture, sculpture, gravure en médailles, gravure,
architecture, lithographie et dessin d'artistes vivants
jusqu'à concurrence de deux ouvrages en chaque
genre pour chaque artiste.
On n'admettra aucune copie, si ce n'est en un genre
différent de l'original.
Les tableaux et dessins devront être encadrés, et
les cadres, ronds ou ovales, fixés sur plateaux carrés.
Beaux-Arts
FRANCE
Monument de François Millet. — Une réunion
des membres du comité pour le monument de Fran-
çois Millet a eu lieu à l'Hôtel de Ville, sous la prési-
dence de M. E. Guillaume, de l'Institut, assisté de Paris a lenu une importante séance.
Pi'otégée jouira, dans fous les pays de l'Union, de la M. Ristelhucber, secrétaire du comité. 11 s'agissait de savoir à quel artiste il convenait de
Protection légale, aussi longtemps que durera le droit Le comité aura à disposer de cinquante mille francs
Principal de reproduction de celte œuvre même.
Ajoutons qu'un Bureau de l'Union internationale
Pour la protection des œuvres littéraires et artistiques,
dont les frais seront supportés par les administrations
de tous les pays de l'Union, sera installe en Suisse et
Placé sous la haute autorité de l'administration supé-
''icurc de la Confédération suisse.
La langue officielle du bureau international sera
'a langue française.
Enfin, une conférence internationale aura lieu à
Paris, dans le délai de quatre ou six ans, à partir de
l'entrée en vigueur de la convention.
Le Gouvernement français en fixera la date dans
ecs limites, après avoir pris l'avis du bureau interna-
tional.
environ. En outre, il a été avisé qu'un bloc de mar-
bre serait mis gracieusement à sa disposition par une
grande Société industrielle.
Il a été décidé que le monument serait élevé à
Cherbourg cl que l'exécution en serait confiée à
M. Chapu
confier la décoration du plafond et des voussures de
l'escalier d'honneur, dit du préfet, qui est un des plus
beaux morceaux d'architecture du monument.
Ballu, l'archilccte qui a réédifié l'Hôtel de Ville,
dans le projet qu'il avait dressé pour la décoration
de l'édilicc, demandait que Paul Baudry fut chargé
de ce morceau capital. Ballu et Baudry sont morts.
O- 1' a été décidé que la commission proposerait au
Le cours d'esthétique et d'histoire de l'art de
M. Eugène Miintz est réouvert, depuis le mercredi
7 décembre,;! deux heures et demie, dans l'hémicycle
de l'École des Beaux-Arts. Le professeur étudiera
cette année l'histoire de l'art en France et en Italie
pendant le xvi" siècle.
-O-
Le Musée Carnavalet vient d'acquérir un buste
-"g*® ( en bronze de Mirabeau, demi-nature,
Conseil municipal, juge en dernier ressort, de confier
cetle partie du travail artistique à M. Élic Delaunay,
membre de l'Académie des Beaux-Arts.
_©_
Portraits de Charles VIII et d'Anne de Bre-
tagne. — M. Henri Bouchot, l'auteur du Catalogue
des portraits dessinés au crayon de la Bibliothèque
Nationale, a découvert dans la reliure d'un ma-
picce unique, S nuscrit, deux portraits peints sur panneau représen-
BULLETINS DE L'ART POUR TOUS. — No 23.