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https://doi.org/10.11588/diglit.16828#0025
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0.5
1 cm
UARTPOUR-TOUS
SNCYCLOPEDÎE DE L'ARTINDUSTRIEL ET DECORA TIF
•joaraissaixt tous les no-oiS
Emile Reiber
Directeur - Fondateur
1861-64
C. Sauvageot ( Emile Reiber
Directeur Directeur
i865-85 j i886-8g
XLib rairie des Imprimeries re \xyite s /j$Ét
tAUannuel : ^-^y^imijiiilllijiiliiiilliillill Anciena* Raison Mor&l M||j|iy|||[l|| J||||||||||||||l|li|iy Annàjoarul:30fn fr^
- " -"-'-M ^^«^^fabdEA,^ G\ PARIS iiKËI^^
29e Année v Décembre 1890
Ï3
m LLET1N DE DÉCEMBRE 1890 tout ce que l'érudition, dans le siècle où nous
' jjép*--*,: sommes, a entassé de travaux de tout genre
; -o^HKlT S»^- *,"r l'arl. sur la littérature, sur l'histoire du
' JX P"f CjOt" h î fi U ^ lÊËmr moyen âge. On ne saurai! non plus dominer de
^Wllllt|MC • iB^'-^iP^'' ' 1 plus haut une plus vaste matière, mieux conci-
Par M. Louis Gonse
11 était facile de le prévoir, et nous le Taisions
pressentir dans notre dernier Bulletin, « l'Art
Gothique » de M. Gonse a été accueilli dans la
presse avec une unanimité d'éloges que nous
sommes heureux de constater. Geux mêmes qui,
comme l'éminent critique de la Revue des Deux-
Mondes, ont depuis longtemps fait leur opinion
et ne voudraient pas être convertis, sont obligés
de reconnaître que, parmi les nombreuses rai-
Charles de Bourbon, par Jacques Mord (Église de Souvigny).
qu'il inclinërail lui-même à considérer comme
moins pernicieuse qu'avantageuse pour l'Art,
l'action de la Renaissance sur le Moyen Age.
« Disons en tout cas — écrit-il en terminant —
qu'on ne saurait tirer plus habilement parti de
Tombeau d'Agnès Sorel (Château de Loches).
sons que M. Louis Gonse fait valoir à l'appui de
sa thèse — ou de son « paradoxe », comme dit
la Revue— il y en a de très fortes.
Nous regrettons de ne pouvoir citer en entier, H P =%?tt ! ner n' mieux réduir=-
dans ce Bulletin forcément sommaire, la note lPr\X\Mi^Ml vues, toujours originsp
êlogieuse que la Revue consacre à l'ouvrage de
M. Gonse, note d'aulant plus flatteuse pour
M. Gonse, que son critique avoue franchement \t \<v Ti d >9 l*.f je ne vois pas enhlj
de cette nature, on
avec une science pliS-2-'
(1) Un volume grand in—4» colombier de 488 pages, illus- )fe^s^-^-v!P^K^i ) reux, unir, lier ou f s.
tré de 284 gravures, dai» te texte et 28 planches hors r'^jîaSS^CT ! l'illustration.»
texte. Prix : 100 francs. Tirage a '2j exemplaires sur japon
250 francs. — Librairies-Imprimeries réunies (ancienne v1? ne saurait lion^
maison Quantin), May et Motteroz, directeurs. Paris. Vitrail de l'église cl Eymoutiers (Haute-Vienne). \ dire.
bulletins de L'ART POUR TOUS. — n° 00.
tout ce qu'il subsisle=_
les apologistes les |) E <d
SNCYCLOPEDÎE DE L'ARTINDUSTRIEL ET DECORA TIF
•joaraissaixt tous les no-oiS
Emile Reiber
Directeur - Fondateur
1861-64
C. Sauvageot ( Emile Reiber
Directeur Directeur
i865-85 j i886-8g
XLib rairie des Imprimeries re \xyite s /j$Ét
tAUannuel : ^-^y^imijiiilllijiiliiiilliillill Anciena* Raison Mor&l M||j|iy|||[l|| J||||||||||||||l|li|iy Annàjoarul:30fn fr^
- " -"-'-M ^^«^^fabdEA,^ G\ PARIS iiKËI^^
29e Année v Décembre 1890
Ï3
m LLET1N DE DÉCEMBRE 1890 tout ce que l'érudition, dans le siècle où nous
' jjép*--*,: sommes, a entassé de travaux de tout genre
; -o^HKlT S»^- *,"r l'arl. sur la littérature, sur l'histoire du
' JX P"f CjOt" h î fi U ^ lÊËmr moyen âge. On ne saurai! non plus dominer de
^Wllllt|MC • iB^'-^iP^'' ' 1 plus haut une plus vaste matière, mieux conci-
Par M. Louis Gonse
11 était facile de le prévoir, et nous le Taisions
pressentir dans notre dernier Bulletin, « l'Art
Gothique » de M. Gonse a été accueilli dans la
presse avec une unanimité d'éloges que nous
sommes heureux de constater. Geux mêmes qui,
comme l'éminent critique de la Revue des Deux-
Mondes, ont depuis longtemps fait leur opinion
et ne voudraient pas être convertis, sont obligés
de reconnaître que, parmi les nombreuses rai-
Charles de Bourbon, par Jacques Mord (Église de Souvigny).
qu'il inclinërail lui-même à considérer comme
moins pernicieuse qu'avantageuse pour l'Art,
l'action de la Renaissance sur le Moyen Age.
« Disons en tout cas — écrit-il en terminant —
qu'on ne saurait tirer plus habilement parti de
Tombeau d'Agnès Sorel (Château de Loches).
sons que M. Louis Gonse fait valoir à l'appui de
sa thèse — ou de son « paradoxe », comme dit
la Revue— il y en a de très fortes.
Nous regrettons de ne pouvoir citer en entier, H P =%?tt ! ner n' mieux réduir=-
dans ce Bulletin forcément sommaire, la note lPr\X\Mi^Ml vues, toujours originsp
êlogieuse que la Revue consacre à l'ouvrage de
M. Gonse, note d'aulant plus flatteuse pour
M. Gonse, que son critique avoue franchement \t \<v Ti d >9 l*.f je ne vois pas enhlj
de cette nature, on
avec une science pliS-2-'
(1) Un volume grand in—4» colombier de 488 pages, illus- )fe^s^-^-v!P^K^i ) reux, unir, lier ou f s.
tré de 284 gravures, dai» te texte et 28 planches hors r'^jîaSS^CT ! l'illustration.»
texte. Prix : 100 francs. Tirage a '2j exemplaires sur japon
250 francs. — Librairies-Imprimeries réunies (ancienne v1? ne saurait lion^
maison Quantin), May et Motteroz, directeurs. Paris. Vitrail de l'église cl Eymoutiers (Haute-Vienne). \ dire.
bulletins de L'ART POUR TOUS. — n° 00.
tout ce qu'il subsisle=_
les apologistes les |) E <d