N° 197
BULLETIN DE L'ART POUR TOUS
barrasse au lieu d'aider; il prétend gouverner et n'a cultés de tout genre et des immenses responsabilités
plus de sujets. L'art ne peut vivre que libre dans son que comporte avec lui l'art de bâtir. C'est à ce propos
ment de force cérébrale qui manque chez les nôtres
dont les expressions sont vagues ou embarrassées, ou
vaniteuses, ou effarées, ou soties. Quand les maîtres J expression, mais soumis dans son principe ; il meurt ! que, passant en revue les nombreux cours professés
italiensfont une œuvre de peinture, c'est l'art seul qui lorsqu'au contraire son principe est méconnu et que à cette École (ils étaient alors au nombre de 15, mais
les dirige; peu leur importe le sujet, il est ou sera son expression devient esclave. » ils sont en plus grand nombre aujourd'hui)'il regret-
quelconque. Nos peintres, au contraire, veulent, avant En 1864, à l'époque où l'Académie des beaux-arts Lait et regretterait encore s'il vivait, de n'en pas
lançait l'anathème contre lui à l'occasion d'essais de trouver un qu'il considérait comme devant faire
réorganisation à l'École des beaux-arts, Viollet-le-Duc surtout l'affaire des élèves et celle du public; à
eut un vigoureux défenseur en Sainte-Beuve qui lui savoir le cours sur l'art de bâtir: « C'est cependant,
consacra alors deux de ces articles sensationnels qu'il disait-il, parmi tant de belles choses, ce qu'on ne leur
écrivait dans le Moniteur et qu'il a reproduits dans enseigne pas : l'art de bâtir, c'est-à-dire l'art de faire
ses Nouveaux Lundis. L'architecte, frappé d'interdit, concorder la forme apparente avec les moyens de
tances où elle se produisit, lui valut les sympathies ! lui en garda une profonde reconnaissance et l'en construction, d'élever une structure sensée, en raison
des adversaires du gouvernement de cette époque, on remerciait en ces termes dans une lettre du 15 février des ressources, des matériaux, des conditions clima-
lui proposa une candidature à la Chambre. Il déclina 1864 :« Vous me donnez là un bon coup d'épaule tériques et des nécessités imposées par les pro-
cet honneur pour des motifs que nous trouvons ex- dans l'opinion, et je vous en remercie bien sincè- grammes ; l'art de diriger un chantier, de procéder
posés dans une lettre en date du 26 juillet 1874 : « Je rement, comme vous pouvez le penser, d'autant que, avec méthode, de se rendre compte des dépenses et
ne prendrai pas un pareil fardeau, j'ai mieux à faire, dans la jeunesse même, les partis se dessinent et que des moyens d'exécution, de coordonner le travail de
pendant les quelques années qui me restent de force, les aristocrates de l'ignorance commencent à être le"e sorte que chaque corps d'état intervienne en
quede discuter dans une assemblée. — Nous avons, percésàjour. Je n'ai jamais désespéré de l'intelligence temps utile, sans encombre, sans perte de temps et
en France, notre jeunesse à refaire, mille préjugés à chez nous. Quelques efforts, et ce las de moutons j d'argent (1). » (A suivre.) Viollet-le-Duc fils,
combattre. C'est à cette tâche qu'il faut s'atteler. j deviendra une armée puissante et militante. »
Parmi les reproches que Viollet-le-Duc faisait à
enseignement de l'École des beaux-arts, le plus
l'effet d'art, rendre l'idéedramatique, la rendre claire,
lisible pour tous. Cela est-il compatible avec l'art du
peintre? Je ne le crois pas. 11 ne faut pas transposer
dans les arts. »
En 1874, à la suite de sa démission d'inspecteur
général des édifïcesdiocésains, qui, dans les circons-
(1) Lettres extraparlementaires dans le XIX'Siècle. (5 avril 1877)
L'affaissement moral et intellectuel est arrivé à son
comble... C'est donc par les petits qu'il faut com-
mencer, car il n'y a rien à tenter avec les générations
déjà élevées. Trente ans de bien-être, de vie facile,
les ont pourries jusqu'à la moelle. L'hypocrisie les ( vient, pour le jour où ils seront en présence des diffi- j le professeur, 3 fr. en ville,
achève et ce vice est devenu fort à la mode du haut
grave était celui de ne pas former des hommes pra- L'administration de VArt pour tous recommande
,. , , ... ., comme professeur d'anglais MmeHcdman, de Londres,
tiques et de ne pas armer ses élevés, comme ,1 con- j deraeur£nt 164) rue Qrdener (XVIII» ark). 2 fr. chez
LIBRAIRIES-IMPRIMERIES REUNIES - Ancienne Maison MOREL
7, rue Saint-Benoît, Paris. — MOTTEROZ, directeur.
en bas de l'échelle. »
On sait, du reste, que Viollet-le-Duc n'a jamais été
élu, pas même candidat, à l'Académie des beaux-arts ;
par contre, il n'y a pas d'académies de l'étranger
dont il n'ait fait partie et dont iln'aitreçu les marques
les plus flatteuses pourson talent. L'Institut royal des
architectes britanniques, notamment, dont il élait
membre honoraire, lui décernait sa grande médaille
d'or en 1863, c'est-à-dire au moment même où il était
en lutte ouverte avec l'Institut impérial de France; il
lui faisait l'insigne honneur, au commencement de
chaque année, de lui rappeler que « les architectes
britanniques comptaient toujours sur lui pour être,enus | JPuBLICATION £D>ENSUELLE
au courant des progrès de l'architecture en brance ».
fondée par
La décoration
■~^m ANCIENNE & MODERNE 045©s~
Si la 4e classe de l'Institut a reçu la même invite et si
elle y a répondu de son côté comme Viollet-le-Duc
l'a fait du sien, il serait peut-être intéressant de rap-
!_>. FARGE
Une Livraison de 8 planches chaque mois
96 planches par année
Architecte (S. C.)
Directeur des Concours publics d'architecture
procher les deux manières de voir en matière de et des Concours de l'École nationale des Beaux-Arts
progrès d'architecture.
S'il n'y eut jamais de conspiration, dans le sein de J mm ■ pARIS. . 25 fr" — DÉPARTEMENTS. . 2 7 'r - ÉTRANGER. . 30
l'Académie des beaux-arts, pour y faire entrer Viollet-
le-Duc, il y en eut une dans celui de l'Académie des Années parues : Paris-Départements, 30 fr.; Étranger, 3 5 fr
inscriptions et belles-lettres pour l'y recevoir. Nous
ne dirons pas ici les motifs pour lesquels l'artiste
déclina une offre si particulièrement flatteuse pour lui
puisqu'il les donne dans une des lettres de ce recueil,
pages 128 et 132.
L'un des griefs de Viollet-le-Duc contre l'influence j RECUEILLIS PAR A. RAGUENET, ARCHITECTE
académique, c'élait le fait d'avoir enlevé les artistes
au milieu démocratique, dans lequel ils avaient vécu Avec notices descriptives facilitant l EtUde des Styles
jusque-là, pour les rendre tributaires des classes
élevées. « Or, disait-il, les arts ne peuvent trouver
,. , . .unoi» Une livraison de 12 pages tous les mois
leur assiette, se développer et progresser que dans le »
milieu vivant de la nation ; il faut, pour ainsi dire, ABONNEMENT ANNUEL : France, 20 fr. — Étranger, 23 fr.
qu'ils circulent avec son sang, ses passions et qu'ils J Chacune des années parues : Prix : 25 francs,
reproduisent ses aspirations (1). » C'est en vertu de
Petits Édifices historiques
la même conviction qu'il disait encore: « L'art (2), s'il j I_i£L ©° année est ©n COUTS ci© "tolioatioil
n'est une langue comprise de tous, peut être un
L'aAichitectuze et la ^Décoiation
charmant objet de luxe ; il ne laisse pas de traces
durables dans l'avenir, et il ne remplit pas son rôle
dans le présent. »
Il s'exprime encore a ce sujet avec plus de détails
dans son premier Entretien sur l'architecture :« Les j aux Palais de
arts, dit-il. se développent activement lorsqu'ils sont,
pour ainsi dire, rivés aux mœurs d'un peuple, qu'ils
en sont le langage nécessaire ; ils déclinent lorsqu'ils
s'écartent des mœurs pour former comme un Elat à
part, qu'ils deviennent une sorte de culture particu-
lière ; alors peu à peu on les voit se renfermer dans
les écoles, s'isoler; ils adoptent bientôt un langage
qui n'est plus celui de la foule. Alors l'art est un
étranger que l'on accueille, parfois, sans le mêler à
la vie ordinaire. On finit par s'en passer, car il em-
(1) Ces lignes sont extraite; d'un programme que Viollet-le-Duc
avait élè appelé à rédiger à tilre de collaborateur d'une encyclo-
pédie qui devait être publiée sous la direction de Michel Chevalier,
et dont le projet fut abandonné.
(2) Du rôle de l'art dans les sociétés modernes, étude publiée en
1878 dans la Science politique.
V ersailles.Jrianons
Par IFa/u.1 PAVIER
Architecte, Délégué au Sénat, Ex-Inspecteur aux Palais (1882-1892)
L'ouvrage complet forme un volume de Cent vingt Planches
imprimées en héliotypie sur papier in-4° grand colombier.
PRIX
en carton
100fr
avec titre
UNE PRÉFACE
de /'auteur
et tables
Supplément : Partie rétrospective
24 Planches en héliotypie, in-4° grand colombier. — Prix : 25 francs.
773. — Librairies-Imprimeries réunies, rue Saint-Benoit, 7, Paris. — Motteroz, directeur.
Le Gérant : Motteroz.
BULLETIN DE L'ART POUR TOUS
barrasse au lieu d'aider; il prétend gouverner et n'a cultés de tout genre et des immenses responsabilités
plus de sujets. L'art ne peut vivre que libre dans son que comporte avec lui l'art de bâtir. C'est à ce propos
ment de force cérébrale qui manque chez les nôtres
dont les expressions sont vagues ou embarrassées, ou
vaniteuses, ou effarées, ou soties. Quand les maîtres J expression, mais soumis dans son principe ; il meurt ! que, passant en revue les nombreux cours professés
italiensfont une œuvre de peinture, c'est l'art seul qui lorsqu'au contraire son principe est méconnu et que à cette École (ils étaient alors au nombre de 15, mais
les dirige; peu leur importe le sujet, il est ou sera son expression devient esclave. » ils sont en plus grand nombre aujourd'hui)'il regret-
quelconque. Nos peintres, au contraire, veulent, avant En 1864, à l'époque où l'Académie des beaux-arts Lait et regretterait encore s'il vivait, de n'en pas
lançait l'anathème contre lui à l'occasion d'essais de trouver un qu'il considérait comme devant faire
réorganisation à l'École des beaux-arts, Viollet-le-Duc surtout l'affaire des élèves et celle du public; à
eut un vigoureux défenseur en Sainte-Beuve qui lui savoir le cours sur l'art de bâtir: « C'est cependant,
consacra alors deux de ces articles sensationnels qu'il disait-il, parmi tant de belles choses, ce qu'on ne leur
écrivait dans le Moniteur et qu'il a reproduits dans enseigne pas : l'art de bâtir, c'est-à-dire l'art de faire
ses Nouveaux Lundis. L'architecte, frappé d'interdit, concorder la forme apparente avec les moyens de
tances où elle se produisit, lui valut les sympathies ! lui en garda une profonde reconnaissance et l'en construction, d'élever une structure sensée, en raison
des adversaires du gouvernement de cette époque, on remerciait en ces termes dans une lettre du 15 février des ressources, des matériaux, des conditions clima-
lui proposa une candidature à la Chambre. Il déclina 1864 :« Vous me donnez là un bon coup d'épaule tériques et des nécessités imposées par les pro-
cet honneur pour des motifs que nous trouvons ex- dans l'opinion, et je vous en remercie bien sincè- grammes ; l'art de diriger un chantier, de procéder
posés dans une lettre en date du 26 juillet 1874 : « Je rement, comme vous pouvez le penser, d'autant que, avec méthode, de se rendre compte des dépenses et
ne prendrai pas un pareil fardeau, j'ai mieux à faire, dans la jeunesse même, les partis se dessinent et que des moyens d'exécution, de coordonner le travail de
pendant les quelques années qui me restent de force, les aristocrates de l'ignorance commencent à être le"e sorte que chaque corps d'état intervienne en
quede discuter dans une assemblée. — Nous avons, percésàjour. Je n'ai jamais désespéré de l'intelligence temps utile, sans encombre, sans perte de temps et
en France, notre jeunesse à refaire, mille préjugés à chez nous. Quelques efforts, et ce las de moutons j d'argent (1). » (A suivre.) Viollet-le-Duc fils,
combattre. C'est à cette tâche qu'il faut s'atteler. j deviendra une armée puissante et militante. »
Parmi les reproches que Viollet-le-Duc faisait à
enseignement de l'École des beaux-arts, le plus
l'effet d'art, rendre l'idéedramatique, la rendre claire,
lisible pour tous. Cela est-il compatible avec l'art du
peintre? Je ne le crois pas. 11 ne faut pas transposer
dans les arts. »
En 1874, à la suite de sa démission d'inspecteur
général des édifïcesdiocésains, qui, dans les circons-
(1) Lettres extraparlementaires dans le XIX'Siècle. (5 avril 1877)
L'affaissement moral et intellectuel est arrivé à son
comble... C'est donc par les petits qu'il faut com-
mencer, car il n'y a rien à tenter avec les générations
déjà élevées. Trente ans de bien-être, de vie facile,
les ont pourries jusqu'à la moelle. L'hypocrisie les ( vient, pour le jour où ils seront en présence des diffi- j le professeur, 3 fr. en ville,
achève et ce vice est devenu fort à la mode du haut
grave était celui de ne pas former des hommes pra- L'administration de VArt pour tous recommande
,. , , ... ., comme professeur d'anglais MmeHcdman, de Londres,
tiques et de ne pas armer ses élevés, comme ,1 con- j deraeur£nt 164) rue Qrdener (XVIII» ark). 2 fr. chez
LIBRAIRIES-IMPRIMERIES REUNIES - Ancienne Maison MOREL
7, rue Saint-Benoît, Paris. — MOTTEROZ, directeur.
en bas de l'échelle. »
On sait, du reste, que Viollet-le-Duc n'a jamais été
élu, pas même candidat, à l'Académie des beaux-arts ;
par contre, il n'y a pas d'académies de l'étranger
dont il n'ait fait partie et dont iln'aitreçu les marques
les plus flatteuses pourson talent. L'Institut royal des
architectes britanniques, notamment, dont il élait
membre honoraire, lui décernait sa grande médaille
d'or en 1863, c'est-à-dire au moment même où il était
en lutte ouverte avec l'Institut impérial de France; il
lui faisait l'insigne honneur, au commencement de
chaque année, de lui rappeler que « les architectes
britanniques comptaient toujours sur lui pour être,enus | JPuBLICATION £D>ENSUELLE
au courant des progrès de l'architecture en brance ».
fondée par
La décoration
■~^m ANCIENNE & MODERNE 045©s~
Si la 4e classe de l'Institut a reçu la même invite et si
elle y a répondu de son côté comme Viollet-le-Duc
l'a fait du sien, il serait peut-être intéressant de rap-
!_>. FARGE
Une Livraison de 8 planches chaque mois
96 planches par année
Architecte (S. C.)
Directeur des Concours publics d'architecture
procher les deux manières de voir en matière de et des Concours de l'École nationale des Beaux-Arts
progrès d'architecture.
S'il n'y eut jamais de conspiration, dans le sein de J mm ■ pARIS. . 25 fr" — DÉPARTEMENTS. . 2 7 'r - ÉTRANGER. . 30
l'Académie des beaux-arts, pour y faire entrer Viollet-
le-Duc, il y en eut une dans celui de l'Académie des Années parues : Paris-Départements, 30 fr.; Étranger, 3 5 fr
inscriptions et belles-lettres pour l'y recevoir. Nous
ne dirons pas ici les motifs pour lesquels l'artiste
déclina une offre si particulièrement flatteuse pour lui
puisqu'il les donne dans une des lettres de ce recueil,
pages 128 et 132.
L'un des griefs de Viollet-le-Duc contre l'influence j RECUEILLIS PAR A. RAGUENET, ARCHITECTE
académique, c'élait le fait d'avoir enlevé les artistes
au milieu démocratique, dans lequel ils avaient vécu Avec notices descriptives facilitant l EtUde des Styles
jusque-là, pour les rendre tributaires des classes
élevées. « Or, disait-il, les arts ne peuvent trouver
,. , . .unoi» Une livraison de 12 pages tous les mois
leur assiette, se développer et progresser que dans le »
milieu vivant de la nation ; il faut, pour ainsi dire, ABONNEMENT ANNUEL : France, 20 fr. — Étranger, 23 fr.
qu'ils circulent avec son sang, ses passions et qu'ils J Chacune des années parues : Prix : 25 francs,
reproduisent ses aspirations (1). » C'est en vertu de
Petits Édifices historiques
la même conviction qu'il disait encore: « L'art (2), s'il j I_i£L ©° année est ©n COUTS ci© "tolioatioil
n'est une langue comprise de tous, peut être un
L'aAichitectuze et la ^Décoiation
charmant objet de luxe ; il ne laisse pas de traces
durables dans l'avenir, et il ne remplit pas son rôle
dans le présent. »
Il s'exprime encore a ce sujet avec plus de détails
dans son premier Entretien sur l'architecture :« Les j aux Palais de
arts, dit-il. se développent activement lorsqu'ils sont,
pour ainsi dire, rivés aux mœurs d'un peuple, qu'ils
en sont le langage nécessaire ; ils déclinent lorsqu'ils
s'écartent des mœurs pour former comme un Elat à
part, qu'ils deviennent une sorte de culture particu-
lière ; alors peu à peu on les voit se renfermer dans
les écoles, s'isoler; ils adoptent bientôt un langage
qui n'est plus celui de la foule. Alors l'art est un
étranger que l'on accueille, parfois, sans le mêler à
la vie ordinaire. On finit par s'en passer, car il em-
(1) Ces lignes sont extraite; d'un programme que Viollet-le-Duc
avait élè appelé à rédiger à tilre de collaborateur d'une encyclo-
pédie qui devait être publiée sous la direction de Michel Chevalier,
et dont le projet fut abandonné.
(2) Du rôle de l'art dans les sociétés modernes, étude publiée en
1878 dans la Science politique.
V ersailles.Jrianons
Par IFa/u.1 PAVIER
Architecte, Délégué au Sénat, Ex-Inspecteur aux Palais (1882-1892)
L'ouvrage complet forme un volume de Cent vingt Planches
imprimées en héliotypie sur papier in-4° grand colombier.
PRIX
en carton
100fr
avec titre
UNE PRÉFACE
de /'auteur
et tables
Supplément : Partie rétrospective
24 Planches en héliotypie, in-4° grand colombier. — Prix : 25 francs.
773. — Librairies-Imprimeries réunies, rue Saint-Benoit, 7, Paris. — Motteroz, directeur.
Le Gérant : Motteroz.