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Le charivari — 16.1847

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Février (No. 32-59)
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t letrébuchet du SEIZIEME'anNÉB.—,v 32.

LUNDI 1er FÉVRIER 1847.

vilégiées de l'ère a<

ts, les Luxembou, , . ., p . y%! W^î^^lMl fM^S ! Publiant diaqu» jour un nouveau dessin en %apt.'.

isivement leur dév bureau se la reûaction et ce ! administram, a tm.

iplois financiers. I RUE 1>U CROISSANT, i6 (BOflil. eoLBERT/.

sque des receveur,: — IkSSSVÉÊKfè ^WÊÈF^f^' &Tm*xxwm*

< mois...................... *> "*>. ^ëkAMÊÊm^M-^ . J4fi8^t^ Un ...... ...... *» «

emplois de ce gen "MM^S^^ Trois mois................... «si fr. 18 lr-

^rgout, des Barthe

fine fleur des gent r"' ..................... 60 WSM^^MW^^^^^^^^i^^^^^- Dn

j„;nn( . On nuuwîro................... . Iffer^c ^ -Tf *B*tafeftaBag ■TmÈÊÊFi^^*'^^^ " Les ahonnr.meiis (liilwit des 1" et 16 du clnmne moil.

gOUt de Vingt-SIX Leg at)oonemeris datent des 1" et 16 de . baqiie mol.;.

ndre-Lacave, invç

vinfft-rinn ans r.; "T „. •,• ' :?C" M!^fiWT^\ ^S^S^Of^^à On.reçoit en paiement .des abonnemen*, les inaii-

VlDgl Cinq ans. Le on «'abonne: a Lyon, chez Mm. l>m!,l.1,e-..:!mb1-; . y- • //it'Wij)- \Ù l €\ ^B#WI|ffilr|l| dais à'vue sur le Trésor et sur la Poste, d les ell.ae

é Casé dans l'Indre*.' s l, i-ue St-Dominiquc ; à Bordeaux, clie.z.>r.« Delpeeli, JSH^P^lM1^ WËS^MMÙ I I i * sur les nu^ons de Banque de Paris. - Tout ce qui

OUrd'hui le ipiinp 71 '•!,r: ' Ka™m'' C,'eï •:'"'"c,: ^ " ':"0Î - %]Jfe 13^^ 'T^' concerne l'adminislratlon du Journal doit &readre«4

' 'L jCUDe »»-« Camoin, libr.; h llouen, .'liez Mme \> air.;, ^^.5 ^ / P^^fj^Ht,'^^^ NEÈ^' (franco) au Directeur, rue du Croissant, 16 (ancien

receveur-général vientft *» Vieux-Palais ; à Londres, ebez W Thomas, 21, Ca, ^l^^^^^P»^^7 hôlc, Colbert). - Les lettres non affranchie» seront

D |Wt^ q,erii:o street ; dans les bureaux des Messageries roy* ^S^wS*—^*^^3Cr^è>- ■-^'^■■■SS^Z-** noioi uuuuij.

Son beau-pere, d'unSnptJ ,,s ct Kénél.a,,!8, et chez tous les libraires. «^feasÈ^^Sfe-^- —- ngouroiwoment refuses.

mêla recette deStrasl%

rétribuées du royaume : ; ■ -JBTfc. ~*T T i "W "W J$t

e le pélican blanc, qui, g .1 T T A TJ I %/ A |_i 1

ur de son sang, M. £ |i /% f|

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y.

■e prend la peine de prj, 'VL «

3t bien le moins que sa f. , —-— -Tnr-r---—-

norceau

traité hors d'âge qu'on appelle Se traité d'Utrecht

Ils se sont emparés de Labouan par surprise, par
trahison. Yoyez-vous ces docteurs ès-bonne foi !

Décidément, la plaisanterie est trop forte; que
l'estimab'e John-Bull fasse son métier, mais, sapre-
bleu ! qu'il cesse de prêcher les vertus théologales.
Passe encore, s'il établissait sa chaire dans la forêt
de Bondy.

raison que M. Thiars |
ion option pour Ghàlons t
eM. de Salvandy pourï

r Paris, le ministère aitk ^^jTroi- ré;respect ffos"trâï-

;r le collège de LaflDioo.t NL A tés, le désintéresse-

terre nous débite des
sermons aussi onc-
tueux qu'édilians sur
la caudeur, la bonne

idant la pre
bien, en ga
l'au momen
lier manœu
accomoden
u'il en est ;
e commun
ez pauvres

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beaucou]

zette de t
blic aura

îcempressemeK Iftscollij /IK /\ ment, etc. Goddam !

re. #lSrl 1 comme ces gaillards-là

la raîsnn -in jj J|jjJ|V|j J prêchent bien !

li y a seulement un
petit malheur, c'est
que les Masillon à che-
veux roux d'oulre-
Manche s'inquiètent peu de mettre l'exemple en rap-
port avec le précepte, tant s'en faut qu'au contraire.
Ainsi à ce moment même où ils reprochent béate-
ment à la France d'avoir commis deux énormes pé-
chés, celui d'ambition envahissante en s'attrihuant
eu Espagne une prépondérance (dont par parenthèse
personne ne s'aperçoit), et celui d'indélicatesse en es-
camotant un mariage superbe (le superbe est plus
que problématique),—les saints prédicateurs d'Albion
commettaient,, eux, un acte de rapacité des mieux
caractérisés, et ils chipaient quelque chose de bien
autrement important et dodu qu'une petite infante.

C'est donc pour vous dire que le digue et scrupu-
leux John-Bull vient encore de faire une lie ; c'est
au moins la trois-mille-cinq cent-soixante el-quin-
cureur gé | "ème. Tandis qu'une de ses mains s'arrondissait

en gestes moelleux pour nous sermoner touchant
l'honnêteté, l'autre se glissait dans la poche de la
Hollande pour la détrousser.

Il vient de lui enlever à la tire Hle de Labouan,
située sur la côte de Bornéo dans l'archipel indien.
Les journaux anglais annoncent cette prise de pos-
session comme une chose toute simple et toute natu-
relle ; il parait que là-bas la filouterie territoriale est
passée dans les habitudes comme le porter et le
rosbif.

;ne distri! Labouan avait été formellement garanti aux Ht 1-

>sitions ti landais par un traité de 1824. Ce traité tout frais

lue les ce j n'a nullement arrête les détrousseurs britanniques,

i. | v'ela ue les empêchera pas de continuer à nous adres-

ser de belles phrases sur le respect inviolable dû au

>e a uumi
lunette S
ien à nos

-r-

^'f^ffcïité et une fécondité moins prodigieuses
r--«»«Stlque celles d'Alexandre Dumas. Ils parlent
de trois à quatre ceuts millions aussi légèrement que
le grand romancier de sept ou huit cent mille lignes.

Ce n'est pas à ces rédacteurs-là qu'on pourra in-
tenter un procès pour n'avoir pas fourni leur tâche.
Ils en donnent toujours beaucoup plus qu'on ne leur
en demande.

Ainsi, par exemple, le budget de 4846 avait été
primitivement fixé et an été à la somme de 4,300
millions; c'était déjà pas mal rond. Eh bien ! il se
trouve maintenant, après examen, que ledit budget a
atteint presque le chiffre de 47,000 millions. Quatre
cent millions de plus. Bagatelle!

C'est à l'aide des crédits extraordinaires, supplé-
mentaires, etc., que le total primitif a été dépasse de
cette petite, somme. Les ministres vous diront qu'on
peut bien se tromper de quelques centaines de mil.
lions en plus ou en moins.

Alexandre Dumas a défié les académiciens ; mais
nous ne supposons pas qu'il serait assez présomp-
tueux pour défier les rédacteurs de budgets. Ceux-
ci feront toujours plus de volume que lui.

v-^wIielques honorables du centre soupaient hier
f £v| en petit comité dans une maison dont M. Ya-

^aàStout est l'ami. Au dessert on distribua une
assiette de papilloMes, et chacun fut tenu de lire la
devise qui YjMutde lui écheo:r.-

Quand ce™e tour <ie M. Vitet, on le vit, non sans
rougir, lire à ,'iaute voix les deux quatrains qui sui-

Gloire à son véritable auteur
Monsieur de ïa Palisse.

pousser dans les finances,, u mm LA PA1LLE »™IE DANS L'ŒIL DU VOISIN
r d'appartenir à la castei ht .ls n'apkrçoivknt pas

cher de s allier à eux ||

le se marier sous le re> U P0UTRE TERRITORIALE DANS LE LEUR.

;étaire. ,f^$ A propos des maria-

ges espagnols l'Angle-

On soupçonne avec raison M. Yatout d'avoir joué
ce touràson rival en rapport d'adrese.

LES.CONCOURS A LA FACULTÉ DE' DROIf.

vent :

L'ADRESSE DE 4847.

La belle cho-
se qu'un con -

COy.'^kvrSffn'O:'!

n'est pas tenu
d'y assister !
l'admirable ins-
lllilfflllllllllljlillll titution si on
la considère à travers le prisme menteur des idées
reçues! Le public, en pareille matière, se préoccupe
toujours du principe seul; il s'iucline avec res-
pect devant une lutte qui, lui dit-on, fera ressortir
le mérite relatif de chacun et permettra d'accorder
la couronne au talent éprouvé, à la capacité la plus
étendue. Brave et excellent public! on lui montre ce-
pendant tous les jours combien i! est facile de faus -
ser les conséquences d'un principe excellent en soi ;
et s'il ne connaît pas les réglemens qui régissent les
concours, il doit être éclairé sur l'habileté peu ortho-
doxe, sur la conscience élastique des ministres qui
confectionnent ces réglemens.

Ainsi pour une multitude de gens, concours signi-
fie joute brillante, passionnée du talent contre Jeta-
ient terminée par le couronnement du plus digne.
Voilà l'idéal... Hilas, qu'il est loin de la réalité i

Qu'a-t-on vu, en effet, au dernier concours de la
Faculté ? une trentaine de jeunes docteurs, 'candi-
dats, les uns à une chaire, les autres à une suppléan-
ce, et qui, pendant, trois mois, sont venus, chaque
soir etpèle-nièle parler Cujas et Justinien en langage
hyéiogliphique, développer avec emphase des tin o-
ries de leur crû que l'on enseigne partout, édifier
enfin à grand renfort d'articles du code, de citations i
du digeste, une vraie tour de Babel juridique, un la-
byrinthe obscur et profond, où l'on était peu tenté
de les suivre et d'où quelques-uns n'ont pas pu sor-
tir ; le fil de la parole et celui de la logique leur ont
manqué.

Je veux bien croire que la plupart des candidats,
exténues par un long travail, intimides par la crainte
d'échouer et plus encore par la mine renfrognée de

tans cette réplique bouffonne

Que voit-on de changé ?
C'est le discours de la couronne

Revu, non corrigé.

r. .„ . .... S M. Oudot, ou la physionomie peu avenante de M.

Moire a Vitet le rédacteur. _ . V 3 ±, , ,,

Non : pour plus de .,u8tlee, | DuCaurroV' SOietlt resteS •au-dessous d CUX-memes ;
Bildbeschreibung

Werk/Gegenstand/Objekt

Titel

Titel/Objekt
Le charivari
Sachbegriff/Objekttyp
Grafik

Inschrift/Wasserzeichen

Aufbewahrung/Standort

Aufbewahrungsort/Standort (GND)
Universitätsbibliothek Heidelberg
Inv. Nr./Signatur
R 1609 Folio RES

Objektbeschreibung

Maß-/Formatangaben

Auflage/Druckzustand

Werktitel/Werkverzeichnis

Herstellung/Entstehung

Künstler/Urheber/Hersteller (GND)
Daumier, Honoré
Entstehungsdatum
um 1847
Entstehungsdatum (normiert)
1842 - 1852
Entstehungsort (GND)
Paris

Auftrag

Publikation

Fund/Ausgrabung

Provenienz

Restaurierung

Sammlung Eingang

Ausstellung

Bearbeitung/Umgestaltung

Thema/Bildinhalt

Thema/Bildinhalt (GND)
Satirische Zeitschrift
Karikatur

Literaturangabe

Rechte am Objekt

Aufnahmen/Reproduktionen

Künstler/Urheber (GND)
Universitätsbibliothek Heidelberg
Reproduktionstyp
Digitales Bild
Rechtsstatus
Public Domain Mark 1.0
Creditline
Le charivari, 16.1847, Février (No. 32-59), S. 125
 
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