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https://doi.org/10.11588/diglit.59355#0426
Addenda et Corrigenda
s’espee, & fery ïahalife & l’osist qui présentent
des formes incluant l’article arabe.
H 101,47 n.l
L’énigme se résout si l’on consulte le ms.: BN fr.
371 (fin 13es., anc. ms. Cangé 68, ms. ‘B’) donne
au f’85v°b nettement corterie. Le mot est souli-
gné et une main moderne (prob. celle de Châtre de
Cangé, en 1727) a suscrit cornerie, prob. d’après
un autre ms. Martin a relevé la bonne leçon corte-
rie dans ses var. d’après ce ms., tandis que Roques,
qui s’est servi de ce ms. comme base de son édi-
tion, a introduit le cornerie factice. A l’origine,
il voulait prob. maintenir corterie', c’est pour cela
qu’il donne cornerie dans ses var., comme leçon
du ms. ‘L’ (plus récent). Cette trouvaille devrait
inciter qn à contrôler toute l’éd. Roques pour en
extraire d’autres ‘leçons’ de la main de Châtre.
H 106,31
aj.: Cf. *HASER n2 H 242,51.
H 106,54
ou lire où.
H 110,41
aj.:
[HAME est enregistré dans TL 4,861 qui at-
teste le mot par JGarlS 6,308. L’identification de
la glose comme agn. n’est pas assurée, cf. MED
4,466a. Cp. TL 4,1172 sous HOREL: «hame (engl.
hame)». Cf. aussi FEW 16,137a où il y a une
forme normande sous mnéerl. HAME.]
H 112,42
aj. comme nouvelle dernière att. doc. 1493 RLiR
51,633. - T. M.
H 118,4
aj.: hamsoke agn. lem. 13es. SermJos'H 22,12;
22,15.
H 120,16
aj.: hanape agn. ca. 1305 NicBozCharV 272 var.
ms. mil. 14es. (sûrement finale agn. -e, sans va-
leur grammaticale; le même ms. [Oxf. Bodl. MS
Bodley 425] donne de même cele chivale et cele
chival pour cest cheuval et cest cheval (141; 145),
etc.).
H 124,40
agn. 1314; 1326; doc. 1417 Gdf lire agn. 1314-
1417, Gdf; aj. doc. 1338 RotParl'M 2,99a; doc.
1350/51 RotParl1M 2,230a. - T. M.
H 135,40
aj.:
[HANER2 “celui qui court de femme en
femme”, GIDouaiR 2259, ahan.]
H 136,3
omettre l’astérisque de *hanet.
H 137,2
aj.:
• hanet m.
♦ “insecte coléoptère, lourd, ordinairement
roux, à antennes en lamelles, haneton” (agn.
ms. 13es. / 14es., AINeckUtensH2 HuntTeach 2,84
n°159 [brucus : hanet]).
• hanette f. [TL 4,875,49 donne sous
1 'HANETE un renvoi ‘Glosse zitiert in Olla unter
brucus’ qui est à identifier avec AINeckUtensS.]
♦ “insecte coléoptère, lourd, ordinairement roux,
à antennes en lamelles, haneton” (13es. [date du
ms.], AINeckUtensS JREL 7,159 [bricorum : ha-
nette], TL 4,875,49).
H 139,35
aj.:
[HANOTE est relevé par TL 4,877,10 sous
forme d’un renvoi à -> HANEQUIN. Identité, éty-
mologie et sens du mot sont inconnus; il n’y a pas
d’autres traces du mot en afr.; pour le contexte, v.
DEAFH 135,28.]
H 145,36
Grec àpPiTEveiv a été localisé par Petersmann
dans Oxyrhynchus Papyri XVII, 4es., éd. Hunt
1927, 2110,15, dans Palladios, Dial, vie Jean
Chrysost., Byzance ca. 408 [Palladios a pris la dé-
fense de Jean à Rome en 404], éd. Malingrey-
Leclerq 1988, 10,59 [trad. err.; = éd. Coleman-
Norton 1928, 61,9 (‘hapax’)], et dans le Pseudo-
Maurikios, Strategikon, ca. 600, éd. Mihâescu
1970, XI.3, p. 276,16. Cf. maintenant Petersmann,
“Der EinfluB des sermo militaris auf das Vulgâr-
latein. Zur Geschichte von rom. andar(e)”, Latin
vulg. - It. tardif V. Actes du Ve coll. ... 1997,
p.p. H. Petersmann et R.Kettemann. Heidelberg
1999, 529-537 [critique FEW, LEE etc.; n’a pas
considéré DEAF; Maligny lire Malingrey], - Pour
l’historique des recherches sur andar(e)/aller v.
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des formes incluant l’article arabe.
H 101,47 n.l
L’énigme se résout si l’on consulte le ms.: BN fr.
371 (fin 13es., anc. ms. Cangé 68, ms. ‘B’) donne
au f’85v°b nettement corterie. Le mot est souli-
gné et une main moderne (prob. celle de Châtre de
Cangé, en 1727) a suscrit cornerie, prob. d’après
un autre ms. Martin a relevé la bonne leçon corte-
rie dans ses var. d’après ce ms., tandis que Roques,
qui s’est servi de ce ms. comme base de son édi-
tion, a introduit le cornerie factice. A l’origine,
il voulait prob. maintenir corterie', c’est pour cela
qu’il donne cornerie dans ses var., comme leçon
du ms. ‘L’ (plus récent). Cette trouvaille devrait
inciter qn à contrôler toute l’éd. Roques pour en
extraire d’autres ‘leçons’ de la main de Châtre.
H 106,31
aj.: Cf. *HASER n2 H 242,51.
H 106,54
ou lire où.
H 110,41
aj.:
[HAME est enregistré dans TL 4,861 qui at-
teste le mot par JGarlS 6,308. L’identification de
la glose comme agn. n’est pas assurée, cf. MED
4,466a. Cp. TL 4,1172 sous HOREL: «hame (engl.
hame)». Cf. aussi FEW 16,137a où il y a une
forme normande sous mnéerl. HAME.]
H 112,42
aj. comme nouvelle dernière att. doc. 1493 RLiR
51,633. - T. M.
H 118,4
aj.: hamsoke agn. lem. 13es. SermJos'H 22,12;
22,15.
H 120,16
aj.: hanape agn. ca. 1305 NicBozCharV 272 var.
ms. mil. 14es. (sûrement finale agn. -e, sans va-
leur grammaticale; le même ms. [Oxf. Bodl. MS
Bodley 425] donne de même cele chivale et cele
chival pour cest cheuval et cest cheval (141; 145),
etc.).
H 124,40
agn. 1314; 1326; doc. 1417 Gdf lire agn. 1314-
1417, Gdf; aj. doc. 1338 RotParl'M 2,99a; doc.
1350/51 RotParl1M 2,230a. - T. M.
H 135,40
aj.:
[HANER2 “celui qui court de femme en
femme”, GIDouaiR 2259, ahan.]
H 136,3
omettre l’astérisque de *hanet.
H 137,2
aj.:
• hanet m.
♦ “insecte coléoptère, lourd, ordinairement
roux, à antennes en lamelles, haneton” (agn.
ms. 13es. / 14es., AINeckUtensH2 HuntTeach 2,84
n°159 [brucus : hanet]).
• hanette f. [TL 4,875,49 donne sous
1 'HANETE un renvoi ‘Glosse zitiert in Olla unter
brucus’ qui est à identifier avec AINeckUtensS.]
♦ “insecte coléoptère, lourd, ordinairement roux,
à antennes en lamelles, haneton” (13es. [date du
ms.], AINeckUtensS JREL 7,159 [bricorum : ha-
nette], TL 4,875,49).
H 139,35
aj.:
[HANOTE est relevé par TL 4,877,10 sous
forme d’un renvoi à -> HANEQUIN. Identité, éty-
mologie et sens du mot sont inconnus; il n’y a pas
d’autres traces du mot en afr.; pour le contexte, v.
DEAFH 135,28.]
H 145,36
Grec àpPiTEveiv a été localisé par Petersmann
dans Oxyrhynchus Papyri XVII, 4es., éd. Hunt
1927, 2110,15, dans Palladios, Dial, vie Jean
Chrysost., Byzance ca. 408 [Palladios a pris la dé-
fense de Jean à Rome en 404], éd. Malingrey-
Leclerq 1988, 10,59 [trad. err.; = éd. Coleman-
Norton 1928, 61,9 (‘hapax’)], et dans le Pseudo-
Maurikios, Strategikon, ca. 600, éd. Mihâescu
1970, XI.3, p. 276,16. Cf. maintenant Petersmann,
“Der EinfluB des sermo militaris auf das Vulgâr-
latein. Zur Geschichte von rom. andar(e)”, Latin
vulg. - It. tardif V. Actes du Ve coll. ... 1997,
p.p. H. Petersmann et R.Kettemann. Heidelberg
1999, 529-537 [critique FEW, LEE etc.; n’a pas
considéré DEAF; Maligny lire Malingrey], - Pour
l’historique des recherches sur andar(e)/aller v.
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