DOI Artikel:
Lepiarczyk, Józef: Kilka uwag w sprawie pierwotnego wyglądu późnobarokowego kościoła pojezuickiego w Kobyłce k. Warszawy
DOI Seite / Zitierlink: https://doi.org/10.11588/diglit.20404#0138
cy brak obramień i opasek profilowanych wzdłuż
okien i innych otworów da się jedynie wytłuma-
czyć istnieniem opasek malowanych iluzjonisty-
cznie. Do dekoracji fasady należały także drew-
niane figury wycięte sylwetowo, pobite malowa-
ną blachą51 i umieszczone w płytkich wnękach
oraz figury kamienne umieszczone na szczycie
fasady, na narożach i na szczycie wieży (św. Mi-
chał Archanioł). Świadczą o tym nie tylko źró-
dła pisane, lecz również widok fasady na portre-
cie biskupa Marcina Załuskiego we wspomnia-
nym dziele Janockiego (ryc. 1)32. Jest to niewąt-
pliwie cenny przekaz ikonograficzny, aczkolwiek
oddaje tylko w przybliżeniu wygląd stanu pier-
wotnego, uwzględniając jednak wszystkie kon-
dygnacje. Jedyną większą zmianą — prócz prze-
rysowania proporcji na rzecz szerokości — jest
wygląd części szczytowej pomiędzy wieżami (brak
łączników) 53.
Zagadnienie genezy formalno-stylistycznej
oraz autorstwa, ściślej biorąc osobowości arty-
stycznej, potwierdzonego źródłowo projektanta
kościoła Guidona Antonia Longhi wykracza poza
ramy niniejszego artykułu.
51 Weiss, o.c, s. 22 i 23. 53 Bohdziewicz, o.c, s. 115.
52 Bohdziewicz, o.c, s. 119 przyjmuje niesłusz-
nie, że rycina nie obejmuje kondygnacji dolnej.
QUELQUES REMARQUES SUR L'ASPECT PRIMITIF DE L'EGLISE EN STYLE BAROQUE DE KOBYŁKA
PRES DE YARSOYIE
L'ancienne eglise jesuite en style baroąue, situee
a Kobyłka pres de Varsovie, est une des plus eminen-
tes oeuvres de 1'architecture du XVIIIe siecle de Pologne.
Un plan spatial original la caracterise; c'est un
ensemble compose d'une eglise a une nef, dont la large
faęade est flanąuee de deux tours, du batiment conven-
tuel rectangulaire en prolongement de 1'eglise derriere
le maitre-autel et de deux ailes (actuellement des bas-
-cótes) qui le longeaient des deux cótes, le batiment
conventuel y compris. Les recherches faites jusqu'a
present n'ont pas apporte des explications suffisantes
de tous les problemes concernant 1'origine et 1'histoire
de la construction de 1'eglise, sa fonction et son aspect
primitif d'avant les reconstructions du XIX0 siecle,
ainsi que la genese de sa formę et de son style et des
donnees precises sur son architecte Guido Antonio
Longhi.
Ayant accepte 1'opinion de Piotr Bohdziewicz, l'au-
teur admet 1'homogeneite de cet edifice et il justifie
son raisonnement par des arguments portant sur sa
formę, son style et sa construction. L'eglise, batie entre
1741 et 1753—1754, fut fondee par Marcin Załuski, eve-
que de Płock, pour etre le lieu de retraite et le centrę
de la mission jesuite. Bien que la Compagnie de Jesus
fut supprimee (1773) et 1'eglise endommagee pendant
la guerre de 1794, eiie garda son aspect primitif jusqu'a
1822—1823, quand les cellules de retraite, situees au-
-dessus des ailes laterales, furent partiellement abat-
tues. Dans les annees 1854—1855 d'autres modifications
eurent lieu; on demolit toutes les cellules et deforma
la faęade sud. En 1885—1886 on peręa les murs de la
nef avoisinant les ailes laterales dont on fit les bas-
-cótes. Sans parler de petits travaux de restauration
il faut ajouter qu'en 1944 la tour ouest fut partielle-
ment detruite (reconstruite a present).
A partir de ces constatations 1'auteur essaie de re-
constituer 1'aspect de l'ensemble du XVIIIC siecle. II
explique tout d'abord, que les ailes laterales (actuelle-
ment les bas-cótes) etaient oblongues des le debut
(comme en temoignent des fenetres laterales et la pein-
ture murale), et elles servirent de lieu des offices, des
processions et des retraites.
Dans la partie superieure des ailes se trouvaient
des cellules et un couloir longeant le mur de la nef de
1'eglise. L'etage de cellules montait jusqu'a la base des
fenetres de la nef. La partie nord des deux ailes ad-
herant a la nef avait un toit piat, et la partie sud etait
surmontee d'un toit en appentis, appuye contrę les murs
sans fenetres du couvent et dissimule par le mur de
la faęade sud, comme en temoignent des elements de-
figures de cette formę architectonique, qui se sont
conserves. On accedait au rez-de-chaussee des ailes,
comme aujourd'hui, par des vestibules, situes dans la
partie nord; 1'entree a 1'etage menait par un petit
vestibule derriere 1'abside de 1'autel.
L'auteur s'interesse en plus au coloris primitif et
au decor des faęades (des bandes peintes le long des
fenetres et des niches, des statues dans des niches
etc).
132
okien i innych otworów da się jedynie wytłuma-
czyć istnieniem opasek malowanych iluzjonisty-
cznie. Do dekoracji fasady należały także drew-
niane figury wycięte sylwetowo, pobite malowa-
ną blachą51 i umieszczone w płytkich wnękach
oraz figury kamienne umieszczone na szczycie
fasady, na narożach i na szczycie wieży (św. Mi-
chał Archanioł). Świadczą o tym nie tylko źró-
dła pisane, lecz również widok fasady na portre-
cie biskupa Marcina Załuskiego we wspomnia-
nym dziele Janockiego (ryc. 1)32. Jest to niewąt-
pliwie cenny przekaz ikonograficzny, aczkolwiek
oddaje tylko w przybliżeniu wygląd stanu pier-
wotnego, uwzględniając jednak wszystkie kon-
dygnacje. Jedyną większą zmianą — prócz prze-
rysowania proporcji na rzecz szerokości — jest
wygląd części szczytowej pomiędzy wieżami (brak
łączników) 53.
Zagadnienie genezy formalno-stylistycznej
oraz autorstwa, ściślej biorąc osobowości arty-
stycznej, potwierdzonego źródłowo projektanta
kościoła Guidona Antonia Longhi wykracza poza
ramy niniejszego artykułu.
51 Weiss, o.c, s. 22 i 23. 53 Bohdziewicz, o.c, s. 115.
52 Bohdziewicz, o.c, s. 119 przyjmuje niesłusz-
nie, że rycina nie obejmuje kondygnacji dolnej.
QUELQUES REMARQUES SUR L'ASPECT PRIMITIF DE L'EGLISE EN STYLE BAROQUE DE KOBYŁKA
PRES DE YARSOYIE
L'ancienne eglise jesuite en style baroąue, situee
a Kobyłka pres de Varsovie, est une des plus eminen-
tes oeuvres de 1'architecture du XVIIIe siecle de Pologne.
Un plan spatial original la caracterise; c'est un
ensemble compose d'une eglise a une nef, dont la large
faęade est flanąuee de deux tours, du batiment conven-
tuel rectangulaire en prolongement de 1'eglise derriere
le maitre-autel et de deux ailes (actuellement des bas-
-cótes) qui le longeaient des deux cótes, le batiment
conventuel y compris. Les recherches faites jusqu'a
present n'ont pas apporte des explications suffisantes
de tous les problemes concernant 1'origine et 1'histoire
de la construction de 1'eglise, sa fonction et son aspect
primitif d'avant les reconstructions du XIX0 siecle,
ainsi que la genese de sa formę et de son style et des
donnees precises sur son architecte Guido Antonio
Longhi.
Ayant accepte 1'opinion de Piotr Bohdziewicz, l'au-
teur admet 1'homogeneite de cet edifice et il justifie
son raisonnement par des arguments portant sur sa
formę, son style et sa construction. L'eglise, batie entre
1741 et 1753—1754, fut fondee par Marcin Załuski, eve-
que de Płock, pour etre le lieu de retraite et le centrę
de la mission jesuite. Bien que la Compagnie de Jesus
fut supprimee (1773) et 1'eglise endommagee pendant
la guerre de 1794, eiie garda son aspect primitif jusqu'a
1822—1823, quand les cellules de retraite, situees au-
-dessus des ailes laterales, furent partiellement abat-
tues. Dans les annees 1854—1855 d'autres modifications
eurent lieu; on demolit toutes les cellules et deforma
la faęade sud. En 1885—1886 on peręa les murs de la
nef avoisinant les ailes laterales dont on fit les bas-
-cótes. Sans parler de petits travaux de restauration
il faut ajouter qu'en 1944 la tour ouest fut partielle-
ment detruite (reconstruite a present).
A partir de ces constatations 1'auteur essaie de re-
constituer 1'aspect de l'ensemble du XVIIIC siecle. II
explique tout d'abord, que les ailes laterales (actuelle-
ment les bas-cótes) etaient oblongues des le debut
(comme en temoignent des fenetres laterales et la pein-
ture murale), et elles servirent de lieu des offices, des
processions et des retraites.
Dans la partie superieure des ailes se trouvaient
des cellules et un couloir longeant le mur de la nef de
1'eglise. L'etage de cellules montait jusqu'a la base des
fenetres de la nef. La partie nord des deux ailes ad-
herant a la nef avait un toit piat, et la partie sud etait
surmontee d'un toit en appentis, appuye contrę les murs
sans fenetres du couvent et dissimule par le mur de
la faęade sud, comme en temoignent des elements de-
figures de cette formę architectonique, qui se sont
conserves. On accedait au rez-de-chaussee des ailes,
comme aujourd'hui, par des vestibules, situes dans la
partie nord; 1'entree a 1'etage menait par un petit
vestibule derriere 1'abside de 1'autel.
L'auteur s'interesse en plus au coloris primitif et
au decor des faęades (des bandes peintes le long des
fenetres et des niches, des statues dans des niches
etc).
132