LA PEINTURE FRANÇAISE A L’EXPOSITION CENTENNALE 151
mise en page de tous ces details, dans le traitement de tous les
accessoires touchés avec une souplesse spirituelle qui sent encore
son xvme siècle, un autre homme et un autre peintre que celui de
la Mort d’Ugolin, et c’est le bon David. C’est celui qui, en 1788,
LE PEINTRE G R A N E T, PAR INGRES (1 807)
(Musée d’Aix.)
(Cliché Heyrieis.)
avait peint le portrait de Lavoisier et de sa femme, un peu plus
tard celui du médecin Leroy (prêté par le musée de Montpellier),
coiffé d’ un serre-tête, assis en robe de chambre à sa table de travail,
où sa lampe de cuivre s’allumera bientôt aux veilles studieuses, ou
bien encore ce portrait à peu près contemporain d’une femme
inconnue, prêté par le musée d’Orléans, si finement caractérisée
mise en page de tous ces details, dans le traitement de tous les
accessoires touchés avec une souplesse spirituelle qui sent encore
son xvme siècle, un autre homme et un autre peintre que celui de
la Mort d’Ugolin, et c’est le bon David. C’est celui qui, en 1788,
LE PEINTRE G R A N E T, PAR INGRES (1 807)
(Musée d’Aix.)
(Cliché Heyrieis.)
avait peint le portrait de Lavoisier et de sa femme, un peu plus
tard celui du médecin Leroy (prêté par le musée de Montpellier),
coiffé d’ un serre-tête, assis en robe de chambre à sa table de travail,
où sa lampe de cuivre s’allumera bientôt aux veilles studieuses, ou
bien encore ce portrait à peu près contemporain d’une femme
inconnue, prêté par le musée d’Orléans, si finement caractérisée