LA VILLA MÉDICIS EN 1840
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duction d’un portrait que je iis de lui en 1869, quand j’eus la grande
joie de l’emmener à Rome, dans cette Académie où nous avions été,
un quart de siècle avant, pensionnaires ensemble et dont j’étais
directeur depuis 1867.
Mon cher camarade était très fatigué de la vie de Paris et de ses
travaux si glorieusement accomplis; le séjour de la Ville Eternelle,
encore très belle dans ce temps-là, ne pouvait que lui faire du bien;
je le décidai donc à venir avec moi, et sa femme si dévouée me
le confia.
Comme il fut heureux pendant les deux mois de solitude que
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duction d’un portrait que je iis de lui en 1869, quand j’eus la grande
joie de l’emmener à Rome, dans cette Académie où nous avions été,
un quart de siècle avant, pensionnaires ensemble et dont j’étais
directeur depuis 1867.
Mon cher camarade était très fatigué de la vie de Paris et de ses
travaux si glorieusement accomplis; le séjour de la Ville Eternelle,
encore très belle dans ce temps-là, ne pouvait que lui faire du bien;
je le décidai donc à venir avec moi, et sa femme si dévouée me
le confia.
Comme il fut heureux pendant les deux mois de solitude que