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Le Grelot: journal illustré, politique et satirique — 8.1878

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https://doi.org/10.11588/diglit.6802#0125
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LE GRELOT

Les motifs se trouvent môme aux annonces.

Dans votre quatrième page, inscrivez :

La meilleure des eaux de table est l'eau de...
Tous les marchands d'eaux qui différent peu-
vent vcus tomber dessus.

Si vous critiquez un acteur et que vous fas-
siez des compliments à un autre : Excitation
à la haine et au mépris des citoyens les uns
contre les autres.

Un de ces jours, annonçant qu'il fera beau
le lendemain, vous verrez le soleil lui-même
invoquer la loi Guilloutet.

Et tenez, si nous disions aujourd'hui que les
dominicains sont les plus honnêtes gens du
monde, nous serions capables de voir les
chartreux nous poursuivre, en prétendant
que nous voulons les vexer.

Aussi nous ne le dirons pas.

Tout à vous.

A monsieur Grosoiseau, à la Charité-sur-
Loire.

Cher monsieur,
N'insistez pas plus longtemps, car je ne sau-
rais vous répondre d'une manière satisfai-
sante.

Depuis plusieurs jours déjà je cherche une
réponse à vous donner, et si je cherchais plus
longtemps, je finirais par attraper mal à la
tête, sans rien trouver, d'ailleurs, je le
sens.

Le maire de Grasdouble vient d'être con-
damné à la prison et à l'amende pour vol de
bulletins, ayant en cela exécuté les ordres de
son sous-préfet, qni lui avait dit, parait-il :
Faites sauter des bulletins.

Le préfet de ce sous-préfet est décoré, le
sous-préfet se promène à l'aise, le ministre
qui a décoré est bien tranquille et ce pauvre
bonhomme de maire attrape les coups.

D'un autre côté, le major Labordère, refusant
d'obéir à un ordre qui a entraîné la destitution
de celui qui l'avait donné, est puni par une
mise en retrait d'emploi.

On renomme dans ses fonctions le donneur
d'ordre, qui avait dû être puni, et on laisse le
major à la porte.

Je m'y perds, monsieur, je m'y perds, parole
d'honneur 1

Le meilleur là-dedans, c'est de prendre un
fonds d'épicerie, croyez-moi.

J'ai bien l'honneur de vous saluer.

A mademoiselle Caduner, à Essonne.

Mademoiselle,

Je m'empresse de répondre à la question que
vous avez bien voulu me faire l'honneur de
m'adresser :

On entre gratuitement dans la tète de la
Liberté exposée au Champ-de-Mars ; oui, made-
moiselle, c'est absolument gratuit; seulement,
il faut être muni d'un ticket qu'on ne vous
délivrera qu'au diorama des Tuileries.

Pour entrer au diorama des Tuileries, vous
serez, il est vrai, obligée de payer, mais ça ne
fait rien, une fois que vous aurez donné de
l'argent pour vous procurer la carte en ques-
tion, vous entrerez pour rien dans la tête do
la statue.

Ne vous trompez pas, vous n'aurez cette
câtte' que là où je vous ai indiqué ; ça vous fera
une course à faire, je le sais bien, mais vous
paierez tout de même pour y entrer. Seule-
ment, comme je vous le réitère, vous entrerez
pour rien dans la tète.

Veuillez agréer, je vous prie.

P.-S. — Si quelquefois vous désirez aller à
l'Opéra, vous pourrez également y entrer pour
rien le soir : prenez seulement la peine de
payer votre coupon le matin, et le soir, je vous
le jure, vous entrerez sans argent, absolument
comme dans la tète : c'est gratuit.

Daignez agréer, etc.

René LEBRUN.

GRELOTS-FINANCE

Les baissiers doivent un beau cierge à M. de
Reinach. i

Que ce monsieur l'ait voulu ou non, son/
article publié il y a trois semaines dans le
Journal des Débats, sur la conversion du B 0 0
et sur les émissions de '6 0/0 amortissable qui
vont commencer a eu pour effet d'amener près
de 3 fr. de baisse sur le 5 0/0.

Dans la bourse du 27 juillet, on espérait que
par suiie de ces ventes si prolongées, un dé-
couvert avait pu se former, et qn'en le pour-
suivant ferme pendant les trois dernières
bourses du mois, on pourrait arriver à relever
sensiblement les cours.

C'est hélas trop perdre de vue la masse de
titres que le comptant jette tous les jours sur
le marché.

Les porteurs de rente 5 0/0 ont l'esprit obtus.
L'ingéniosité de cette création d'où la rente
3 0/0 amsrtissable qui, en diminuant leurs re-
venus d'un dixième, doit cependant, d'après
ce;que citent cent journaux, augmenter leur
capital leur échappe.

Ils se refusent énergiquement à croire que
leur capifal qui vaut aujourd'hui 114 fr. pour
chaque 5 0/0 de rente vaudra 126 fr. lorsqu'ils
n'auront plus à toucher que 4.50. Aussi, ven-
dent-ils, vendent-ils, comme cela ne s'était
encore jamais vu depuis que les emprunts de
1871 et 1872 sont arrivés à classement com-
plet.

Ces ventes sont un peu exagérées. Sans
croire à tout ce qui se chante dans tous les
journaux sur la valeur future du 3 0/0 amor-
tissable,.!!.est probable qu'il n'y aura pas trop

de différence entre le prix qu'où donne au-
jourd'hui d'un revenu de S 0/0 et celui qu'on
trouvera alors pour un revenu de 4.80.

Ces ventés sont aussi fort inconsidérées et
fort inopportunes.

La conversion ne va pas se faire en un tour
de main, par simple décret comme en 1852. Il
faut pour cela l'assentiment des Chambres. Or,
cela prendra bien au moins six mois.

O'ici à ce que la loi sur la conversion soit
votée, on aura deux coupons, peut-être même
trois coupons à toucher ; admettons que l'on
s'expose à perdre, l'argent qui sort des rentes
entre de suite dans d'autres valeurs.

Cet argent esl-.il bien certain de trouver un
placement aussi sûr, aussi rémunérateur, et
ayant autant de chances de plus-value ?

Ce qu'il y a donc de mieux à faire, tant que
la conversion sera encore à l'état de bruit,
c'est de la voir venir et de rester dans sa
rente

La conversion n'est pas une chose si certaine
que cela. S'il se trouve dans la Chambre des
députés une forte minorité pour n'en pas
vouloir, il pourra bien se trouver une majorité
dans le Sénat pour la rejeter.

Les manifestations en faveur de Yltalia irre-
dénia ont nui à la rente italienne. Il y a gros à
parier que parmi les gens qui ont fait ce ta-
page, il y a des farceurs qui étaient à la baisse.

Il s^est fait un peu de calme dans le camp
du Crédit foncier. Le conseil d'administration
est enfin arrivé à comprendre le danger qu'il
y avait à être en hostilité ouverte avec le gou-
verneur nommé par l'état. Ledit Conseil a pris
la délibération nécessaire pour permettre au
gouverneur de déférer régulièrement à la Cour
d'appel le jugement rendu par le tribunal de
commerce.

En attendant, le gouverneur continue d'avoir
l'occasion de lire une foule de choses désa-
gréables pour sa personne, dans divers jour-
naux qu'il est inutile de nommer. Mais nous
pensons qu'il s'en dispense, et en cela il a
bien raison. Décidément, les gens qui paient
ces sottises n'en ont pas pour leur argent'.,

ARIEL.

GRELOTS

Un monde désagréable à fréquenter, c'est le
mont-dc... piété.

— o— .

Lu quelque part :

Un bouquiniste s'apercevant que des ama-
teurs de littérature lui volaient fréquemment
sa maichandise, mit à sa devanture un petit
écriteau ainsi rédigé :

Prière aux personnes
qui volent mes livres, de choisir de préférence
dans la boîte
à '

un sou.
—O—

Ernestine ! Ernestine 1 ouvre-moi donc I
Ernestine. — C'est çà, n'te gênes pas! Ah!
ça! est-ce que tu me prends pour une écaillère?

—o—

La mort, disait Calino, n'est effrayante que
parce qu'on n'y est pas habitué.

—O—

Puisqu'on fait de la toile avec le lin, pour-
quoi la graine de cette plante ne s'appellerait-
elle pas de la graine de linge ?

—o—

X... rencontre Saint-Genest,

— Je viens de rencontrer quelqu'un qui m'a
beaucoup parlé de toi.

— Bah !

— Oui, c'est un couvreur.

Saint-Genest trouve le mot drôle ; il ren-
contre Z... le lendemain et lui dit :

— Je viens de rencontrer quelqu'un qui m'a
beaucoup parlé de vous.

— Bahl

— Oui, c'est un couvreur.
—O—

Très-mechants les manchots! Quand ils
vous cognent dessus avec leurs moignons, ils
y vont bien de main-morte, on peut le dire,, et
surtout à bras raccourcis.

—o—

Chose a abandonné sa maîtresse quand il l'a
vue enceinte : c'est un animal ; mais de là à
dire qu'il lui a laissé un enfant sur le dos, il
faut avouer qu'il y a tout un monde.

TribÔulet.

Le concert de l'Orangerie vient de varier la
physionomie de la Terrasse de la façon la plus
pittoresque.

Des jeux de toutes sortes y ont été^ installés
sous l'ombrage ; mais la vraie nouveauté qui sera
lajgrande attraction pour le public dans ces jour-
nées caniculaires, c'est une laiterie merveilleuse-
ment diposée, et à laquelle M. Geolïroy-Saint-
Hilaire a bien voulu envoyer deux petites vaches
du Jardin d'acclimatation.

Le soir, les concerts ont varié aussi leur pro-
gramme. A côté d'Arban, le maestro hongrois
E'ahrbach y fait entendre ses œuvres avec le plus
éclatant succès, et la nouvelle troupe espagnole
Rovira, composée de 28 exécutants, vi#nt d'avoir
les plus brillants débuts.

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mots, Contes, Facéties, Epigrammes, recueillis
par Louis Loire. — C'est une lecture amu-
saute, où on trouve l'esprit français — et quel-
quefois gaulois — sous ses aspects les plus
variés; il sert de sujet de distraction dans les
réunions où l'on aime à rire, et les voyageurs
prévoyants l'emportent pour oublier les ennuis
du trajet.

Le 2° volume est intitulé : Anecdotes des
Théâtres, — Comédiens, Comédiennes, Bons
mots des Coulisses et du Parterres. ■— Indépen-
damment des anecdotes particulières sur cha-
cun de nos grands artistes, on trouve ça et là
les bons mots des coulisses et du parterre, des
épigrammes finement aiguisées, de joyeux
propos, des réparties spirituelles et surtout de
curieux détails sur les actrices, —qui ont tenu
une si large place dans la haute société du
dix-huitième siècle.

Le 3e volume est intitulé : Anecdoctes de la
Vie littéraire. — Ce volume fourmille de mots
étincelants d'esprit, de traits acérés, et surtout
d'une multitude de faits inconnus sur Balzac,
Châteaubriand, Alexandre Dumas, Lamartine,
Mery, Nodier, Eugène Sue, etc.

Le 4° volume, qui vient de paraître, est inti-
tulé : Anecdotes sur les Femmes, les Amoureux
et les Maris : Aventures, Bons mots, Historiettes,
Epigrammes. — Faire le sommaire de tout ce
qu'il y a d'amusant et-'de curieux dans ce dé-
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