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le grelgt

étant ministre de la guerre, introduit l’usage
de la morue dans l’armée, Jules Jouy, dit avec
sa verve habituelle :

LE PROTECTEUR DE LA. MORUE

Entouré de tous ses mitrons,

Le Boulanger, dans sa boutique,

Parle au peupte. Nous connaîtrons
Bientôt toute sa politique.

Petit à petit, elle poind,

Progressivement apparue.

Nous sommes fixés sur un point :

II protègera la morue.

Depuis qu’au bord du flot amer,

II a làché cette parole,

Les poissons, au fond de la mer,

Partout dansent la farandole.

Le maquereau, soupte etgalant,
L'apprend à la sole accourue
Qui va le redire au merlan ;
o II protègera la morue. »

Les pierreuses, sur le trottoir,

En parlent entre chaque passe.

Les gousses, au Rat-Mort, le soir,

Entre elles diseDt à voix basse :

« S’il réussit, plus de danger:

C’est ton àge d’or, triste grue ;

Ce qu’il nous faut, c’est Boulanger:

II protègera la morue. »

Les héros de l’accroche-cœur,

En blouse, comme en redingote,

Font de la propagacde, en chœur,

Au seul général patriote.

Tandis que, pour gagner son pain,

Nana turbine dans la rue,

Alphonse dit : « C’est un Copain :

II protègera Ia morue. »

Sortis du trône ou du clergé,

Pour illustrer teur dictature,

Papes et rois ont protégé
Les arts et la littérature.

D’amour, pour le Beau radieux,
Beaucoup eurent l’àme férue.

Boulange est moins ambitieux :

II protègera la morue.

La France le sait désormais :

Le Cêsar à la barbe jâüne,

Fidèle au peuple, au grand jamais
Ne sera le Monck d'aucun trône.

Aux flots servant de dictateur,

Des poissons de la mer bourrue
11 sera le Grand-Protecteur :

C’est le Cromwel de ta morue.

Jules Jouy.

THÉATRES

Folie3-Dramatiques. — La direction des
Folies-Dramatiques a eu l’heureuse idée de
repreodre Coco, l’amusaot vaudeville qu’i-
naugura, il y a quelques üix ans, le théâtre
des Nouveautés et y fit affluer le public pen-
dant plus de cent représentations.

Nos lecteurs n’ont peut-ètre pas tousoublié
le point de départ de la charmante pièce de
MM. Glairville, Grangé et Delacour. Coco est
un perroquet qui jouit, par testament, en la
personne du maitre qui le soigne, d’une rente
de 20,000 francs léguée par son précédent pro-
priétaire. On conçoit sans peine de quels soins
et de quelles délicates altentions il est l’objet.
Un beau jour, la cage tombe dans ia rue et
voilà Coco envolé ! Durant quatre actes les
auteurs nous font assister, aumilieu des péri-
péties et des scènes les plus réjouissantes, à
la chasseduprécieux volatile, compliquéede la
poursuite de sa jeune maitresse, qui s’est fait
enlever par un gommeux la veille mème de
ses noces, en courant après sa dot, c’est-à-dire
après son perroquet.

Ce vaudeville à poursuites est gai et tout à
fait amusant d’un boutà l’autre ; il n’a nulle-
ment viéilli et le publicnous a paru y prendre
le plus vif plaisir. Le tableau du couronne-
ment de la rosière et celui du départ du pa-
quebot sont particulièrement gais et tout à
fait réussis

Coco est rondement mebé par l’excellente
troupe des Folies-Dramatiques. MM. Guyon,
Duhamel, Alexandre, Mlle Aimée Martial, ont
été très applaudis. Quant à Gobin il est abso-
lument étourdissant de verve, de bonne
hurneur et de gaité essentiellement commu-

nicatives.

Mlle Silly, spécialement engagée par M.
Micheau, aretrouvé dans le rôle de laMargotte
un frane succès. On lui fait bisser chaque soir
sa fameuse chanson des « Sabots de Jean-
nette » qu’il est du reste impossible de plus
malicieusement et plus spiritueilement dé-
tailler.

A signaler encore une jeune artiste, Mlle
J. Ilbert, très en beauté et tout à fait char-
mante dans le rôle de Georgette.

Le succès de la reprise de Coco ne nous
paraît pas douteux.

Opéra-Gomique. — L’Opéra-Comique a
donne cette semaine la première représenta-
tion du Roi d'Ys, drame lyrique en cinq ta-
bleaux, paroles de M. E. Blau, musique de
M. Lalo.

Bien que le Qrelot n’ait pas été m :s à môme

par suite d’une omission regrettable — de
pouvoir rendre compte en détril de ct Ite Sô-

lennité musicale, nous considérons comme
un devoir de constater ici l’éclatant succès
remporté par M. Laio, dont la partition a sou-
levé à maintes reprises les bravos les plus
enthousiastes et, dit-on, ies plus justement
mérilés.

M. Paravey, en recevant et en montant ie
Roi d’Ys, refusé déjà dans la plupart des
théâtresiyriques — ycompris l’Opéra auquel il
était tout d’abord destiné — a fait preuve
d’un sens artistique, trop rare chez les direc-
teurs parisiens, pour que nous hésitions un
instant aussi à l’en féliciter.

A huitaine, s’il y a lieu, un compte rendu
plus détaillê.

Ghâtelet. — Gerwinul a vécu 1

En vain M. Zola a-t-il fait son « appel au
peuple » comme un vulgaire boulangiste. La
représentation, aussi gratuite que populaire,
n’a pu avoir raison de l’indiflérence du public,
mème non payant.

Sans ètre fort attrayant, Germinal nous pa-
raissait appelé, en raison des beautés de sa
mise en scène, à tenir plus longtemps l’affiche.

Le public en a décidé autrement; il n’y a
qu’à s’incliner devant son verdiet.

Depuis quelques jours, MM. Clèves et Fioury
ont repris Michel Strogoff', avec le tarif d’été.

Ghamps-Élysées.— I.es cafés-concerts des
Ambassadeurs, de TAlcazar, de l’IIorloge, ont
tous fait leur réouverture.

La floraison nouvelle a ramené sur leurs
scènes les rossignols — sans jeu de mot, bien
entendu.

Franconi a lâché les Filles-du-Calvaire.

On signale de nombreux vols de grues aux
abords du Jardin do Paris, qui s’apprète à ou-
vrir ses grilles.

Chasseurs, à l’affïït 1

Qu’on se le dise I -■

JULES DE I.A VERDRIE.
--

GRELOTS

Quant un homme châtain commence à gri-
sonner, c’est qu’it a cinquante ans.

Mais quaud il commence à noircir, c’est
qu’il en a... soixante.

-(!-» —

Troipoil voulant être graeieux auprès d’une
dame qui seplaint d’avoir quelques cors aux
pieds :

— Cela prouve, dit-il galamment, que vous
avez des pieds aux petits oignons !...

—«-»—

Au Jardin d’acclimalation, un gros mon-
sieur veut faire monter son petit garçon sur
l’autruche. L’enfant a peur et pousse des cris
perçants.

— As-tu fini de crier conime ça, lui dit le
père et veux-tu Men t'amuser tout de suite.

De l’album d’un pensionnaire gradé de
l’hôtel des Invalides :

Campagne.— La paix des champs pour les
uns; les charnps de bataille pour les autres.

On annonce l’arrivée, au Jardin d’acciimata-
tion, d’une troupe de femmes sauvages.

Les femmes sauvagesne sont pas civilisées —
et cependant il y a des femmes civilisées qui
sont sauvages.

-—«- »—

On dit qu’en cas de guerre, une certaine ini-
mitié règnerait parmi nos généraux.

C’est ie cas ou jarnais de supprimer les
généraux de division.

—«-»—

Petit Pierre reçôit de son pàrrain, pour -sa
fète, un énorme sac de bonbon :

— Qu’est-ce qu’on dit? demande la mère.

— Encoro ! encoré I répond Petit Pierre.

—«-» —

Actualité.— Chez lecoiffèur:

— Comment monsieur désire-t-il que je lui
taille lescheveux?

— Sans me parler de Boulanger.

——

Consultation fantaîsiste:

— Croyez-vous, ddcteïïr, qïïe fumer soit
mauvais?

— Dame ! voyez les cheminées; ce sont celles
qui fument le rnoins qui valent le mieux.

Triboulet.

—--♦-

GRELOTS'FINANCE

La nuance est légèrement plus calme sur les
Rèntes et en général sur la plupart des valeurs
dont ou s’occupe le plus assidûment en spé-
culation ; mais les difl’érences de cours que
nous avons à constater sont tellement insigui-
fiantes, qu’ii n’y â pas lieu de s’arrêter sur le

petit mouvement que nous avons à signaler
au début de la semaine.

En fait, la liquidation des valeurs soumises
à un double règlement de compte mensuel,
promet de s’eftectuer aux conditions les plus
avautageuses pour les acheteurs.

Les nouvelles financières du dehors conti-
nuent à être satisfaisantes.

L’extérieure Espagnole s’est traitée aux en-
virons de 69.

II s’en faut cependant de beaucoup que les
embarras financiers aient diminué à Madrid.
M. Puygcerver déclare qu’il ne lui semble pas
possible de diminuer les dépenses. On est
persuadé qu’il faut sortir au plus vite de la
situation pénible où l’on se trouve, et M. Sa-
gasta a déclaré au Sénat que les projets finan-
ciers seraient discutés avant les projets mili-
taires.

II ne s’est produit que de faibles mouve-
ments sur les obiigations du Crédit Foncier.
Celies de l’emprunt 1879 se maintiennent aux
environs de 480. L’obligation 1885 est à 465.
Les obligations de la Banque hypothécaire,
remboursahles à 1,000 francs, ont supporté
quelques offres, par suite du courant d’arbi-
trages qui s’est établi en faveur d’un titre
similaire récemment émis à 100 francs au-
dessous de leurs cours ; mais elles ont bien
résisté.

Sur ce marché du comptant, on a beaucoup
agité sur les obligations nouvelles de la Yil)e
de Paris, mises en souscription publique le 5
mai. La façon dont on a procédé à la réparti-
tion a complètement manqué le hut recherché.
On voulait éviter l’agio en déclarant irréduc-
tibles les souscriptions jusqu’à 3 obligations.
Et on n’est arrivé qu’à cette anomalie, de don-
ner une obligation seulement aux souscrip-
teurs de 10 à 60 obligations.

Ceux-ci se Irouvent ainsi juste aussi favori-
sés que les souscripteurs d’une seule unité, et
beaucoup moins que les souscripteurs de 2 et
de 3 obligations, qui reçoivent l’intégralité de
leurs demandes. II y a là un manque de logi-
que qui saute aux yeux et ne peut guère aug-
menter le prestige des financiers de l’Hôtei-
de-Yille.

***

Quant à l’émission de conversions ou à la
conversion d’émission des obligations que
cherche à éluder la Compagnie des Petites-
Voitures, c’est franchement un four.

Ariel.

Ilsera répondu à toutes les demandes de
renseignements financiers, soit par lettre,
soit par la voie du journal.

CRÉDIT FONCIER DE FRANCE

Assemblée générale du 30 avril 1888.

Après la lecture du rapport, le gouverneur
a pris la parole. II a expliqué en quelques
mots que les bénéfices de la Société suivent,
chaque année, une marche progressive et qu’iî
eût été possible d’augmenter le dividende de
plus de 2 francs, puisque l’on a reporté à
l’exercice suivant une somme disponible de
600,000 francs. Mais il a pensé, et cet avis a été
partagé par tout le Couseil, qu’il était préfé-
rable, lorsque la propriété foncière, surtout la
propriété rurale, traverse une crise, de res-
treindre l’augmentation du dividende. De
plus, la Société se trouvera bientôt dans la
nécessité d’élever son capital social. Or, ii
seiait très désirable que la création de nou-
velles actions ne portât aucune atteinte au di-
vidende des actions anciennes.

C’est pour toutes ces raisons qu’on l’a fixé
au ehiffre de 62 francs pour l’exercice 1887.

Revenant ensuite à la crise immobilière et
agricole qui pèse sur le pays, le gouverneur a
dit que s’il y a là un motif de craintes légi-
times, l’administration du Crédit Foncier ne
eesse de prendre des mesures pour sauvegar-
der hs intérêts de la Société. Ainsi, dans le
courant de l’année, le domaine s estaecru, par
suite des nouvelles acquisitions, de 2 mil-
lions; il s’élève actuellement à 16 millions;
mais les réserves destinées àpareraux pertes
qui pourraient provenir de ce domaine ont éié
augmenté d’une somme presque égale. Ces
réserves spéciales s’élèvent, à l’heure actuelle,
à 18 millions. Une provision aussi considé-
rable donne à la Sociélé une complète et en-
tière sécurité.

L’Assemblée générale a accueilli avec de
vives marques de satisfaction ces explications
complémentaires. Elle a donné son approba-
tion aux comptes de Texercice 1887 et tixé le
dividende de cet exercice à 62 francs par
action, payables : 30 francs depuis janvier
dernier et 32 francs à partir du 1 er juillet
prochain.

Elle a, de plus, confirmé la nominatiou
comme administrateurs de M. Mazeau, eu
remplacement de M. Guiffrey, déeédé ; de
M. Picard, trésorier général du Nord, en rem-
placement de M. Dutilleul, et réélu MM. de
Neufville, Plassard, Rivière, administrateurs
sortants, ainsi que M. Sauret, censeur sortant.

Le solde du dividende est payable dès main-
tenant, sous escompte, au taux de la Banque
de France.

Concerts-Promenaûes fln Paîais-Royal

On n’a pas oublié le succès qu’ont obtenu, l’an-
née derniere, les Concerts-Promenades organisés
dans le Jardin du Palais-Royal, par M. Georges
Auvray. Nous sommes heureux d’annoncer que
ces soirées musicates vont très prochainement
faire leur réouverture.

Afin de répondre à t’empressement du public,
leDirecteur se propose d’ajoutér à son programme
une série d’attractions artistiques : divertisse-
ments,pantomimes, symphonies avec chœurs.etc.
L'organisation matérielle a été aussi l’objet
d'améliorations importantes : l’éclairage est com-
plètement transformé.

Piacés au centre même de Paris, les Concerts-
Promenades du Palais-Royal constituent, pen-
dant l'été, une charmante distraction et un passe-
temps vraiment artistique. — Nous pubherons
prochainement Je programme de la première
soirée.

Musée Grévin, 10, boulevard Montmartre. —
Ouvert tous les jours de 1 b. à 11 h. du soir.
— Monument de l’amiral Courbet. — Panorama
Detaille. — Cabinet fantastique. — Concert des
Tziganes.

Folüs-Bergère, 8 b — Les quatre sœurs
Martens. — Les six Taureaux Espagnols. —
Dimancbes et fètes, matinée à deux beures et
demic, réservée aux familles.

L’Assemblée générale des actionnaires du
Crédit Foncier de France a eu lieu le 30 avril,
au siège social, sous la présidenee de M. Al-
bert Christophle, gouverneur.

Le rapport, lu par M. Méliodon, secrétaire
général, témoigne de Texcellente situation de
cette Société. D’après ce rapport, il a été ef-
fectué, au cours du dernier exercice, 3,696
prôts hypothécaires, pour une somme de
115,323,804 fr., ce qui porte à 3,180,451,501 fr.
le montant des prêts hypothéeaires ré lisés
par le Crédit Foncier depuis sa fondation jus-
qu’au 31 déctmbre 1887. Si on déduit de ce
chiffrf' les remboursementseffectués, on trouve
un solde de prôts fonciers de 1,994,665,900 tr.

A la mème date, le solde des prêts commu-
naux s’ëlcvait, à 999.059,3-22 francs. Pendart
l’année 1887, l’augmentationdes prôts fonciers
et communaux a'été de 119.212.236 francs.

Aux prêls correspondent les obligations. La
situation gônérale dès obligations se résume
ainsi:

Obiigations foncières... Fr. 2.038.090.322
communales... 991.830.286

,r 3.032 920.609

Le solde total des prèts fonciers et commu-
naux réalisés étant, après déduction des prèts
faits avec les réserves, de 2,940,276,092 francs,
la situation au 34 décembre dernier présente,
en définitivè, un e-if-cédent d’obiigations de
98-,01-3,517 -fra-bcs en -regard d-Uquel il convient
de placer le chiffre des prêts fonciers et com-
munaux autorisés par le Conseïl, mais non en-
core rëalisés, et qui s’élèvent à 91,538,786 ir.

Le cbapi tre « Gffets et Valeurs diverses » com-
prèîid pôurl!98 million’s de rentes, bons du
Trèsor et obligations trentenaires, etc. Le
chiffre pour lequel cçs valeurs sont portées
dans l’inventaire est inférieur de près de 6
millions au cours du 31 décembre dernier.

Les réserves de la Société sont, au total, de
130 millions.

Le bénéfice net à répàrtir aux aclionnaires
est, cette année, de 20,497,158 francs, ce qui
permet de distribuer ùn dividende de 63 francs
par action et de reportèr à l’exercice suivant
un excédent de 639,800 franes, indépendam-
ment, bien entendu, de la réserve obligatoire
de 637,357 francs.

Hippodrome. — Tous les soirs, à 8. h. 1/2. —
Dimanches, Jeudis et Fêtes, matinée à 3 h.

Scala, 7 h. 3/4. — MM. Libert, Ouvrard, Re-
val, Picbat, Maiius Ricbard, Caudieux, Mmes
Amiati, Demay, Jules Bloch, etc. — Matinées
dimanches et fêtes, à deux beures.

Eldorado, 8 h. — Tous les soirs, spectacle-
concert. — Mmes Thérésa, Bonnaire, Dufrany,
Caynon; MM. Perrin, Vaunel, Sulbac. — Mati-
nées Dimancbes et fètes.

Anibassadeurs. — Tous les soirs, à 8 heures,
Dimancbes et Fètes, Matinée. Mmes Derly,
Rbéa, Ghevalier, etc. ; MM. Bienfait, Ganivet,
Ribéral, Sarina, l’homme-diable.

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