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LE GRELOT

Le coiffeur de ce dernier est mandé et,
après avoir accompli sa tâche :

— G’est quarante sous, dit-il au fils de la
maison.

— Deux francs ! s’exclame Ghampoireau.
Deux francs ! Mais je croyais que mon père
était ahandonné.

—o—

11 y a cent ans, l’Irlan'ie était, comme
aujourd’hui d’ailleurs, accablée d’impôts par
l’Angleterre.

Lady Garteret, femme du lord-lieutenant
d’Irlande, disait un jour à Swift :

— L’air de votre pa.vs est fort bon.

Swift se mettant aussilôt à genoux :

— Pour l’amour de Dieu, s’écria-t-il, n’allez
pas le dire en Angleterre, car on mettrait un
impôt dessus.

—o —

M. X..., parfumeur en renom, s’est marié
tout récemment avec une femme charmante.

II y a peu de jours, il arrive dans ses maga-
sinset se met en devoir de dépouiller son cour-
rier, tout en bâillant à se décrocher la mâ-
choire.

— G’est curieux, dit-il à son secrétaire, je
suis fatigué au possible. Et pourlant, à huit
heures j’étais encore dans les bras de Mor-
phée.

— Ahl monsieur, — s’écrie une ouvrière
avec l’accent indicible de l’employée femelle
qui veut faire sa cour à son patron, et qui
ignore le prénom de la jeune patronrie, — ah !
monsieur, ça n’est pas étonnant, guand on a
une femme aussi gentille que la vôtre I...

JOB.

FEUILLES AU VENT

ANASTAglE EN POLOGNE

La censure de Yarsovie vient de défendre
aux journaux polonais d’appeler le papele re-
présentant du Ghrist. Ges mots doivent ètre
remplacés par le « gouverneur-général du
GhVist ».

I! paraît qu’il y a là, pour l’Anastasie varso-
vienne, une nuance qu’il importe de respec-
ter !

Pourquoi n’a-t-elle pas ordonné d’appeler
Léon XIII « ministre plénipotentiaire de Sa
Majesté Jésus-Ghrist, chargé de pouvoirs ex-
traordinaires » ?

oéia n'aurait pas empôçhé l’ordre de ré gner
en Varsovie.

LE BEAU LANGAGE

Le Oil Blas publie comme échantillon de
beau iangage, l’extrait suivant d’un journal
belge :

Lesjours ont comxnencé à diminuer,

Et il n’y a pas encore eu seulement une demi-
douzaine de vraimeDt beltes soii ées, à aller s’as-
seoir au dehors avec plaisir.

Le fait est que c’est assez joliment tourné.

Que peut donc ètre le journaliste qui trou-
ve ainsi le moyen d’attirer sur lui l’attention
publique? C’est une véritable réforme qu’il a
introduite dans la façon de parler de la pluie
et du beau temps !

UN TRÔNE A MUSIQUE

Un journal raconte l’incident suivant, qui
se serait passé à l’époque de la guerre 1870-
1871.

En 1870, trois Français descendirent daDS un
hôtel d’une des villes de l’Atlemagne, ayant dans
leur bagage un colis qui était constamment l’ob-
jet de leur surveillance. La guerre ayant mal
toumé, et les voyageurs n’ayaDt pas de ressour-
ces pour solder leur note à l’hôtel, ils abandonnè-
rent à l’hôtelier le colis en question en guise de
paiement.

Quand on ouvrit le colis, on y trouva un riche
trône garni de soie et de broderiep d'or avec les
initiales N sur le siège et sur le dossier. En outre,
lorsqu’on pressait avec la main les bras flnement
ciselés du trône, on entendait un air de musique
provenant d’un instrument caché dans le meuble.

Ce trône, croit-on, avait été expédié d’a-
vance en Allemagne, pour servir de siège à
Uadinguet à son arrivée à Berlin.

MUETS COMME DES CARPES

Les journaux cléricaux ne soufflent pas un
traiire mot des abominables faits qui ont eu
pour théâlre l’école des frères de Citeaux.

Tous sont absolument muets...

Quel est le caractère de ce silence général?

Blâment-ils ou approuvent-ils la justice?
Condanment-ils les misérables qui ont souillé
tant d’enfants ?

On n’en saitrien; on est donc obligé d’in-
terpréter leur mutisme, et nous pensons qu’il
veut dire que tout cela est un méchant com-
plot des républicains, qui sera dévoilé plus
tard.

Les journaux de sacrislie altendent au frais,
sous l’orme, un miracle en faveur des saints
petits-frères calomniés.

Vous verrez que le miracle viendra.

EMPRUNTÉ A SCHOLL

Sur la terrasse du café des Ambassadeurs :

Olga (de la rue de Turin). — As-tu vu dans
le Gil Blas la mesure de rigueur qu’on va
prendre contre les demoiselles de magasin?

HERMiNiE(de la rue de Berne). — Elles res-
teront assises; e’est leur aflaire.

Olga. — Mais nous ? Nous devrions écrire
au conseil municipal que nous préférons ôtre
levéesl...

Douville.

Hourrah pour Boulanger! criait un imbécille
En suivant le landau du « Brave Général ».

Naquet s’y prélassait dans son orgueil tranquillc,

Et Laguerre y posait, d’un air sombre et fatai.. .
Rochefort répétait, insutteur quotidien,

Que des fusils Lebel on fermait la fabrique,

Et Susini, railleur, semblait, par son maintien,

Dire, ma foi, tant pis! zut à la Républiquel...

Quant au « Grand Général », dans un superbe aptomb,
II saluait le Pcuple, ainsi qu’un vrai monarque...

Son sourire disait : ,1c suis puissant, mais bon !

Et Rochefort-Sully sait bien mener ma barque.

A. Lefèvre.

-4--

LA BONNE PRESSE

On sait qu’il existe, dans les bas-fonds du
clériealisme, une innombrable collection de
petites feuilles de chou dont l’inénarrable gâ-
tisme le dispuste à la viscosité, la plus écœu-
ranie. Nous en avons donné assez de spéci-
mens. Mais nous sommes loin d’avoir épuisé
la matière.

A côté des Pèlerins divers, des Semaines reli-
gieuses, des Rosiers de Marie, des Mois deSaint-
Joseph, des Bons Grains, des Sacrés-Cceurs et
d’auîres phénomènes, du détraquement dévot,
qui nous ont fourni maints extraits joyeux, il
y aencore un tas depublications spécialesque
l’ou ne connaît guère.

En voici deux qui nous sont révélées grâce
à un petit incident dont le boulevard des Ca-
pucipes, à Paris, vient d’ètre le théâtre.

Ecoutez le poème :

En sortant de chez Hill’s, un sieur R.., dont la
profession va se dessiner d’elle-mème tout à
l’heure, s’est pris de qnerelle à propos de femmes
avec un passant nommé Busoni. II lui ,a lancé à
travers le visage un coup de poing américain, et,
à la suitè de cet acte de brutalité, ii a été pour-
suivi pour vagabondage, coups volontaires et port
d arme prohibée.

On a appris aussi quc le ditR... élait rédac-
teur de ces deux inneflables journaux : Le Mes-
sager de Notre Dame des Victoires et l'Echo des
Sanctuaires de France f !!l).

Le directeur de ces deux papiers folichons
est un csrtain F... L... R... est son collabora-
teur, son secrétaire et son ami. A eux deux
ils servent d’intermédiaires entre Notre-Dame-
des-Yictoires et ses adorateurs; de plus, ils
font les « Sancluaires de Françe », — propa-
blement comme les filles font le trottoir.

Les deux publicisles catboliques occupent
ensemble une chambre, dontle principal orne-
ment est une vierge enguirlandée de photo-
graphies de prélats et d’ecclésiastiques d’or-
dres divers.

Le rapport de police s’exprime ainsi au sujet
de l’ami de R...

On ne lui connaissait, eD fait de fréquentations,
que des membres du ciergé,

Ge mignon inculpé, qui joue si voiontiers
du coup de poing américain a été condamné
à quatre mois de prison et deux ans d’inter-
diction de séjour.

Joli monde!

G...

THÉATHES

Malgré les torrents d’eau que déversent in-
cessamment sur nos tètes les inépuisables
arrosoirs de ce polisson de saint Médard et de
son vieux complice saint Barnabé, tous ou
presque tous les théâtres parisiens ont fermé
leurs portes avec une ponctualité et une régu-
larité dont nous ne saurions trop les blâmer.

Comment 1 l’exécrable température que
nous subissons empêche tous les Parisiens de
filer à la mer.ou à la campagne; nos rues et
nos boulevards sont, à tout instant, transfor-
més en torrents tumultueux qu’il n’est pos-
sible de-traverser qu’avec des ceintures et des
nacelles de sauvetage; il pleut, ii venle, il
tonne; les soirées sont lugubres, les Ghamps-
Éiysées inabordables, le Bois abandonné, et
le Parisien n’a pas mème à sa disposition le
moindre fauteuil d’orchestre pour chasser
tous ces ennuis et se donner, au besoin, dans
une salle bien éclairée, l’illusion du rayon de
soleil après lequel il soupire vainement
cbaque jourI

En vérité, c’est là une coutume absurde,
contre laquelle on ne saurait trop énergique-
ment s’élever.

Que nos tbéâtres ferment pendant l’été,
c’est parfait ! Mais pour Dieu ! qu’ils oifrent
un abri aux Parisiens pendant les mois dits
d’été, mais qui n’ont d’été que le nom.

Sont actuellement fermés : l’Opéra-Comi-
que, l’Odéon, le Gymnase, le Yaudeville, les
Yariétés, la Gaité, ies Bouffes,, les Nouveau-
tés, la Renaissance, le Ghâteau-d’Eau, l’Eldo-
rado, etc.

L’Eden-Théâtre, les Menus-Plaisirs, Déjazet,
avec leurs spectacies monolones, ne sont
qu’entr’ouverts.

Restent seuls à la disposition des Parisiens
et des étfangers, l’Opéra, la Comédie-Fran-
çaise, îa Porte-Saint-Martin, ies Folies-Drama-
tiques et le Cbâtelet.

C’est peu I

*

* #

Les directeurs, du reste, se gardent bien de
nous offrir la moindre nouveauté.

L’Opéra se contente de faire l’éducation de
ses recrues dans le même répertoire ; la Comé-
die-Française agit de môme ; la Porte Saint-
Martin et le Ghâielet se livrent à des exbuma-
tions.

Le Cbâtelet a repris cette semaine un vau-
deville amusant, de MM. Blondeau et Monréal,

Les environs de Paris.

C'est un agréable vaudeville à poursuites,
dont nos leeteurs n’ont sûrementpas perdu le
souvenir, à Baide duquel les aimables auteurs
nous promènent gaieraent à Robinson,àMont-
inorency, àArgenleuil et autres lieux cireon-
voisins.en compagniedetypes très réussis,tels
qnè le bonBartenel, sa sœur, sa nièee, l’oncle
Ranzo', le cousin Théudore et le futur Maliu-
chard, fiancé de la belle Einilie.

Le voyage ne manque ni de charme ni d’a-
grément, ni d’impression. Grâce à une mise
en scène des plus soignées, ies péripéties en
sont marquées par des effets fort amusants,
tel que l’orage avec de la vraiopluie, une pro-
menade à âne, une fête de vendangeurs avee
bailet, un feu d’artifice, etc., etc.

Le tout constitue une bonne et amusante
soirée à passer, qui.ne peutmanquer d’attirer
au théâtre les enfants de tout âge, y compris
ceux de l’âge le plus avancé.

Les environs de Paris sont de plus fort bien
joués par MM. Cooper, Leroud, Ghameroy,
MM meS Lantelme, Rinc et Destrées, toutes bion
fort jolies femmes et très bonnes artistes.

* *

Nous n’avons rien à dire de la reprise des
Chevaliers du Brouillard, drame en cinq actes
et dix tableaux, de MM. D’Ennerÿ et Bourjet,
l’excellent M. Duquesnel, ayant totalement ou-
blié de convier. le, Grelot à cette résurreetion.
Fi 1 le vilain l

Nous en reparlerons, s’il y a lieu, lorsque le
directeur voudra bien nous mettre à même de
le faire.

JULES DE LA VERDRIE.
--:—

GRELOTS

M. Thiers a dit un jour, parlaut du com'e
de Paris :

— De loin, il a l’air d’un Allemand, et de
loin, d’un imbécile.

— «-»—

Savez-vous pourquoi je no peux plus souf-
frir les Anglaises?

G’est parce que dernièrement Lady-Arrhée
et, plus récemment, Lady-Sssenterie m’ont
frop fait souffrir 1

—«-» —

Demande d’emploi :

« Une dame veuve, moyen-âge, elc. »

En voilà une au moius qui ne cherche pas
à se rajeuniri

-((-))-

Une question du brav’ général :

— Dites donc, Rochefort, puisqu’il fait noir
la nuit, pourquoi dit-ou passer une nuit
blancbe?

— «-»—

Après une longue séparation :

— Ah! vous voilà, ma cbère. Et qu’ètes-
vous devenue depuis le temps....?

— Je me suis « suissidée ».

— Gomment, suicidée....?

— Mais oui, j’ai épousée un Suisse?

-«-»-

A l’enterrement d’nn disciple de Bacchus :

— II s’est éteint bien doucement.

— Oui; mais de son vivant, comme il s'al-
lumait vite I

Triboulet.

GRELOTS'FINANCE

La Bourse a passé par deux pbases bien
dislinctes: l’une de bausse, l’autre de baisse.
Tout d’abord, elle promettait mieux, en effet,
que çe qu’elle a tenu. Fonds d’États et valeurs
ont eu des cours supérieurs, pour là plupart,
à ceux de la précédente semaine.

Un moment, les demandes ont paru même
l’emporter, quand des ventes se sont abattues
tout à coup sur le marché suscitant un
moment d’émoi parmi les acbeteurs.

II est vrai que cette alerte a été de courte
durée, et que des demandes se sont produites
en quantités suffisantes pour enrayer cette
brusque réactiou ; mais la cote porte encore les
tracesde cesventes précipitées, auxquelles on
élait loin de s’attendre audébut de lasemaine.

Gette impressionnabilité dumarché ne nous
surprend nullement. Orienté à la hausse
comme il l’est depuis plus d’un mois déjà, il
es-t exposô à des défaiilances, voire mème à
des chutes graves. Ge n’est pas que de grosses
préoceupations aient surgi tout à coup; mais
comme les meneursdu mouvement de bausse,
grisés par leurs derniers succès, ne surveil-
laient plus avec la mèine attention les cours,
que le cercle des transactions s’était beaucoup
rétréci, les baissiers ont profité de cette étroi-
tesse du marché pour tirèr parti de queiques
rumeurs venues du dehors.

Ainsi ou a parlé de nouvelie mesures de
rigueur qu’allait prendre le gouvernement al-
lemand en Alsace-Lorraine, de iroubles en
Macédoine, que sajs-je encore? Bref, le recul
des valeurs ottomanes a entrainé celui de
que’ques valeurs, notamment de nos fonds
publics. L’Italien s’est comporté comme nos
Reutes. Le Turc 4 0/0, plüs agité, clôture en
baisse', et la Banque Ottomane en réaction. En
revanche, l’Extèrieure et le Portugais accusent
uue légère avance.Les valeurs de crédit n’ont
pas subi de modifications très appréciables,
non plus que les cbemius, tant trançais qu’é-
trangers.

Le Panama se fait remarquer par sa reprise,
qui le fait clôturer mardi au cours de 280.

Aribl.

Ilsera répondu à toutes les demandes de
renseignements ünanciers, soit par lettre,
soit par la vole du journal.

- » -

BIBLIOGRAPHIE

Les Mémoires de M. ***, Juge d'instruction,
viennent de paraître çhez l’éditeur Jules Eévy.
C'est un livre intéressant à plus d'un titre, bourré
de faits et d’anecdotes. Les habitués du Palais y
retrouveront aisément maint et maint typeconnu
d'eux, et ceux qui ne sont point initiés pèné-
treront les mystères des cabinets d’instruction.

L’auteur fait un attachant récit des affaires
dont il s’est occupé et ne dédaigne pas de mar-
cher quelquefois dans les pla es-bandes de ses
çollègues.

Le public, qui ne sait pas toujoyrs ce qui se
passe chez Thémis, sera très étonné en appre-
nant la façon de faire de certains de ses servants.

Les Mémoires de M. ***, Jugc d’instruetion,
sont expédiês franco contre 3 fr. 50 en mandat ou
timbres-poste à M. Jules Lévy, éditeur, 2, rue
Anioine-Dubois.

Vient de paraitre cbez l’éditeur Jules Lévy, La
M'ere Nom de Dieu, par Eugène Mürer.

Ce volume de nouvelles, qui fera sensation dans
le monde littéraire, est l’histoire d’une brave
femme, La Mère Nom de Dieu, dont les malheurs
intéresseront tout le monde.

Ecrit dans un style co’.oré, d’un réalisme vrai
sans ètre forcé, cet ouvrage passionnesans écœu-
rer et force à le lire sans s'arrèter jusqu’à la fin.

La Mère Nom de Dieu est envoyéelranco contre
3 fr. 50 en timbres-poste à M. Jules Lévy, éditeur
2, rue Antoine-Dubois.

Le Musée Grévin vient d'enrichir ses souter-
rains d’un nouveau tableau représentant la Cour
d’assises au moment où le verdict va ètre pro-
noncé. Cette scène imposante complète les émou-
vants épisodes de {'tlistoire d’un erime, dont la
décoration vient d'ètre entiêrement refaite par
M. Ménessier.

Puisque nous sommes à la galerie du boulevard
Montmartre, signalons également le succès, cha-
que jour granaissant de l’orchestre des dames
bongroises, dont l’exquise musique est, en ce
moment, un des attraits du Musée Grévin.

nnfrpn sur hypothèques. Achnt de nu-propriét.
lUuiu usul'i'uits, succcssion* échucs. Gérance
d’immeubles. G.Jolivet. 67, rue de Rivoli. PARIS.

MALADIES SECRETES ECDUIEIVIFNTSlUICERES, DARTRES

NOUVEAU TRAITEMENT

du nr;n||E:&|IIT fVlédecin de la Faculié de Paris.
D r rCuiiLNb I Membre de Société Scientiflques<
Guérison reconnue la plus prompte et seuie
radicale certaine (suite d’expériences comparatives pai*
une commission des plus célèbres Médecins spécialistes)•
Consult. gratuit, midi à 7 li. ou écrire Paris:, 5, rue des Hallea

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bles. 5 0/0 l’an—et sur hypolhc<|ucs. unurfruit*,
uu-propriétés, titres dotaux, (discrétionl. E.e
Slandutuire, 7, rue de l’Isly. Paris. (12 e annee).

IOO 0BîVeMH»t»E8 CORUÎÇUE»

assortiei, illuotréea par Pépin

Modèles variés. — Expédition franco contre
1 fr. 25, timbres ou mandat, adressé au bureau
du ffrelot

Véritable CANET-GIRAKD
VrJL tl vr U Xlltl JL GUÉRISON PROMPTF (les
Plaies, Panaris, Ulessures de toutes sortes—Pm :* fr.
(Envoi parla poste, aff. 0.20),Paris rM‘. de.sOrfèvres, 1’!/’’ VKKITi
 
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