Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Überblick
loading ...
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
LE GRELOT

FEUILLES AU VENT

Une idée d'artisse.

Nous disons « artisse » pour de bonnes rai-
sons qu’on va voir.

Les organisateurs de l’Exposition de 1889
ont voulu mettre au concours le dessin du di-
plôme de récompenses qui seront remis aux
exposanls mériiants.

Les dessins envoyés à ce concours viennent
d'ètre exposésau public. L’un des concurreûls
a imaginé de représenter comme suit l’acti-
vité industrielle bumaine à travers les âges. II
a mis au premier plan de son esquisse uu
bomme en coslume romain portant sous son
bras une locomotive.

Si ce n’est pas là une idée d’artissel... Et
nous parierions volontiers que si cet artisse —
ce qui est probable — n’obtient pas la préfé-
rence, il prétendra qu’il est une « viciime du
népotisme ».

On dit, que le prince de Galles, qui touche,
comme héritier de la couronne et en qualité
de duc de Gornouailies, iasomme anuuelle de
2 millions 730,000 francs, dée are qu’il n’a pas
de quoi vivre et qu’tl va demanderà la Cham-
bre des communes une augmentation d’émo-
luments.

La Ghambre des communes s’empressera
certainement d’accorder au futur roi d'Angle-
terre ce qu il demande, sachant de quelle
manière intelligente et noble il dépense son
argent.

Tout le monde sait, en effct, que 1« prince
de Galles vit très inodestement, très sobre-
ment, et que, quand il dépensj son argeut en
voyages nombreux et coûteux, c’est dans le
seul intérêt de l’Angleterre.

Douville.

-«*__-

THÉATRES

Variétés. — La Japonaise, comédie-vaude-
ville en trois actes de MM. Emile de Najac et
Albert Millaud, représentée l’autre soir au
théâtre des Variétés, n’a pas obtenu le succès

retentissant auquel s’attendaient sans doute
les auteurs qui l’ont écrite et l’artiste pour
laquelle elle a été spécialement écrite.

La pièce n’esten elle-même qu’un pasliche
du livrel bien connu du Domino noir et l’his-
toire assez peu drôlement narrée des suites
d’une escapade d’une femme du monde qui
esl allée au bal coslumé, malgré la défense de
son inari.

La Japonaise n’a évidemment d’autre pré-
tention quedemettre une fois de plus en re-
lief les taients multiples de Mme Judic, et de
nous présenter Tartiste sous toutesses forines
et sous toutes ses faces.

On y voit successivement :

Judic en femme du monde.

Judic en femme du quart de monde, — en
japonaise, échappée des « côteaux fleuris ».

Judic s’évanouissant ; se faisant chatouiller
le dos ; Judic en corset ; Judic escaladant un
mur.

Judic grisé de kirsch ; Judic en robe de
chamb e masculine; Judic au lit, etc., etc.

Aimez vous le Judic ? on en a mis partout.

Le public n’a pas trouvé qu’ily en eut trop ;
il s’est contenté de montrcr qu’il en trouvait
assez.

II y a dans chacun des trois act s de la Ja-
ponaise queiques scènes asstz amusantes, et
par-ci, pai-là, quelques joyeux couplets, mais
l’ensemble a paru assez terne et nous ne
croyons pas à un succès bien durable.

La Japonaise est sufflsamment jouée par
MM. Raimond, Barral, Lassouehe et Mile Len-
der.

Opéra. — Mme Adélina Patti, sur la dt-
mande des directeurs de l’Opéra, donne dé
cidément quatre leprésentations de Roméo et
Juliette.

Ges quatre représentations sont fixées au
mercredi 28 novembre, samedi l or décembre,
luudi 3 et vendredi 7 septembre.

De cet e façon,les trois catégories d’abonnés
pourront entendre la diva,et la représentation
du samedi permettra en outre à la direction
de mettre la salle entière à la disposition du
pubüc non abonné.

M. Gounod conduiral’orchestre au trois pre-
mières répétitions.

Bouffes-Parisiens. — Le direcleur des

Bouffes fait annoncer les dernières représen-
tations d 'Oscarine.

Avis aux retardataires.

JüLES DE LA VERDRIE.
- 4, ...-

GRELOTS

On parlait, devanl un académicien, d’un
homme qui s’élait jeté du haut eu b' ,s de la
coionne Vendôme.

— Sapristi, dit-il, tombant de si haut, il dut
tomber bien bas.

—«-»—

Partie de dominos :

L’un des joueurs esl très embarrassé du
plus gros des doubles.

Eniin, une porte s’ouvre, et il s’écrie :

— Filez ! mon beau six !

—< •»—

Nos mendiauts.

Un aveugle lend la main aux passants, et
d’une voix brisée :

— Ayez pitié d’un pauvre aveugle, père de
dix orphelins I

Les sentences de Mme Pitanchard :

On annonce à celte estirnable per=onne la
mort de la petite dame du cintième.

— Qa nem’étonne pas, dit-elle; ça devail lui
arriver un jour ou l’autre.

—«-»—

On passc des auditions au théâtre des....

Une jeune fille se présente :

— Monsieur, je viens pour doubler volre
étoile.

-- Vous avez déjà chanté, mademoiselle ?

— Non, monsieur, mais je suis.... coutu-
rière.

Tkiboulet.

GRELOTSFINANCE

Si les transactions sont restées caltnes, les
cours.en revanche,out témoigiié d’une remar-
quable fermelé sur nos fonds uationaux.

L’Italien reste dans un état de délaissement
qu’expliquent surabondamment la mauvaise
impression produite par la politique Cri-pi et
la déplorable situation financière de l’Italie,
aui se trouve réduite à se résigner au déficit
chronique ou à des expédients du genre du

rétablissement de l’impôt sur la mouture ou
de l’aliénRion de la propriété des chemins de
fer de la HauteTtalie etdesGhemins Romains,
dont l’exploitation a déjà été négociée.

Les fonds russes demeurentles mieux tenus
sur le marché des tentes étrangères. La cause
s en devine facilement : les dernières formali-
tés qui pouvaient retarder la conclusion, sur
nolre place,du prochain empruut,sont aujour-
d hui accomplies. L’ukase a été signé le 21
courant et,sur l’ordre du czar, la souscription
fixée d’abord ru 6 décembre, jour de la fète de
Sainl-Nicolas a eté renvoyée ;iu 10 du même
mois. L’emprunt serait concédé à 83 1/2 0/0.
La répartition des 417 1/2 millions que rece-
vra le gouvernnnent russe s’établirait ainsi :
eonversion de l’emprunt 1877 o 0/0 : 321 mil-
lions 728,000 francs ; c inversion de l’emprunt
intérieur 8 0/0 1887. 20 millions; soldes à re-
cevoir en espèces, 98,800,000 francs. On ajoute
que les placements qui se feraient en or se-
raient échelonnés jusqu’en juillet 1889.

L’é nission est decidée sur la place de Ber-
lin et se fera aux guichets des banques Men-
delssohn et G c et Maschauer. Lesyndicat sera,
d’ailleurs, international. D’après une dépèche
adressée au Temps. l’emprunt serait ainsi ré-
parli : France, 2"5 millions; Saint-Péters-
bourg et Berlin, 178 millions; Londres et Am-
sterdam, 50 millions.

La conversion russe n’est p»s la seule qui
apparaisso à l’horizon. On parle aussi de la
cooversion delaDelte privilégiée d’Egypte,
et d’un prochain emprunt espagnol 4 0/0, qui
serait émis à 87 francs. Mais tout cela est en-
core à l’étatde projet. Au contraire, la conver-
sion hongroise vient d’ètre votée par laCham-
bre de Bùda-Peslh.

Ariel,

llsera répondu à toutes les demandes de
renseignements financiers, soit par lettre,
soit par la voie du journai

-UATIO.N

Ej P Brâ UUfcKISON ,c

WBr m W Hi ■ ■ Consultatxons det i d 4 h.

OU PA R.CORRtgpON DANCB

« Je suis très heureuse de certifier que j’ai été
« guérie à !a maison de sante Cabaret d’une
« tumeur caneéreuse du sein. » —Mme VJimant,
Carrière-sous-Poissy (Seine-et-Oise).

Véi; iub,e CANET-GIRAfiD
I *»J|F lïrJ GUÉRISON PROMPTE de*

Plaies, Panaris, Blessures de toutes sortes— Pm fr.

^Envoi par la poste, aEF. 0.20), Pari* 4 r. desOrfèv res.Ph'* VERITI

IO0 cds^tQU&i

assorlit s, tlliistrées par Pépin

Modèles variés. — Expédition franco contre
1 fr. 25, timbres ou mandat, adressé au bureau
Ju Ortlot.

21WiTeftWP ri,e <l<1 I* ré- uux-Cierc«, 9 et II.

l!lAluUllU| Hev. br. 9.545 et 8.540 fr., m. à pr. :
75.000 et 65.000 fr. à adj. s. 1 eneh. ch. des not. de Paris,
lell décemb. 88. S’adr. M. FONTANA, not., 10, r. Royale.

VERRES PRODIGIEUX

T*ns d'autres Tttaisone
60, Uuc de la Chanssée d’Antin, Paria.

Mrnftin lül iin par les portes et croisées.

IllUlU ni Ala Pose de BOURRELETS
INVISIBLES, PLINTHES, JACCOUX, 37, rue l’Echiquier.

NMMUE DERSATIQSEI0ELDI

ÎCette Poœnade goérit les Bosteoa,
ftonfteon Sémtatetlsoas,
l'Acae, Xcméma, BoHfSS,
Isrpis.Himorroïdss, PelU-
ealea, slosique toutes ■slsdiM Itltpea
Klle srrète li Chnte dts Ctoe,
tt des CIU el let fait repoosssr.

« Vontitur, rofre Pommnto m>»
« oomplétomont (uirl d* f ElHw,
« (ul mt oourrtlt tout I* tront st ess
o purtln 6» rlt»(t iu-Sflttsi Ses/sss
« Sl tout I» ntz. e DÜSSTJT.

, CotnntflMlie ipéeUl d« Potoee
nuMR , !■■, ,n P.rtflui (Frrntfll-Orint) •

« Ktttlnr, m, m’trtz (uirt Cunt Holtdls ds Psaa,
tlttupptrttklt pttjt tol(ntlt tn t,in dtpult quitrt ttt.

< UBHAlvS. baUatei à Sunaén* (QaréJ

ItnotieMdio, PtLULES PURIATIVES & DlPURATIVES
' ■0KS8OB-R5DULIH. — 2 tr. le pot, eavot friaM par ptcls.

' - ‘ i’Wciaoica

PACEDEO FHDTC nci A DIIC 31 Médailles et Diplômes d’Honneur-, hors Concours.

yUrrnCd^rUn I d UCLAHUC 127, B° s^bastopcl. c."i:. K\j...1 -i.

A.

PEDRAZZETTI

Breveté s. g. d. g. en France et à l’Etranger

16, boulevard du Temple, 16, Paris. — Maison fondée en 1824

HYGIÈNE, ÉLÉGANCE, ÉCONOMIE, PROPRETÉ

Cet appareil est sans contredit le meilleur chauff'age qui existe jusqu’à ce jour;
tout en produisant une grande quantité de chaleur, son enveloppe extérieure n’a pas
l’inconvénient de brûler par son contact ies objets qui peuvent la toucher, et la
chaleur produite est douce. 11 fonctionne de 12 à 14 heures avec du coke n° 0 sans
avoir besoin d’être rcchargé, pouvant marchcr tout l’hiver sans être rallumé et sa
construction intérieure, à double enveloppe, consume entièrement les pruduits de
la combustion. — 11 peut être placé partout, sur des parquets ou des tapis, sans la
moindre craiute de danger; il se roule d’une chambre à une autre et peut même
chauffer deux pièces à la fois au moyen d’une bouehe de cbaleurque l’on y adapte.
— Ce calorifère étant muni d’une soupape, permet d’en régler la marche à volonté.

PRIX : Garniture nikelée, N° 1, 90 francs. — N» 2, 100 francs.

CALORIFÈRE HYGIÉNIQUE

Aveç ou sans tuyau, fonctionnant 12 heures sans renouveler le combuslible, pou rant se rouler

dans toutes ies pièces sans danger.

PRIX : N° 1, garniture cuivre, 90 francs; — garniture nikelée, 100 francs.

2 » 110 » — » 125 »

3 » 130 » — » 150 »

f 41 AR1 Prfi F ÏIP fJlî/I? d’un système particulier tenant moins de place que tout ce qui existe
1° LALUIUl'Mlïj ilij tAïiljusqu’ici, coùiant moms cher, procurant une économie de 40 % en
produisaot autant de chaleur, et ayant de plus i’avantage de pouvoir se déplacer à peu de frais, étant
établis sans maçonnerie. — De» 'calorifères de ce système sont établis à la poudrerie nationale
de Sevran-Livry, à l’administration du mont-de-piété, etc.

2o CAL9R1FÈRES A VENTILATION séchoiirs, etc.

iPPlRFIF Ç \FrtITl/|’l IjV (Système Pedrazzetti, breveté) pour fumigations à air chaud aro-
3° MTiUlMLlJ llUL VilALA matisé, donnant des résultats des plus satisfaisants et appelés à
rendre de grands services par les moyens qu’iis offrent de pouvoir prendre les diverses soites de
fumigations prescrites soit en temps d’épidémie, ou pour la goutte, rhumatismes, etc.

FATiniVlrUlY PD f fllïilVIï 1 portatifs, économiques, de toutes dimensions, à four, depuis

4" iULlUlijMJA llll MJIôliVii 16 francs, et les HII IIVKUA DE (OXSHllC■ ÎON.

A. PEDRAZZETTI, Drdv. s. g. fl. g. France et étranger, 16, DouIe\ard flu Temple, 16, Paris- - Maison tonûee.enl824

°prix 5 f rs

^ l:nv(h fhascq

CONTRE MANDAT-POSTE

füT- |L

SUSPEMSOIRMILLEMETi

élastique sans soue-cuiBPe, 2 fr 50 gj»
Exiger le cachet de l’ini enteur ÎÜ

BANDAGES iimsibles. BAS ^varicos, 8f.

Milleret, LE G0NIDEC-S r 49p roej. j .&

aHsS

AVAdLABARTHE

ICe nouveau médicament, bien supérieur
I au Cubèbe. Copahu. Santal. Gurjum. etc.
fagréable à prendre, excitant l’appétit, ne
/atiguant pas l'estomac, nedonnantni renvois,
ni diarrhée, ni constipation ; ne communiquant
aucune odeur aux urines; supprime, dés le
le second jour, la douleur pendant la
{ miction, et guérit radicalement l'écoule-
lment le plus învétéré, récent ou ancien,

\Blennorrhagie, Goutte militaire, etc.

\Envoi franco d'un Flacon, s franci

SANS ETIQUETTE APPARENTE

, DépCt : ROCHER (ci-deyant rue Perrée),
actuellement lX2,rue Turenne, Taris,et toutes Ph le*

— — Prompte solution. PHILIPPK,

ïl 1 M *1 R S. F jurisconsulte spécialiste, 14,
mm I W w 11 w rue de Marseitle. Paris.

m V'ARiCES DALPIAZ

BREVETÉS S. G. D. G.

HAS TOVT PAllS ET SVR MESVRE

.Ces bas à Élastlclté la-
térale, dont la souplesse
surpasse tout ce qui a éte
'u falt jusqu’à ce jour, pos-
sédent en môme temps une
force de compression qul
ne laisse rien à déstrer et
îls procucent un soulagement
îmmédiat.

PRIX DES BAS DALPIAZ

COTON

s011

CUAUS.^ETTS . .

..Fi J

6fr.

10 fr.

BAS ORD

.. F i 0

10

18

BàS avrc gexoo..

..FiS

16

25

BtS AVàG cmssi..

..F à U

20

30

MOUET.


8

12

«SOÜILLlRB....

.0 à N

6

10

CültoTliR S ABDOMIItmS <ic

16 4 18

40 à 50


Lea la,iu, wctra aubiasent augmentatûm

In «nmyant aa maadat-,oste à la Pb“ DALPIAZ,

275,Rue Sf-/fonoré,onreeevrâl0s baafraaco.

VOIES

__ rjy wkdh wsi—g Traité du L) r GÜEURY-DU VI ViKK Rélrécissemcnl, impuis-

kl B |Tkj| Jtm ■ sance, onanisme et ses suiles, affect. secrètes, etc. Guérison et

JL JL n&Ai JL JL pré.terT. 500 pigîoofig. 3.-7, bd Sèbastopol.2 * 4 h. et par corr.

Powr inpriner Mbablaie, mu awcww apprewtiMafe,

de X à 10,000 Exemplaires, Écriturt, Hw, Deulai, Muitte, etc. etc.
tracés sur papiercomme à l’ordinaire, ou avec Caractère*.

Coutaune dam une jolie botte

IMPRIMERIE A CARACTÈRES OgFR.

te à cassei.— COO lettres, chiffres; aceessoires et instroction. “ “

Maisons RAGUENEAU & PAUL ABAT réunies

6 AC 7, RUE JOQUELET (Piit la iioisd - pawi

■i*ério»#M pobllowoc. Rwvoii 4m Fr>i>Mfi •< IpéoiBiowi frsitt.

INJECTION TANNIN FOURQUET

Guêrit MÆLADIES SECRÊTES RÉCENTESoulNVÉT£RÉESen3jours;25ansdesuccès.Da«sfOM<«sfcsPàamacies.
FOURQUET, 29, r. des Lombards, Paris (A LA BARBED’OR).Envoie 1 ü. franco contre3f60

ESSENCE

ûe SALSEPAREILLE

Humeurs, Acreté du Sang, Dartres, Bowtons, Virus, etc. 3 fr. Ie flacon, 15 fr. les 6 flacons.
FOURQUET, 29, Rue des Lombards, .F'i'.HIS (A LA BARBE B’OR) et dans toutes li,s Pharmacies.
l’ESSEISrCB XOIDXJEÉiE 50 le 11.18f. les 6 fl. Expédie 6 fl. franco d’emballage.

COFFRES-FORTS DELARUE

31 Nlèdailles et Diplômes d’Honneur, hors Concours.

127. B° SEBASTOPOL. ■-Comniission-Exporlation.

Eecùonae la plu EAPIDB et la plu ICRB iu M

MÂLÂDIES SECRÈTES IES DEUX SEXES M

Aiïectlons de la Psau, Vlces iu Sang. etc.

(fiüUifritHii). dftsUtaüsfti : 2 tr. Kll H IIÜIES »B KBIIL - hjflrt firtn - Mu Wt liitm - Ï1 PirU ItiBw, ift, fti - 55, HUH IftEWETâ, fkftII

GUERISON

SPÉCIALISTE

Paiis. — Imprimerie V« HUGONIS, 6, rue Martel.

Le Dirccleur-Gir&nt : J. MA.DRE.
 
Annotationen