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appergut les Furies , qrf<dpoll0n avoit endormies pour
soulager un inftant le trop malheureux coupable\ quelle
nit le jeune Prince lui me me encore tout degontant de
Jang \ alors fborreur, dont ellefut faisie, devint si forte,
que, renongant a la pensee de/aire obtenir la reponse a
ceux qui etoient venus confulter le Dieu, elle lui dec la-
ra, qu* elle abandonnoit pour toujours le Join 8? la gar-
de de son Temple, & nesongea qu" a prendre la fuite®*
Nous Jommes obliges d" obferver, que, comme dans
cette Planche, ainfi dans la XL de ceVolume, dans la
VIII. IX. & XXVIII. du premier Volume, c'eft Apollon
lui me me, G? non pas la Pytbonejse, qui del fare les or a-
cles. Cela eft d'accord avec ce que dit ^escbyle dans les
Eumenides, vers 17 S? 18; le vers 213 du Plutus d"^4ri-
Jiopbane peint Apollon precifement comme on le wit dans
cette Planche avec une tranche de laurier:
,, le confois quelque bonne efperance de certaines
,, chofes, qu\dpollon m" a dittes agitant fon laurier.
Planche 17. ) Les trois sigures , qu'offre cette Plane be
ont ete copi&es d" un Tableau, qui en contenoit plusiurs
autres \ ainsi il eft impqjjible de donner s explication de
ce sragment \ on ne pent que deviner le lieu de la Scene.
le crois, quelle se pajse a Hamaxitas, Ville de la Troade,
dont les habitants nourrissoient , apprivoisoient , ado-
roient des S our is. Cet animal s'appelloit, dans leur lan-
gue, S mint ha, d" ou eft venu a Apollon le furnom de
jSminthien, parcequ'ilavoit dans Hamaxitas un Temple,
dans lequel on voioit une Souris reprtsentee aupres du
trepied(bh, dans Chrpa ville voisme d" Hamaxitas, St ra-
don
(a) Etfmenides v. 33 ; 60 Sc 6jt (b) Aclian. L. XII. C. V.
appergut les Furies , qrf<dpoll0n avoit endormies pour
soulager un inftant le trop malheureux coupable\ quelle
nit le jeune Prince lui me me encore tout degontant de
Jang \ alors fborreur, dont ellefut faisie, devint si forte,
que, renongant a la pensee de/aire obtenir la reponse a
ceux qui etoient venus confulter le Dieu, elle lui dec la-
ra, qu* elle abandonnoit pour toujours le Join 8? la gar-
de de son Temple, & nesongea qu" a prendre la fuite®*
Nous Jommes obliges d" obferver, que, comme dans
cette Planche, ainfi dans la XL de ceVolume, dans la
VIII. IX. & XXVIII. du premier Volume, c'eft Apollon
lui me me, G? non pas la Pytbonejse, qui del fare les or a-
cles. Cela eft d'accord avec ce que dit ^escbyle dans les
Eumenides, vers 17 S? 18; le vers 213 du Plutus d"^4ri-
Jiopbane peint Apollon precifement comme on le wit dans
cette Planche avec une tranche de laurier:
,, le confois quelque bonne efperance de certaines
,, chofes, qu\dpollon m" a dittes agitant fon laurier.
Planche 17. ) Les trois sigures , qu'offre cette Plane be
ont ete copi&es d" un Tableau, qui en contenoit plusiurs
autres \ ainsi il eft impqjjible de donner s explication de
ce sragment \ on ne pent que deviner le lieu de la Scene.
le crois, quelle se pajse a Hamaxitas, Ville de la Troade,
dont les habitants nourrissoient , apprivoisoient , ado-
roient des S our is. Cet animal s'appelloit, dans leur lan-
gue, S mint ha, d" ou eft venu a Apollon le furnom de
jSminthien, parcequ'ilavoit dans Hamaxitas un Temple,
dans lequel on voioit une Souris reprtsentee aupres du
trepied(bh, dans Chrpa ville voisme d" Hamaxitas, St ra-
don
(a) Etfmenides v. 33 ; 60 Sc 6jt (b) Aclian. L. XII. C. V.