GELÉE.
09
Une Frisej d’après Jules-Romain.
La Procession de la Ligue, g. p. t.
L’Assassinat d’Henri IF. g. p. t.
Sacrifice dans le goût antique > d’après M. Freminet,
Mariette excud. , et sans nom du graveur.
Les Cyclopes forgeant la foudre. J. Cousin. Léonard.
Galteryhcû. i58i. g. p. t.
Le Couronnement de Marie de Médicis. L. Gaultier
sc. 1610.
Nombre de Portraits datés de 1611 4 1613 , i6i5,
1617, etc.
GELEE dit le Lorrain ( Claude ) , peintre ,
né à Toul en 1600, mort à Rome en 1682.
Sans disposition pour rien, au moins en ap-
parence , il fut mis chez un pâtissier qui le
renvoya, n’en pouvant rien faire. La misère
et le désœuvrement, le conduisirent en Italie
dont il n’est jamais revenu; il entra comme
serviteur chez Aug. Tassi. qui n’eut pas une
médiocre peine à lui enseigner les premiers
élémens de son art. A force de travail et d’as-
siduité, sestalens se développèrent; la réflexion
qui s’y joignit, l’étude approfondie des effets
de la nature , et du jeu de la lumière ; plus que
tout cela, sans doute, le sentiment duÆezzzz qui
se trouvait en lui, achevèrent une éducation pit-
toresque véritablement extraordinaire, et mon-
trèrent des talens dont il fallait bien qu’il eût
09
Une Frisej d’après Jules-Romain.
La Procession de la Ligue, g. p. t.
L’Assassinat d’Henri IF. g. p. t.
Sacrifice dans le goût antique > d’après M. Freminet,
Mariette excud. , et sans nom du graveur.
Les Cyclopes forgeant la foudre. J. Cousin. Léonard.
Galteryhcû. i58i. g. p. t.
Le Couronnement de Marie de Médicis. L. Gaultier
sc. 1610.
Nombre de Portraits datés de 1611 4 1613 , i6i5,
1617, etc.
GELEE dit le Lorrain ( Claude ) , peintre ,
né à Toul en 1600, mort à Rome en 1682.
Sans disposition pour rien, au moins en ap-
parence , il fut mis chez un pâtissier qui le
renvoya, n’en pouvant rien faire. La misère
et le désœuvrement, le conduisirent en Italie
dont il n’est jamais revenu; il entra comme
serviteur chez Aug. Tassi. qui n’eut pas une
médiocre peine à lui enseigner les premiers
élémens de son art. A force de travail et d’as-
siduité, sestalens se développèrent; la réflexion
qui s’y joignit, l’étude approfondie des effets
de la nature , et du jeu de la lumière ; plus que
tout cela, sans doute, le sentiment duÆezzzz qui
se trouvait en lui, achevèrent une éducation pit-
toresque véritablement extraordinaire, et mon-
trèrent des talens dont il fallait bien qu’il eût