RE VILLE. — RIBERA. 423
Bains arabes à Gironne.
Vue de la porte de Serranos „ à Valence.
Vue de la place du Marché à Serranos.
Intérieur de la bourse, à Serranos.
Deux vues générales du théâtre de Sagonte.
,/lrc de triomphe de Cabanes,
Vue d’un tombeau antique, à Dayemas.
Vue du temple de Diane.
Pi "entière vue de l’intérieur de l’alcazar de Séville.
Tombeau du Cid, à San Pedro de Cardenas.
Pi •entière vue du château de Coca.
Monumens de la France, par Delaborde.
Vue des arènes de Nîmes .. Bourgeois..
Vue générale de l’arc de triomphe et du tombeau de
Saint-Rémi Bourgeois.
Pue de l'arc de triomphe du pont de Saintes. Devize.
Portique du théâtre de Vienne ........... Bence.
Arc de triomphe à Cavaillon ............ Bence.
Deux vues de la même ville Bence.
Voyage de'Constantinople, par Melling.
Pue de la sortie du sérail.
Vue du palais de la sultanefavorite.
RIBÉRA, dit I’Espàgnolet ( Joseph ), peintre,
néàXativa, en Espagne, en 1589, de pareils
peu fortunés, fît nécessairement ses études
avec beaucoup de peine. Son caractère parti-
culier fortifia le goût qu’il avait pour la ma-
nière de Michel-Ange, de Caravage, qu’il sui-
vit de fort près. Il est mort h Naples en 1656.
Jésus descendu de la croix, étendu sur un linceuil,
Bains arabes à Gironne.
Vue de la porte de Serranos „ à Valence.
Vue de la place du Marché à Serranos.
Intérieur de la bourse, à Serranos.
Deux vues générales du théâtre de Sagonte.
,/lrc de triomphe de Cabanes,
Vue d’un tombeau antique, à Dayemas.
Vue du temple de Diane.
Pi "entière vue de l’intérieur de l’alcazar de Séville.
Tombeau du Cid, à San Pedro de Cardenas.
Pi •entière vue du château de Coca.
Monumens de la France, par Delaborde.
Vue des arènes de Nîmes .. Bourgeois..
Vue générale de l’arc de triomphe et du tombeau de
Saint-Rémi Bourgeois.
Pue de l'arc de triomphe du pont de Saintes. Devize.
Portique du théâtre de Vienne ........... Bence.
Arc de triomphe à Cavaillon ............ Bence.
Deux vues de la même ville Bence.
Voyage de'Constantinople, par Melling.
Pue de la sortie du sérail.
Vue du palais de la sultanefavorite.
RIBÉRA, dit I’Espàgnolet ( Joseph ), peintre,
néàXativa, en Espagne, en 1589, de pareils
peu fortunés, fît nécessairement ses études
avec beaucoup de peine. Son caractère parti-
culier fortifia le goût qu’il avait pour la ma-
nière de Michel-Ange, de Caravage, qu’il sui-
vit de fort près. Il est mort h Naples en 1656.
Jésus descendu de la croix, étendu sur un linceuil,