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https://doi.org/10.11588/diglit.910#0006
ij E PI T R E.
parut écouter avec-pUiftry<ë'Fous y intérefers aeft donc
à titre de reconnoijfance que je Vous la consicre. Cependant
je n'en difionviens. pas y il pourroit bien s'y mêler auïsi
un fecret mouvement d'amour propre. En publiant un
Ouvrage de cette efpgce , ileft'-naturel que Von cherche
de juftes Eftimateurs de fin travail ;& oèpourroisje
en trouver plus Jurement que dans une Compagnie comme
la Vêtre , à qui laleBure de ïOriginal eft fi familière
qui en connoït siparfaitement l'immenfe érudition & la
richejfe s mais qui siait auffi de quelles ténèbres il est
enveloppé^ &' combien'U eft difficile a bien rendre en
une Langue qui ne foussre rien d'obfcur ?
■ Véritablement d'un autre cê'téje devrois redouter vos
lumières s des yeux auffi'perçans que les vâires découvrent
bien des manqûemens ydes défauts qui échappent au corn-
mundesLeBeurs£ette grande capacité que j,eVous connais,:
eft juftement ce qui doit me faire craindre de n'avoir pas.
rempli toute votre attente y &T- fur-tout que Vous ne:
soyex. pas pleinement satisfaits des T^ern arques dont jav
accompagné le Texte.. Je siai que des hommes confom-
mez #n tout genre de Littérature ne font pas ai/el «
contenter, L'unsiavant Antiquaire y qui n'ignore nm
de ce qui regarde les Mmumens publics ,les Jnsiriptiont
&.les Médailles prouveraque /ai traitéfupérfciellemnè
parut écouter avec-pUiftry<ë'Fous y intérefers aeft donc
à titre de reconnoijfance que je Vous la consicre. Cependant
je n'en difionviens. pas y il pourroit bien s'y mêler auïsi
un fecret mouvement d'amour propre. En publiant un
Ouvrage de cette efpgce , ileft'-naturel que Von cherche
de juftes Eftimateurs de fin travail ;& oèpourroisje
en trouver plus Jurement que dans une Compagnie comme
la Vêtre , à qui laleBure de ïOriginal eft fi familière
qui en connoït siparfaitement l'immenfe érudition & la
richejfe s mais qui siait auffi de quelles ténèbres il est
enveloppé^ &' combien'U eft difficile a bien rendre en
une Langue qui ne foussre rien d'obfcur ?
■ Véritablement d'un autre cê'téje devrois redouter vos
lumières s des yeux auffi'perçans que les vâires découvrent
bien des manqûemens ydes défauts qui échappent au corn-
mundesLeBeurs£ette grande capacité que j,eVous connais,:
eft juftement ce qui doit me faire craindre de n'avoir pas.
rempli toute votre attente y &T- fur-tout que Vous ne:
soyex. pas pleinement satisfaits des T^ern arques dont jav
accompagné le Texte.. Je siai que des hommes confom-
mez #n tout genre de Littérature ne font pas ai/el «
contenter, L'unsiavant Antiquaire y qui n'ignore nm
de ce qui regarde les Mmumens publics ,les Jnsiriptiont
&.les Médailles prouveraque /ai traitéfupérfciellemnè