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Perrot, Georges; Guillaume, Edmond; Delbet, Jules
Exploration archéologique de la Galatie et de la Bithynie, d'une partie de la Mysie, de la Phrygie, de la Cappadoce et du Pont (Band 1) — Paris, 1872

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https://doi.org/10.11588/diglit.4621#0392
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P. 5o. Peut-être la schola medicorum que nous mentionnons ne doit-elle pas se traduire par école, mais plutôt par

cercle des médecins.
P. 5a, n° 3a, il faut peut-être lire, au lieu de AÉOYAN, AÊOYAN, qui représenterait le nom latin Lœva, nom latin qui

serait analogue à Scœva.
P. 8o, note 4. Nous avons appris, après la publication de ces pages, que M. Mordtmann avait, dès i856, cru recon-
naître dans le monceau de décombres que nous avons décrit, p. 76-80, les restes du fameux temple d'Hadrien. Les
conjectures qu'il avait formées à ce sujet sont exposées, nous a-t-il écrit, dans le journal géographique qui se publie
à Augsbourg sous le titre de Das Ausland (n° 29, du 18 juillet i856, p. 686). Nous n'avons jamais vu cet article.
P. 88, n° 53, ligne 4, au heu de 0, lire 0.

P. 89, n° 56. Au lieu de irpey.a-rwp, on pourrait encore conjecturer Ti;p[£à\]x.àTwp. Cette transcription, au lieu d'être sans
exemple antérieur, comme celle de precator, serait justifiée par un passage de Jean Cantacuzène, Oral. 1, contra
Mahmet., ti; tyjç -ra^euç tûv irpe^ixaTOpcov, tîtoi tûv Kvjpuîuov.
P. 90, n° 58, 1. 6. La formule ê'arai aùxû i:poç tôv Oeo'v est très-fréquente à Eumenia de Phrygie. C. I. Gr., nos 3goa, 3890,

3980.
P. g4, note i,l. 1, lire BpuVXiavo; au lieu de BpiOOaavaô.

P. 115, n° 74, 1. 1. J'ai restitué M«T£i<ja. Il n'y a rien à ajouter. Le nom est complet; c'est Mareiç, nom de femme, qui
se trouve sur une stèle trouvée à Athènes, dans l'épitaphe d'une Pisidienne d'Oroanda. Il figure, d'après l'autorité
de M. Komanoudis, dans la 3e édition de Pape.
P. 119, n° 80, 1. 2, au lieu de Tïiv&è, lisez rrlvSe.

P. 125. Quelques erreurs se sont glissées dans la restitution que nous avons tentée d'une épitaphe déjà publiée par
Le Bas et recopiée par nous. EÎ.W î\j.%c, cTo'pyïi; ne fait pas, comme nous l'avions dit, un pentamètre faux : eïvexov pour
eïvenev est sans exemple ; enfin, 1. 6, il vaut mieux lire, comme a fait M. Waddington (Voy. arch., n° 77^), oï (xavue
(pour pîvus) xeifiàv^ « montre-lui », c'est-à-dire « rendsdui l'honneur dû aux morts ». C'est la mère qui parle, et ai
désigne la fille morte.
P. 237, 1. i4, au lieu de nw<jr,, lisez crucvi.

P. 264, les mots procuralori Dacias Porolisensis ont été oubliés dans la transcription en petits caractères du n° 146.
P. 268, n° i45. Voici les observations que M. Miller nous a communiquées sur ce texte : « L. 3, xoauya^co me semble
peu noble ici. A la place de cette conjecture de Kirchhoff, j'aimerais mieux îcïipuccM. L. 4- TqDtov [as est bien élégant
pour ce mauvais poète. Je crois qu'il a mis toutwv jas. Pùc-j est pour pCfsat. Avec toûtcov, je lirais, à la place d'àvojAiSv
qui est trop court, et qui d'ailleurs a l'accent sur la dernière syllabe, soit irapavop^x-wv, soit eîç g âSixïiu.ocTuv ou iot-
ë-/i[;.aTiov. Si vous vouliez conserver les leçons du monument lui-même, on pourrait lire : toùtôv ;xs pOcai tov [•koXK' -/îuap-
T7r/.oTa. Le verbe pOcrsi n'a pas besoin de complément; j'avoue cependant qu'au moyen âge il est plutôt suivi de l'indi-
cation de l'objet dont on veut être délivré. L. 18, je lirais -/i'Xov èx Tatpo-j, justifié par cwr/ip du vers suivant, que je com-
pléterais ainsi : èv <rô inyi--/) ûpa. Ces vers, comme il est facile de le voir, sont simplement dodécasyllabiques, et la seule
règle à observer, c'est l'accent sur la pénultième. C'est pour cela que je n'ai pas craint de vous proposer xTipûccu et
tôpa. La formule si fréquente dans le Nouveau Testament, èv tïj èc/aTT] 'ii;vipx, donnerait une syllabe de trop. »
P. 280, n° 1 5i, 1. 3. 0upiv n'est pas un accusatif de 6upl;, mais tout simplement une forme abrégée, très-usitée au moyen

âge, tv pour iov, Ôûpiv pour (Mpiov.
P. 281. Le n° i53 peut se lire avec toute certitude : oî eù"Xaëé<j-aT[oi | irpecêuTEpoi 'A-/.uX | loir, vl ®e6<ù\.~hoç, èv | Ôà<5e y.aTa'juvTai.

EùXaêèsTaToç était le titre donné aux évêques et aux arebimandrites, reverendissimus, venerahdissimus.
P. 194, au bas de la page, au lieu de tetrarchiam ex Galatia, lire tetrarchiam ex Lycaonia.

P. 355, dans l'explication de la planche XL1I1, à la première ligne du troisième paragraphe, lire : la mitre pointue,
cannelée, et portant à sa partie antérieure.


 
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