Universitätsbibliothek HeidelbergUniversitätsbibliothek Heidelberg
Hinweis: Ihre bisherige Sitzung ist abgelaufen. Sie arbeiten in einer neuen Sitzung weiter.
Metadaten

Perrot, Georges; Guillaume, Edmond; Delbet, Jules
Exploration archéologique de la Galatie et de la Bithynie, d'une partie de la Mysie, de la Phrygie, de la Cappadoce et du Pont (Band 1) — Paris, 1872

DOI Seite / Zitierlink: 
https://doi.org/10.11588/diglit.4621#0397
Überblick
loading ...
Faksimile
0.5
1 cm
facsimile
Vollansicht
OCR-Volltext
388 —

I

I

I

P. 5o. Peut-être la schola medicorum que nous mentionnons ne doit-elle pas se traduire par école, mais plutôt par

cercle des médecins.
P. 52, 11° 32, il faut peut-être lire, au lieu de AÊOYAN, AÊOYAN, qui représenterait le nom latin Lœva, nom latin qui

serait analogue à Scceva.
P. 8o, note l\. Nous avons appris, après la publication de ces pages, que M. Mordtmann avait, dès i856, cru recon-
naître dans le monceau de décombres que nous avons décrit, p. 76-80, les restes du fameux temple d'Hadrien. Les
conjectures qu'il avait formées à ce sujet sont exposées, nous a-t-il écrit, dans le journal géographique qui se publie
à Augsbourg sous le tilre de Das Ausland (n° 29, du 18 juillet 18SG, p. 686). Nous n'avons jamais vu cet article.
P. 88, n° 53, ligne 4, au lieu de 6, lire 0.

P. 89, n° 56. Au lieu de irpexafcop, on pourrait encore conjecturer •^[e^ijî'.aTwp. Cette transcription, au lieu d'être sans
exemple antérieur, comme celle de precalor, serait justifiée par un passage de Jean Cantacuzène, Oral. 1, contra
Mahmel., Ttç tyjç tâXuaç tûv TîpeSixa-i-o'pwv, tÎtoi twv xTipumov.
P. 90, n° 58, 1. 6. La formule ïa-ai aÙTiô ivpô; tôv Geo'v est très-fréquente à Eumenia de Phrygie. C. I. Gr., n05 3902, 3890,

3980.
P. g4, note 1, 1. 1, lire BpuXXiavo'ç au lieu de BpuTOaavcro.

P. 115, n° 74, 1- i- J'ai restitué Mxretaa. Il n'y a rien à ajouter. Le nom est complet; c'est Mareïç, nom de femme, qui
se trouve sur une stèle trouvée à Athènes, dans l'épitaphe d'une Pisidienne d'Oroanda. Il figure, d'après l'autorité
de M. Komanoudis, dans la 3e édition de Pape.
P. 1 19, n° 80, 1. 2, au lieu de TïivSè, lisez rviv^e.

P. 125. Quelques erreurs se sont glissées dans la restitution que nous avons tentée d'une épitaphe déjà publiée par
Le Bas et recopiée par nous. E'ive-/.' èpwî; cropy/i; ne fait pas, comme nous l'avions dit, un pentamètre faux : eïvexov pour
eïvsxev est sans exemple ; enfin, 1. 6, il vaut mieux lire, comme a fait M. Waddington [Voy. arck., n" 775), oî piavue
(pour [Avivue) TeijAav^ « montre-lui », c'est-à-dire « rends-lui l'honneur dû aux morts ». C'est la mère qui parle, et oî
désigne la fille morte.
P. 237, 1. 14, au lieu de ounï,, lisez aûcr,.

P. 264, les motsprocuratori Dacise Porolisensis ont été oubliés dans la transcription en petits caractères du n° 146.
P. 268, n" i45. Voici les observations que M. Miller nous a communiquées sur ce texte : « L. 3, /cpauyâ^u me semble
peu noble ici. A la place de cette conjecture de Kirchhoff, j'aimerais mieux joipuacu. L. 4- Toïï-rov pu est bien élégant
pour ce mauvais poète, ,1e crois qu'il a mis to'jtwv (/.e. Pùse est pour pûo-ai. Avec tcwtcov, je lirais, à la place d'âvopuSv
qui est trop court, et qui d'ailleurs a l'accent sur la dernière syllabe, soit TOxpavop,[Aa-™v, soit ds a âSuMifiaTcov ou âcs-
ê7ip-.âTov. Si vous vouliez conserver les leçons du monument lui-même, on pourrait lire : toùto'v <j.i tZaa.i tov [tco'XV vîptap-
TYi'xoTa. Le verbe pùo-ca n'a pas besoin de complément; j'avoue cependant qu'au moyen âge il est plutôt suivi de l'indi-
cation de l'objet dont on veut être délivré. L. 18, je lirais-JfXov h. Taçou, justifié par uw-^p du vers suivant, que je com-
pléterais ainsi : èv ttj ityô-Ti) «pa. Ces vers, comme il est facile de le voir, sont simplement dodécasyllabiques, et la seule
règle à observer, c'est l'accent sur la pénultième. C'est pour cela que je n'ai pas craint de vous proposer-/.-/ipûo-cw et
èpa. La formule si fréquente dans le Nouveau Testament, èv t?, layâr/j ^ppa, donnerait une syllabe de trop. »
P. 280, n° j 5i, 1. 3. Qopiv n'est pas un accusatif de Ûupîç, mais tout simplement une forme abrégée, très-usitée au moyen

âge, iv pour iov, Supiv pour Ôupiov.
P. 281. Le n° i53 peut se lire avec toute certitude : oî sù^aëc'c-i-a-i-foi | 7vpeo-ëu-£poi 'KvAl \ la; x.1 Qiéfiloç sv | Gatîs naxaxivTai.

EùiaëeVraToç était le titre donné aux évêques et aux archimandrites, reverendissimus, venerandissimus.
P. 194, au bas de la page, au lieu de tetrarchiam ex Galatia, lire tetrarchiam ex Lycaonia.

P. 355, dans l'explication de la planche XL1I1, à la première ligne du troisième paragraphe, lire : la mitre pointue,
cannelée, et portant à sa partie antérieure.


 
Annotationen