EN L’HONNEUR DE PHILIPPE DE LÉVIS (1473).
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mais la différence des encres n apparaît pas toujours dans le fac-
similé ; aussi croyons-nous devoir donner ici un relevé des correc-
tions faites jadis, ou restant à faire :
F. 1 v°, dernière ligné, .. .promerior. Lisez promereor.
F. 2, 1. 18. D’après une ancienne correction devenue illisible, il
semblerait qu’il faille lire : Tantos carminibus, correction que, du reste,
justifie l’acrostiche.
F. a v°, 1. 3 prestanti j|. Lisez : presiantis-1|,
F. 3, 1. 6-7. Un trait d’union a été ajouté pour relier les deux moi-
tiés du mot fracta. Cette particularité se retrouve en maints autres
endroits, quand la longueur du vers a nécessité la coupure du dernier
mot. — Dans ce même vers, lisez : pncipe [principe], et non pncipe.
F. 3, 1. i3 : magnns ë acta triü||phis, lisez : magnis ë aucla trium-
phis. — Cette correction a été en partie suppléée à la main.
F. 3, 1. i5 : ... belli tpa, le correcteur rétablit : tpe [tempore].
F. 3,1. 17 et 1. 18 : doms, phçbo, lisez dom9, pheb9. Notre imprimeur
ne possédait pas la ligature 9. Nous le voyons remplacer la syllabe us
tantôt par un c retourné (a), et tantôt par un o (ligne 19, moribo pour
moribus, et ailleurs). Quelquefois le correcteur a essayé de remédier à
cet inconvénient en ajoutant une queue à l’o pour en faire un 9 (fol. 4,
lignes 5 et 7).
F. 3, 1. 18 : Splcdor cadineus. Le correcteur rétablit le mot cardineus.
F. 3, 1. 19 : nescor, le correcteur rétablit neslor.
F. 3 v°, 1. i4 : copi j| do, lisez : cupido.
F. 4, L 3 : Ast erit ïmensi dutaxat amoris. Le correcteur supplée
ni- [nos 1er] amoris.
F. 4, L 5 : No quoquulo... Le correcteur écrit : quoquul9.
F. 4, L 7 '• Nô maribo spurco, sed uirto nubat lion... Le correcteur
écrit : Nö marib9 spure9, sed uirl9 nubat honori.
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mais la différence des encres n apparaît pas toujours dans le fac-
similé ; aussi croyons-nous devoir donner ici un relevé des correc-
tions faites jadis, ou restant à faire :
F. 1 v°, dernière ligné, .. .promerior. Lisez promereor.
F. 2, 1. 18. D’après une ancienne correction devenue illisible, il
semblerait qu’il faille lire : Tantos carminibus, correction que, du reste,
justifie l’acrostiche.
F. a v°, 1. 3 prestanti j|. Lisez : presiantis-1|,
F. 3, 1. 6-7. Un trait d’union a été ajouté pour relier les deux moi-
tiés du mot fracta. Cette particularité se retrouve en maints autres
endroits, quand la longueur du vers a nécessité la coupure du dernier
mot. — Dans ce même vers, lisez : pncipe [principe], et non pncipe.
F. 3, 1. i3 : magnns ë acta triü||phis, lisez : magnis ë aucla trium-
phis. — Cette correction a été en partie suppléée à la main.
F. 3, 1. i5 : ... belli tpa, le correcteur rétablit : tpe [tempore].
F. 3,1. 17 et 1. 18 : doms, phçbo, lisez dom9, pheb9. Notre imprimeur
ne possédait pas la ligature 9. Nous le voyons remplacer la syllabe us
tantôt par un c retourné (a), et tantôt par un o (ligne 19, moribo pour
moribus, et ailleurs). Quelquefois le correcteur a essayé de remédier à
cet inconvénient en ajoutant une queue à l’o pour en faire un 9 (fol. 4,
lignes 5 et 7).
F. 3, 1. 18 : Splcdor cadineus. Le correcteur rétablit le mot cardineus.
F. 3, 1. 19 : nescor, le correcteur rétablit neslor.
F. 3 v°, 1. i4 : copi j| do, lisez : cupido.
F. 4, L 3 : Ast erit ïmensi dutaxat amoris. Le correcteur supplée
ni- [nos 1er] amoris.
F. 4, L 5 : No quoquulo... Le correcteur écrit : quoquul9.
F. 4, L 7 '• Nô maribo spurco, sed uirto nubat lion... Le correcteur
écrit : Nö marib9 spure9, sed uirl9 nubat honori.